Attendus au tournant : Jerzy Janowicz

By  | 17 janvier 2013 | Filed under: Légendes

He’s back. Vous l’avez aimé en dynamiteur de Bercy, faisant sauter Murray, Tipsarevic, Cilic, Simon et Kohlschreiber avec son service explosif, son coup droit canon et son amortie chirurgicale ? Vous aurez plaisir à apprendre que Jerzy Janowicz et son artillerie lourde sont déjà de retour aux affaires, la fiesta parisienne semble t-il digérée.

Passé en un an de la 220e à la 26e place mondiale, dorénavant attendu partout où il se produit, le géant polonais fait honneur à son nouveau statut dans cet Open d’Australie… un tournoi dont il ne connaissait jusque-là rien du tableau final. Et pour cause : l’an dernier à pareille époque, il ferraillait avec le terrible Marshall Tutu au premier tour d’un Future en Grande-Bretagne. Après avoir plié proprement Simone Bolelli pour son entrée en lice, l’escogriffe polak s’est offert un rush d’adrénaline au deuxième tour face à l’Indien Somdev Devvarman, qui a mené deux sets à rien avant de se faire marcher dessus. Score final ? 6/7 3/6 6/1 6/0 7/5. Bilan stat’ ? 91 points gagnants, 88 fautes directes. Qu’on se le dise : Jerzy Janowicz est là pour faire le jeu. Défendre, remiser, attendre, temporiser : pas son vocabulaire.

Mieux – ou pis, à vous de voir – chez lui tout est explosif : bouillonnant contre juges de lignes et de chaise, à genou sur sa ligne pour mieux maudire un sort contraire, affublé d’une casquette abandonnée dès le jeu suivant, avec des lunettes de soleil puis sans lunettes de soleil trois points plus tard… Contre Devvarman, le spectacle de cet agité du bocal valait bien les grandes heures de Marat Safin. Marat, justement : la comparaison lui a été servie, forcément, pendant Bercy, cette salle dont le Russe avait fait sa chasse gardée. Image d’ailleurs d’autant plus forte pour les présents que, deux heures après sa finale perdue (Marat aussi a perdu la première…), « Crazy Jerzy » mettait le feu sur le dancefloor à la soirée de fin de tournoi, histoire de tester sa nouvelle popularité auprès des hôtesses parisiennes.

Quel futur prédire à un tel énergumène, imprévisible par définition ? J’avais déjà eu à me pencher sur le sujet à la fin de son épopée parisienne où, plus encore que sa puissance, c’est bien la combinaison de ce facteur avec une grande mobilité et une certaine élasticité qui ont fait sensation. Aussi plutôt que d’en dresser à nouveau l’état des lieux, je vous renvoie directement à ceci. Seul développement à y ajouter à l’aune de ses deux premiers tours passés à Melbourne Park : le bestiau sait donc aussi gagner des matchs en ramant à contre-courant. Même en jouant mal, même en sachant que seule la victoire est attendue… et même quand ça tourbillonne sous le crâne.

« Ce qui se passe pour moi ces derniers mois est comme un film, a t-il encore martelé devant les médias mercredi, comme un écho à ses savoureuses conférences de presse de Bercy. Mais j’entends bien rester moi-même, ce type bizarre et un peu fou avec lequel je vis depuis 22 ans. » Alors si l’intrigue du bon Grigor, de la brute Rahan et du méchant Nanard vous paraît d’avance trop prévisible, changez de chaîne : juste à côté, un furieux exalté revisite Kinski et ses coups de folie.

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Prenez ma nouvelle adresse : http://livre.fnac.com/a7085832/Marc-Gdalia-Les-monuments-du-tennis-moderne

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841 Responses to Attendus au tournant : Jerzy Janowicz

  1. Patricia 19 janvier 2013 at 16:21

    Encore une qui tombe sous le charme unique de Gaël, ayant bien cerné l’OTNI « he is a mystery to everyone, including himself » :

    Quelques trouvailles géniales dans ce texte : « A little like the children’s entertainers who make models out of long, thin balloons, there is a sound of squeaking and then a little bit of magic. Squeak, squeak, squeak as Monfils’s massive sneakers manoeuvre into position and then backhand pass with added pirouette; squeak, squeak, squeak: running tweener winner; squeak, squeak, squeak: flying hotdog. »

    En entier :
    « It is an old journalistic tradition: if you are stumped on a story, ask the bloke sitting next to you for help. The boss wants me to write about Gael Monfils; easy-peasy – go and talk to the French journos. Those honest, sober souls of L’Equipe are bound to know the skinny on their player. The L’Equipe mob know everything. Où sont les françaises?

    Alas, les françaises were no help whatsoever. “We don’t know,” they said as one, looking amazed that anyone would even think to ask such a question.

    It turns out that no one really knows anything about the tall and talented Monfils. Part athlete, part tennis player, part showman, he is a mystery to everyone, including himself. Had he a fraction of the application and dedication of a David Ferrer, let’s say, he would have been a regular fixture in the world’s top 10 for the past eight years. Then again, if he was as regimented as Ferrer, he would not be able to play the sort of exuberant, creative and, frankly, at times, ridiculous tennis that has taken him to a handful of grand slam quarter-finals and one grand slam semi-final. No, there is no rhyme or reason to Monfils.

    At the moment, he is without a coach which may or may not be a good thing. Many players who have spent time alone on the circuit have found the experience beneficial. Roger Federer and Andy Murray both enjoyed spells by themselves, times when they were free to make their own decisions and be their own men. But given that no one really knows what kind of man Monfils is – other than a frightfully nice chap with delightful manners – becoming his own man could be rather dangerous.

    The year has started well enough with a quarter-final appearance in Doha and a semi-final slot in Auckland, and now he is through to the third round here in Melbourne. That said, getting through the first two rounds has taken nine, nail-biting sets. To get past Yen-Hsun Lu on Thursday, Monfils needed a hatful of match points. On four of them, Monfils double faulted but, to even things out, he had served four aces to get the match points in the first place. Nothing is ever straightforward.

    The good news is that after a long spell spent coping with tendinitis in both knees, particularly the left one, Monfils seems fit and strong at the moment. Quite how he manages to maintain that fitness is anyone’s guess given the pounding his body takes in every match.

    With arms and legs seemingly made of elastic, he can contort his body into any shape he pleases as he chases down every ball. A little like the children’s entertainers who make models out of long, thin balloons, there is a sound of squeaking and then a little bit of magic. Squeak, squeak, squeak as Monfils’s massive sneakers manoeuvre into position and then backhand pass with added pirouette; squeak, squeak, squeak: running tweener winner; squeak, squeak, squeak: flying hotdog.

    Now he must play Gilles Simon, one of his best friends on the tour, for a place in the last 16 in Melbourne. Like chalk and cheese, Simon – also coachless – is sensible, organised and hardworking while Monfils is… well, he’s just Gael. Opposites clearly attract.

    Back on the L’Equipe desk, the French are looking glum and ruing what might have been. According to them, Monfils is technically better than Tsonga and physically better than Gasquet (any of the boys in the locker room will tell you Monfils is one of the best athletes on tour). They wonder how Monfils could have turned out and how many titles he could have won. Instead they have a wonderfully gifted player and a remarkable character to follow – all they can do is cling on to his coat tails and see where the journey takes them.

    So, is Monfils’s current resurgence a fluke or the beginning of a comeback? Can Gael beat his pal Gilles? Is Monfils back to his best? To quote les françaises: “We don’t know.” And neither does Monfils. As the saying goes – ignorance is bliss. »

    • Antoine 19 janvier 2013 at 16:28

      C’est de qui et cela date de quand ce texte ? Juste avant leur match apparemment…

      Gaël s’est une fois de plus fait enfumer par Gilou qui l’entraîne dans sa filière de longs échanges de fond de court. Sur les 15 plus longs points du tournoi, il y en a une douzaine qui appartiennent à ce match.

      Gilou connaît tellement bien Monfils qu’il sait exactement ou il va mettre la balle et l’autre n’arrive jamais à le déborder, sauf à prendre des risques très excessifs. Comme l’acrit un journaliste du site du tournoi: Simon gagne la guerre d’attrition…

      • Patricia 19 janvier 2013 at 16:42

        Alix Ramsay (sur le site de l’AO), texte d’hier.

  2. Quentin 19 janvier 2013 at 16:25

    Sinon on avait eu sur ce fil la réaction de Djokovic à l’affaire Armstrong, donc je poste celle de Federer qui avait dit qu’il en parlerait seulement après avoir vu l’entretien télévisé:
    http://www.lematin.ch/sports/tennis/Federer-attriste-par-les-aveux-d-Armstrong/story/12833757

    • Antoine 19 janvier 2013 at 16:31

      je ne sais pas pourquoi on parle tant ici de l’interview de cet enfoiré d’Amstrong qui, une fois de plus, et comme toujours, a à nouveau menti comme un arracheur de dents dans son interview..

      Je préfère la réaction de Djoko à celle de Roger…

    • Skvorecky 19 janvier 2013 at 17:12

      On va pas y passer des heures, surtout sur ce site, mais Roger ne se mouille pas trop en fait. Une attitude modérée, où, sans juger personne, il évoque une « histoire attristante ». Il y a aussi l’ambiguïté (toujours la même dans ce genre de déclarations), à savoir: est-ce que ce sont les faits incriminés ou les aveux qui le dérangent le plus?

      Pour Djokovic, tu n’as pas dû lire ses déclarations, le contenu était en gros: « j’espère qu’Armstrong va maintenant souffrir pour tout ce qu’il a fait » Euh…
      Suivi de: « le tennis est propre, le système anti-dopage est efficace et suffisamment lourd, par contre c’est bizarre on ne m’a pas fait passer de contrôles sanguins depuis des mois. » Euh… (bis)
      Il était peut-être fatigué après son match mais ces propos sont absolument incohérents.

    • Sylvie 19 janvier 2013 at 18:15

      Sur le sujet dopage, Murray y a été aussi de son couplet concernant les propos de Rochus cette fois avec des propos aussi crédibles que

      « Je dirais que Rochus est loin de la vérité. N’importe qui peut voir la quantité d’heures de travail et de pratique que nous faisons et il y a d’autres sports qui sont demandent bien plus d’endurance que le tennis. Quand les gars sont amenés à jouer cinq ou six heures dans les Grand Chelems, comme ça nous arrive souvent, nous avons un jour de repos. »

      Après l’affaire Amstrong où l’on a pu voir tout un système très efficace mis en place et un gars jamais contrôlé positif, le couplet sur le sport propre où qui n’a pas besoin de dopage a du mal à passer. Il y a du dopage dans quasiment tous les sports y compris l’équitation.

  3. Nath 19 janvier 2013 at 16:46

    google retrouve 3 utilisations du terme OTNI. J’en trouve une ici et une
    :)

    • Nath 19 janvier 2013 at 16:48

      Voici une citation que ne renierait pas Monfils : « Je suis atypique. Personne ne sait vraiment qui je suis, pas même moi. Comme tout le monde, je suis capable du meilleur comme du pire, mais dans les extrêmes… »

    • Sylvie 19 janvier 2013 at 17:08

      J’ai mis dans le mille sans le savoir. Un blog sur Gilou qui le définit comme OTNI et Gaël, un OTNI à lui tout seul. Alors la combinaison des deux..

  4. Skvorecky 19 janvier 2013 at 17:02

    Vous m’avez bien fait marrer avec tous vos commentaires sur le Simon-Monfils qui a apparemment tenu le monde tennistique en haleine pendant 5 heures. Je regretterais presque de ne pas l’avoir vu!

    En 1/8èmes de finale nous aurons donc 13 des 16 premières têtes de série, beau score, avec 3 intrus au programme: Anderson à la place de Monaco, Seppi pour Cilic (on ne perd pas a change dans les deux cas à vrai dire), et Chardy pour Del Potro, l’exploit que personne n’avait vu venir.

    Murray est presque déjà en demi, Djokovic et Federer doivent encore batailler un peu, mais soyons clairs, on aura encore les 4 premiers à l’avant dernier tour, je vois pas d’autre possibilité.

    • Patricia 19 janvier 2013 at 17:07

      Nishikori ?
      C’est lui qui a sorti Ferrer aux JO, il était en 1/4 l’an dernier… Ce serait quand même moins choquant que la perf de Jérémy !

    • Skvorecky 19 janvier 2013 at 17:18

      Bien sûr, c’est possible, mais je sais pas, j’ai l’impression que Ferrer est invulnérable, et puis c’est en 5 sets cette fois. Le battre sur gazon une fois, c’est bien (j’ai vu leur match aux JO et ce fut de justesse), mais je crains que ça ne serve à rien cette nuit.

  5. Sylvie 19 janvier 2013 at 17:15

    La défaite de Del Potro c’est vrai que personne ne l’a vu venir. D’ailleurs est-ce que quelqu’un l’avait vu perdre avant les quarts ?

    • Skvorecky 19 janvier 2013 at 17:28

      D’après le post d’Arno à 11:37, on dirait bien que non, vu que ce résultat n’apporte aucun point au RYSC à personne. Mais peut-être que quelqu’un avait pronostiqué son élimination au premier tour, je sais pas.

  6. Quentin 19 janvier 2013 at 17:34

    Alex, je répond à ton post au-dessus:

    Je crois que je t’ai lu un peu vite et t’ai mal compris, en fait je distingue deux situations:
    -Celle où Tomic envoyait un coup droit croisé alors que Federer était au milieu de la ligne de ond de court, et effectivemment sur ce match Federer n’avait alors pas trop de difficulté à renvoyer proprement long croisé. Mais je n’ai pas l’impression qui ait eu beaucoup de difficulté dans cette configuration ces derniers temps.
    -Celle ou Federer est son adversaire sont engagé dans un échange de revers croisés. Federer se trouve alors du côté avantage du court (cad le côté gauche). Son adversaire tire alors un revers long de ligne (ou un décalage coup droit long de ligne éventuellement), Federer est donc obligé de courir vers le côté égalité du court (cad le côté droit) pour jouer un coup droit en bout de course. Federer est assez mauvais dans cette configuration, notamment car sa raquette ne tolère pas de mauvais centrage et que le moindre défaut de placement peut aboutir à une faute directe. C’est la tactique qu’avait employé Djokovic en finale des derniers Masters, avec une réelle réussite. Il me semble que Tomic a lui aussi essayé de l’adopter. Et quand son revers long de ligne passait, Federer avait souvent beaucoup de mal à renvoyer correctement la balle. Mais le revers long de ligne de Tomic s’est montré trop faible pour que cette stratégie ait autant de succès qu’aux Masters.

    Pendant longtemps on a dit qu’il suffisait de pilonner le revers de Federer pour prendre l’ascendant dans l’échange. Sauf que depuis l’Open d’Australie 2009 le revers du suisse est très solide, et que cette tactique de base n’a plus le même effet (demandez à Murray qui doit se souvenir de sa finale de Melbourne 2010…). Lors du dernier Open d’Australie, Nadal a dit qu’il avait trouvé Federer tellement agressif et solide avec son revers lors de leurs précédentes rencontre qu’il avait décidé lors de leur rencontre en demi finale de jouer davantage sur son coup droit, avec succès d’ailleurs puisque Federer avait fait un nombre élevé de fautes directes en coup droit. Federer avait trouvé une réponse à cette nouvelle stratégie de Nadal à Indian à Indian Wells, notamment en cherchant au maximum les angles pour sortir Nadal du terrain. Aujourd’hui, à part sur terre battue où Nadal par son lift parvient à mettre le revers de Federer au supplice en le faisant jouer à hauteur d’épaule, il n’est plus vraiment « malin » de concentrer 85% des coups sur le revers du suisse en attendant la faute ou la ballecourte facile à exploiter.

    D’où la tactique de Nole lors du dernier Masters. Tactique qui risque de s’avérer de plus en plus payante au fil du temps, la vitesse de déplacement de Fed diminuant avec l’âge. Nadal par son coup droit long de ligne de gaucher ou Djokovic par son excellent revers long de ligne me semble par ailleurs plus aptes à appliquer cette statégie que Murray qui me semble avoir moins de facilité en revers long de ligne.

    Un dernier élément: lors de la demi Fed/Djoko de RG 2011, Djokovic avait simplement tenté de prendre Federer en cadence, et c’est au contraire le suisse qui l’avait pas mal planté avec son revers long de ligne (un autre élément parmis ceux qui me font penser que ce match est l’une des plus grosse perf de Fed, car d’habitude il est pas transcendant en revers long de ligne). De même que d’après mes souvenirs lors de la finale de RG 2012, Nadal avait souvent pris l’ascendant sur Djokovic grâce à son coup droit long de ligne.

    • Antoine 19 janvier 2013 at 18:32

      C’est surtout payant quand il s’est décalé dans le côté avantage pour jouer en coup droit et qu’il ne parvient pas pour autant à faire mal. Alors, il est très vulnérable, comme tout autre joueur. C’est plus dangereux de le faire contre Djoko que contre Murray ou d’autres parce que le Djoker prend la balle plus tôt et contre donc mieux mais Murray a un bon revers long de ligne aussi.

    • Alexis 20 janvier 2013 at 11:01

      Merci pour cette réponse fouillée et détaillée, je ne l’avais pas identifiée immédiatement comme m’étant adressée. On est d’accord sur l’idée que Rodg’ (mon ami) est très vulnérable lorsqu’il tourne son revers et qu’il savonne son décalage coup droit. Clair que son revers en revanche, sur dur notamment,est devenu très solide voire létal dans la mesure où il peut prendre la balle très tôt et créer des angles invraisemblables, sans parler de son « petit chip pète-couilles » (dixit Gaël).

      Actuellement, Wawrinka en train de déboîter Djokovic : ?

  7. Babolat 19 janvier 2013 at 18:51

    Les 6 échanges les plus longs du tournoi… cherchez pas…

    [b]Gilles Simon v Gael Monfils 3 6-4, 4-4 15 – 15 Simon wins the point. 71
    Gilles Simon v Gael Monfils 3 6-4, 6-4, 4-6, 1-6, 3-3 40 – 40 Monfils wins the point. 47
    Gilles Simon v Gael Monfils 3 6-4, 6-4, 4-6, 1-6, 5-4 30 – 30 Simon wins the point. 47
    Gilles Simon v Gael Monfils 3 3-2 0 – 0 Simon wins the point. 45
    Gilles Simon v Gael Monfils 3 1-1 40 – 40 Monfils wins the point. 42
    Gilles Simon v Gael Monfils 3 1-1 AD – 40 Simon wins the point. 35[/b]

    • MarieJo 19 janvier 2013 at 21:59

      http://twitpic.com/bwlr1c

      je ne sais pas où il l’a trouvé mais je l’ai récupéré sur un twitter bien foutu !

      • Babolat 20 janvier 2013 at 02:02

        C’est trouvable sur le site du tournoi.

  8. Guillaume 19 janvier 2013 at 21:34

    http://espn.go.com/sports/endurance/story/_/id/8854048/lance-armstrong-interview-oprah-winfrey-doping-typical-spectacle

    liestrong jusqu’au bout.

    visiblement tous les joueurs/euses ont été interrogés hier après les confessions d’un « enculé froid » et calculateur (merci karim) : de djoko en mode bien fait pour sa gueule, ou serena dont la position se rapproche de celle de fed ou elle déplore que plus personne ne se sent à l’abri de la suspicion sur son sport, et fed dont la position est vraiment plus modérée que je ne l’aurai imaginée, mais bon une dose de neutralité suisse ne peut pas faire de mal non plus…
    c’est le sujet qui embarrasse un sport au delà de tout soupçon comme le tennis… pour ceux qui y croient.
    aucun d’entre eux n’a vraiment envie d’être interrogé sur le sujet, et les réponses faites en toute bonne foi, sont un peu confondantes de naïveté… si on avait creusé le sujet du dopage en tennis, on aurait trouvé bien plus que le pauvre cas de puerta, canas ou karantcheva… rien de vraiment nouveau !

    côté pognon, armstrong va se refaire, comme tout bon américain qui a une histoire de repenti à vendre, les droits de son bouquin et histoire sont déjà hollywood.
    vaut mieux être un gros tricheur repenti.

    je ferme la parenthèse avant le nouvel opus pour ce soir :)

    #mariejoquis’estfaitqpiquéson ordi grrrr

    • MarieJo 19 janvier 2013 at 22:05

      marie jo contente de retrouver son ordi ;)

  9. Patricia 20 janvier 2013 at 00:33

    Quel est le programme nocturne de nos matchs-callers des antipodes ? :)
    Quelqu’un pour le Nishikori/Ferrer ?

    • Babolat 20 janvier 2013 at 02:07

      I’ll be there comme dirait Michael.

  10. MacArthur 20 janvier 2013 at 01:42

    Je viens de voir cette question postée par l’OA: « What did you think of last night’s Federer v Tomic clash? Is Tomic a star of the future or will Federer always have the edge over the Aussie? »

    J’ai fini, il y a quelques minutes de visionner ce match. Federer a très bien joué. Il a été très bon en défense. Quand je vois certaines attaques de coup droit de Tomic qu’il a réussi à remettre dans le court, je me dis qu’il est très bien préparé physiquement en ce début de saison. Il a très bien tiré profit de la lenteur de cette surface à quelques occasions. Ç’aurait même été Berdych que le Suisse serait passé en trois sets.

    Tomic n’a pas les armes pour battre Federer. Et j’ose même dire, pour répondre à la question, que le Suisse prendra encore et encore le dessus lors de leurs prochaines confrontations. À wimbledon, Tomic est capable de prendre un set tout au plus. Car, simplement, l’Australien n’a pas le profil des joueurs capables de battre Federer. Un joueur qui a du style ne bat pas Federer. On ne bat pas Federer en proposant du beau jeu. Au contraire, on le fait plus briller.

    Deux types de joueurs battent le Suisse: ceux qui sont très bons en retour et capables de remettre plus de balles dans le court (Nadal, Djokovic, Murray) et ceux qui font dans la brutalité (Berdych, Tsonga). Il n’y a pas d’autres catégories.

    Tomic a été un piètre retourneur sur ce match. On ne bat pas Federer en assurant son service et en étant incapable de remettre en jeu ses deuxièmes balles. Combien de deuxièmes balles Tomic a été incapable de retourner? Et Tomic n’est pas un bourrin. Pour cela, il continuera de subir… Point positif, j’ai aimé sa gestion de certaines balles de break. La confiance accumulée ces derniers temps y a été pour quelques chose. Point négatif, le 3ème set qu’il a balancé. Il disait qu’il était fatigué. Comment peut-il espérer battre Federer s’il ne peut pas tenir 5 sets?

    • Babolat 20 janvier 2013 at 02:15

      Je pense que la fatigue devait être aussi mentale. Il était tellement attendu face à Roger au troisieme tour qu’il en a presque oublié de jouer son deuxième. Brands l’a presque battu et il s’en sort au courage.

      Question brutalité, le Bernard n’y est pas allé de main morte hier. Il ne faut pas oublier que le gamin est encore un teenager. A son âge, Djoko perdait encore en 3 sets contre Roger (en 2007) puis il lui a pris un set, puis deux et on connaît la suite. Tomic a énormément progressé par rapport à l’année dernière et sa marge de progression est encore large notamment au service et dans le déplacement.

      • MacArthur 20 janvier 2013 at 02:27

        Salut Babolat! Je trouve quand même qu’il gère très bien la pression Tomic. Il a progressé, c’est indéniable. Je suis d’accord par rapport à la comparaison avec Djokovic aussi. Et d’ailleurs, Djokovic s’est vite rendu compte de ce qu’il fallait faire pour battre Federer. Je ne sais pas si Tomic a les aptitudes pour ça. Bon, en attendant, il devrait commencer par se préparer physiquement comme le top 4. Je ne sais pas qui sera disposé à lui donner leur secret :-).

        Je serais là aussi pour le Nishikori-Ferrer. Le Japonais mène 1-0. Ça peut être un beau match.

  11. MacArthur 20 janvier 2013 at 02:31

    Le duel des gaucheres est en passe d’être remporté par Makarova qui a gagné la première manche 7-5 face à Kerber. Elle montre comment elle a réussi à sortir Serena la Maka.

    • Babolat 20 janvier 2013 at 02:40

      Salut McArthur. Oui, match assez plaisant avec quelques point spectaculaires. Un match de gauchères, ça donne souvent des échanges sympas. Makarova semble quand même un cran au dessus. J’aime bien son coup droit. Break Maka qui va servir pour le gain du match.

    • MacArthur 20 janvier 2013 at 02:41

      Makarova a breaké dans le 2ème set à 4-4- et va servir pour le match.

      • MacArthur 20 janvier 2013 at 02:46

        Makarova finit sur un ace et remporte le match 75 64 en 92 minutes en se défaisant de la tds No.5. Elle jouera probablement Masha au prochain tour.

    • Nath 20 janvier 2013 at 05:06

      Pas vu le match, mais Makarova aprécie visiblement l’AO : huitième en 2011, quart en 2012, (au moins) quart à nouveau cette année. Ailleurs elle n’a été qu’une seule fois en huitième, à RG.

  12. Babolat 20 janvier 2013 at 02:36

    Je tiens à rectifier une petite erreur de ma part. J’ai dit hier que Roger était le seul joueur en 1/8 vierge de tout break. Il n’en est rien. Djoko aussi est dans ce cas.

  13. Jérôme 20 janvier 2013 at 02:55

    J’ai vu une bonne partie du Fed-Tomic. Et je partage les avis assez nombreux selon lesquels ça a été le plus beau match du tournoi jusqu’à présent.

    Je ne suis vraiment pas d’accord sur l’idée que Tomic ne battra pas Federer. Baghdatis y est bien parvenu. Alors Tomic, avec son gabarit (1,93m comme Ivanisevic), et à seulement 20 ans, il a encore une belle marge de progression. Physiquement, ce n’est qu’à 22/23 ans que les joueurs arrivent à leur top. Ce qu’il faut à Tomic, c’est la constance et un mental plus solide. Dans 2 ans, précisément quand la belle mécanique suisse aura encore un peu ralenti alors même que l’aussie sera à maturité, Tomic le battra et sera capable de lui coller des torgnoles.

    Tomic a un jeu plus varié, meilleur, et un potentiel de progression bien supérieur à Raonic qui, lui, a déjà tiré tout ce qu’il pouvait de sa très grande taille avec son énorme service. Il a une bonne fluidité dans ses frappes. Je n’aime pas sa tronche ni sa personnalité mais son jeu est plutôt sympa. Il a en lui comme un mélange du Djoko d’avant 2011 (avant la machine à renvoyer) et de Korda.

    J’ajoute que très vite, Tomic va bientôt sacrément gêner Djokovic et Murray car il est plus puissant et a un plus gros potentiel physique qu’eux. Et en plus, il est plus offensif que Murray et à un jeu plus varié que Djoko. Bref, l’année prochaine, Djoko et Murray commenceront à passer de mode.

    • Antoine 20 janvier 2013 at 09:56

      Bien sûr que Tomic battra Roger tôt ou tard…et sans doute plutôt tôt que tard..

      Par ailleurs, les impressions visuelles de MacArthur ne correspondant pas à la réalité: contrairement à ce qu’il dit, Tomic a (très) bien retourné les secondes balles de Roger, au point de gagner 55% des points sur seconde balle adverse, un pourcentage très élevé supérieur à celui de Djoko en finale du Master’s, légèrement facilité par les 4 doubles de Roger qui a quelque peu forcé dessus. En revanche, sur première balles, Tomic n’a guère obtenu de succès, c’est le moins que l’on puisse dire. Roger a été très bon sur ses premières et sa faiblesse en seconde balle s’est peu vue car son pourcentage de premières a été élevé…

    • Patricia 20 janvier 2013 at 10:56

      L’an dernier, Tomic faisait déjà 1m96 (comme del Potro et Raonic), et il grandit encore… l’équipe ne met pas à jour ses fiches ! Il a grandi de 20 cm en peu de temps entre 15 et 18 ans et a mis un moment, je pense, avant de s’adapter. en plus, en période de croissance rapide, les muscles ne suivent pas.

      Je pense aussi qu’il va y arriver, à son âge, ni Djoko ni Murray n’était très bon en endurance, ni en défense. C’est venu l’année d’après… Et il est du format au dessus, donc je pense que le volume en défense se mettra à niveau plutôt à partir de 22 ans.

      Il vient d’avoir sa prise de conscience par rapport au boulot, il a une très grande confiance mais beaucoup de progrès à mettre en place sur le plan mental et dans l’attitude.

      Interview d’avant match, toujours impayable d’autosuperlativité, mais révélatrice à ce propos des erreurs de jeunesse (focaliser sur le 1er set – ceci dit il n’a pas encore les moyens de l’avoir à l’usure…) :

      Avant votre deuxième tour, vous aviez confié que vous alliez regarder sur YouTube pour trouver des infos sur votre adversaire. Avec Roger Federer qui s’annonce, ça ne sera pas nécessaire cette fois…

      Bernard TOMIC : C’est sûr. Quel match ça va être ! Je me sens tellement confiant. C’est le moment parfait pour le jouer. Je pense que j’ai une bonne attitude, celle qu’il faut pour gagner.

      Pensez-vous avoir une réelle chance de le battre ?

      B.T. : Je suis prêt. Je ne vais pas mentir et dire que je n’ai pas confiance. J’ai la foi. C’est possible de le faire. J’ai montré ça à Perth, que je pouvais battre de très bons joueurs. J’ai battu beaucoup de bons joueurs ces dernières semaines, notamment Novak. Alors oui, je pense que je peux gagner ce match. Je peux le faire.

      Quelle sera la clé pour vous ?

      B.T. : Je ne veux pas en parler trop tôt. Mais j’ai un plan, je sais ce que je dois faire. La chose la plus importante contre quelqu’un comme Roger, c’est de bien tenir en début de match. Si j’arrive à l’accrocher d’entrée, si je peux gagner le premier set, ça peut être une autre histoire. Mener d’un set contre lui ce serait un gros avantage. En revanche, s’il remporte le premier, il déroule derrière. Mais je suis confiant.

      Avec le recul, quel souvenir gardez-vous de votre huitième de finale l’an dernier ici-même ?

      B.T. : J’ai quelques souvenirs. C’était la deuxième fois que j’affrontais Roger. Il avait vraiment très bien joué ce jour-là. Je crois que j’avais pris 6-4, 6-2, 6-2. Il avait simplement trop bien joué pour moi. J’avais quand même eu ma chance. Puis à 4-4, j’ai perdu mon service. A partir de là, j’avais été incapable de revenir dans la partie. Mais aujourd’hui, mon service, par exemple, n’a plus rien à voir. C’est une arme qui peut me maintenir dans le match.

      A quel point votre service s’est-il amélioré en l’espace de douze mois ?

      B.T. : Enormément. Une amélioration incroyable. Gagner un tournoi comme Sydney en ne perdant qu’une seule fois mon service, je pense que j’avais vraiment servi de façon incroyable. Ici, je n’ai pas encore été breaké. Je n’ai jamais aussi bien servi. J’utilise enfin ma taille, ce que je ne parvenais pas à faire auparavant. Vu ma taille, c’est important d’avoir un gros service. J’y arrive enfin et ça m’aide à gagner beaucoup de matches, c’est certain.

      Au-delà du service, comment expliquez-vous le cap que vous semblez avoir franchi en ce début d’année ?

      B.T. : Du repos et beaucoup de travail. Ça a été mon plan depuis que je suis rentré d’Europe cet automne. J’ai vraiment beaucoup bossé. J’avais des lacunes évidentes dans mon jeu et j’ai cherché à travailler mes points faibles pour m’améliorer. J’ai aussi fait beaucoup de physique. C’est pour ça que je joue aussi bien sur le court aujourd’hui. J’espère que je vais pouvoir garder ce niveau, surtout au prochain tour !

      Y a-t-il eu une prise de conscience de votre part ?

      B.T. : Oui. Le temps passe vite. J’ai compris ça l’année dernière. Une année, ça passe vraiment très vite. D’un seul coup, j’ai 20 ans. Je me suis dit ‘le temps passe. Je peux bien jouer. J’ai le talent. Mais je ne l’utilise pas.’ Alors j’ai travaillé, beaucoup travaillé. C’est incroyable de voir ce qui peut se passer en seulement deux mois.

      Vous avez vécu une saison 2012 décevante et un peu agitée. Avez-vous eu peur de voir votre destin vous échapper ? Avez-vous douté de vous, de votre avenir ?

      B.T. : Oui, il y a un peu de ça. Mais j’ai compris ça, c’est ce qui m’a permis de changer. J’ai chuté au classement. C’est aussi ce qui m’a permis de me réveiller, de me secouer et de me mettre au travail.

      Quelqu’un vous a-t-il aidé à faire cet examen de conscience ?

      B.T. : Non, c’est venu de moi. Avant la saison dernière, je ne ressentais pas cette urgence, ce besoin de m’améliorer. J’étais monté jusqu’à la 27e place au classement, ça semblait presque facile. Je ne faisais pas ce qu’il fallait, je n’étais pas assez concentré sur mon tennis. Je l’ai payé. Je perdais souvent au premier tour, ça m’a changé. Heureusement, je me suis réveillé. J’ai commencé à sentir que je devais absolument m’entrainer beaucoup plus que je ne le faisais. J’ai compris que si je ne donnais pas 100%, ça ne marcherait pas. Maintenant, je donne tout. Que je gagne ou que je perde, je sais que j’ai joué au maximum de mes possibilités.

      Vous souvenez-vous du moment où le déclic s’est produit ?

      B.T. : J’aimerai me souvenir d’un moment précis mais ce n’est pas vraiment le cas. Autant que je me souvienne, c’est vraiment quand je suis rentré à la maison. J’ai pris deux ou trois semaines de repos, loin du tennis. Je me suis juste relaxé. Et j’ai commencé à apprécier davantage l’entrainement. Comme je l’ai dit, c’est une prise de conscience. A 18, 19 ans, j’avais déjà accompli pas mal de choses. Mais je perdais mon temps. Je ne veux plus le perdre.

  14. Babolat 20 janvier 2013 at 02:57

    Nishikori a gagné le tirage au sort et a choisi de recevoir. (Comment je fais trop bien l’arbitre de chaise). ^^

  15. MacArthur 20 janvier 2013 at 02:59

    Hahahahaha, Sarah Tomic, la jeune soeur de Bernie dit qu’elle va griller son frère dans la course à la première place mondiale. http://www.foxsports.com.au/tennis/majors/sarah-tomic-claims-shell-beat-her-brother-bernard-to-number-one-in-world-after-winning-junior-match/story-e6frf4nc-1226557523026#.UPtO7-h2CyN

    • Babolat 20 janvier 2013 at 03:04

      Le melon, c’est hériditaire. ^^

  16. MacArthur 20 janvier 2013 at 03:09

    On peut dire que Ferrer a souffert pour conclure son premier jeu de service. Ça promet…

    • MacArthur 20 janvier 2013 at 03:19

      Ferrer souffre. Nishikori a, pour le moment, le match dans sa raquette. Il fait les points et les fautes aussi.

    • Babolat 20 janvier 2013 at 03:20

      Pareil pour le deuxième. Le japonais joue vite et bien. On sent Ferrer pas très serein.

  17. MacArthur 20 janvier 2013 at 03:34

    Et Ferrer qui s’envole au score: 4-1 après avoir breaké à 2-1.

  18. Babolat 20 janvier 2013 at 03:35

    Mais pourtant le premier break est pour Ferrer. Nishikori fait trop de fautes. Ferrer, comme à son habitude, ploie mais ne rompt pas.

  19. MacArthur 20 janvier 2013 at 03:49

    Premier set Ferrer: 62. Incroyable mais vrai.

    • Babolat 20 janvier 2013 at 04:05

      Oui, ça avait pourtant bien débuté pour Nishikori. Là il fait un peu trop de fautes, en partie à cause de Ferrer qui remet tout bien sûr.
      Ca défile pour le spaniard 3/0

  20. MacArthur 20 janvier 2013 at 04:20

    Deuxième set Ferrer: 61.

    • MacArthur 20 janvier 2013 at 04:23

      En 2008, à l’US, Nishikori avait déjà remonté un handicap de 2 sets à 0 face à Ferrer. Est-ce encore possible?

  21. Babolat 20 janvier 2013 at 04:21

    6/2 6/1 well well, va falloir tenter quelque chose mon petit Kei sinon tu va rentrer à la casa vite fait.

    • MacArthur 20 janvier 2013 at 04:25

      Break d’entrée de Ferrer dans ce 3ème… Trop de fautes de Nishikori.

  22. MacArthur 20 janvier 2013 at 05:11

    C’était la WTA dans ce 3ème set. Breaks et débreaks de chaque côté. Ferrer breake a 4-4 et va servir pour le match.

    • MacArthur 20 janvier 2013 at 05:15

      Jeu blanc. Set et match Ferrer. 62 62 64. Nishikori est quand même fragile physiquement hein…

      • MacArthur 20 janvier 2013 at 05:18

        62 61 64 pardon….Il se fait tard…

  23. Babolat 20 janvier 2013 at 05:15

    C’est fini 6/2 6/1 6/4. Ce match n’a pas tenu ses promesses. Un bon début puis Nishikori s’est étiolé au fil du match. Bonne réaction à la fin pour débreaker mais Ferrer était trop fort.

    • MacArthur 20 janvier 2013 at 05:19

      65 UE pour le Japonais quand même.

    • Babolat 20 janvier 2013 at 07:48

      La limite entre fautes provoquées et non-provoquées est toujours ténue mais je pense que Ferrer y est pour quelque chose dans ces 65 erreurs.

    • Patricia 20 janvier 2013 at 11:00

      Nishikori a dit qu’il avait trop forcé, pris trop de risques, d’où le nombre de fautes élevées, qu’il devait revoir le dosage…

      Il avait l’air fatigué, même si son genou était à peu près ok d’après lui, il a quand même bcp dû s’arrêter entre fin novembre et maintenant…

  24. Nath 20 janvier 2013 at 05:52

    Almagro a breaké le premier contre Tipsa et tient son service derrière, cela fait 4-1.

    Paire-Bellucci sont venus à bout de Queshri-Rojer (TS6) dans une fin de match à suspense, pas mal.

    • Babolat 20 janvier 2013 at 08:38

      En revanche, Chardy (associé à Kubot) a perdu contre les Bryan bros qui sont en 1/4 pour la 10ème année consécutive.

  25. Nath 20 janvier 2013 at 06:16

    Et premier set Almagro 6-2 contre un Tipsa qui s’est fait soigner au pied. Pendant ce temps, Sharapova déroule contre Flipkens, 6-1.

  26. Nath 20 janvier 2013 at 06:40

    Bon, ben Almagro arrive pour la première fois en quart dans ce tournoi sur abandon. Prochain tour contre Ferrer, c’est mal barré…

    • Babolat 20 janvier 2013 at 07:45

      Et je marque mon premier point RYSC (comme beaucoup de monde certainement). ^^

    • Babolat 20 janvier 2013 at 08:35

      12/0 pour Ferrer dans ses face à face avec Almagro. En effet, le hibou ne doit pas être complétement rassuré. S’il bat Almagro, Ferrer remportera son 500ème match sur le circuit. Ils ne sont que 4 en activité à compter plus de 500 victoires. Federer, Haas, Hewitt et Nadal.

      • Nath 20 janvier 2013 at 08:54

        Ça lui donnera un avant-goût de la tournée en Amérique du Sud : Nadal au Brésil, Ferrer à Buenos Aires, les deux à Acapulco logiquement…

  27. Babolat 20 janvier 2013 at 08:05

    6/1 6/0 pour Maria qui soigne sa moyenne de jeux perdus. 5 jeux en 4 matchs soit 1,25 jeu perdu par rencontre.

    Berdych a remporté la première manche 6/3 contre Anderson. Berdych ne réussit pas trop au grand Sudaf. Il fait tout un peu mieux que lui.

    Na Li et Goerges sont dans le tie break du premier set.

    Et j’ai vu un Daniel Guccione chez les juniors. Le frere de Chris ?

    • Babolat 20 janvier 2013 at 08:16

      Na li remporte ce tie-break sur un coup droit gagnant qui vient lécher la ligne.

      Berdych a fait le break mais a galéré pour le confirmer. Ca se complique pour Anderson.

      • Babolat 20 janvier 2013 at 08:47

        6/2 Berdych dans le deuxième set. Anderson a bien essayé de monter pour changer la donne mais il n’a récolté que des passings dans les dents. Rien à faire contre ce Berdych là.

        Apres le gain du tie break, Na Li a déroulé tranquillou. 7/6 6/1 pour la jolie chinoise.

  28. Antoine 20 janvier 2013 at 10:01

    Défaite décevante de Nishikori. Je m’attendais à ce qu’il fasse mieux que cela, prendre un set, voire plus. Or ce n’est pas loin d’être une raclée. Le Ferrer est en forme…

    Que s’est il passé entre Tipsarévic et Almagro ? Abandon mais pourquoi ? Manifestement son match précédent contre Benneteau doit y être pour quelque chose. Dommage que Benneteau ne soit pas passé, il aurait fait mieux que lui….

    Berdych a également l’air de s’acheminer vers une victoire facile en trois sets..Il aura le droit de perdre au prochain tour contre Djoko si ce dernier passe Stan..

    • Babolat 20 janvier 2013 at 10:09

      Blessure au talon apparemment pour Tipsarevic.

    • Patricia 20 janvier 2013 at 11:06

      Le score est loin de refléter le match, quand même… Nishikori se procure plus de balles de break que Ferrer (13 contre 11) mais il n’en convertit que 2, contre 7 pour Ferrer… le 1er set dure 46 mn, le dernier 53.
      Et Ferrer est très content de son jeu « Today I played very good, one of the best matches on my career in Australian Open. I’m very happy with my game. The result, it was in three sets, but the game, it was very, very difficult to beat Nishikori. »

      Extraits du compte rendu : « Despite the one-sided scoreline, the match opened with remarkably high quality; the rallies long, intense and athletic from the get-go. Especially attractive were Nishikori’s net ventures, the Japanese player picking off a pair of technically perfect backhand volley winners to immediately put Ferrer under pressure on serve. Yet Ferrer escaped, and there emerged the trend that was to characterise much of the first set – although games were close and points competitive, the No.4 seed proved rock solid when it mattered most. Clearly angered by his sub-par form, he channeled these emotions into his shots. And they came off. Now he was running the Spaniard ragged in scintillating rallies, and consistently hitting his spots. When he broke back and later moved ahead 4-3 – the first time he’d led in the match – the crowd had come to life. The key game came at 4-4, a glorious 10-minute battle that extended to several deuces and produced some of the best rallies of the match. But, somewhat predictably, it was the Japanese 23-year-old who erred first, grabbing at his knee as Ferrer broke for the right to serve for the match. »

  29. Babolat 20 janvier 2013 at 10:11

    Quel tie-break entre Berdych et Anderson. Le tchèque s’impose 15/13 après avoir sauvé 5 balles de set. Le 3ème set a duré 12mn de plus que les deux premiers sets réunis.

  30. MONTAGNE 20 janvier 2013 at 10:22

    Questions aux statisticiens : quel est le record de points dans un tie-break ?
    Le 18/16 Mac vs Borg à Wimbledon est resté longtemps légendaire.
    En tous cas, ici, ils ont gagné tous leurs points de service jusqu’à la balle de match.
    Je maintiens mon prono pour Berdych à la RYSC.

    • Babolat 20 janvier 2013 at 10:31

      D’apres mes archives, c’est 20/18 le record. Et c’est arrivé a 6 reprises dont un Federer/Safin en 1/2 du masters en 2004. Les autres sont Borg/Lall, Roddick/Tsonga, Ivanisevic/Nestor, Acasuso/Phau et Ivanisevic/Rusedski.

      Et Il y a eu un échange de mini-break entre Berdych et Anderson.

      • MONTAGNE 20 janvier 2013 at 12:15

        Merci pour ces précisions
        L’échange de mini break m’avait échappé

  31. antsiran23 20 janvier 2013 at 10:55

    C’est marrant, je regarde Djokovic. Il a un corps sec comme un cycliste…

    • Patricia 20 janvier 2013 at 12:06

      Pas tout à fait, un N°1 cycliste de nos jours c’est ça :
      article-2182103-1453ECFF000005DC-858_634x443.jpg
      Bradley-Wiggins-in-his-ho-008.jpg

  32. fieldog (vainqueur Odyssée 2010 et RYSC 2012) 20 janvier 2013 at 10:59

    J’ai rêvé cette nuit que Stan tapait playmobil : il est temps que le suisse concrétise face à un cador.

    Super début de match en tout cas !

    • Alexis 20 janvier 2013 at 11:07

      En avant les histoires.

      • fieldog (vainqueur Odyssée 2010 et RYSC 2012) 20 janvier 2013 at 11:15

        lol , non mais t’as vu sa coupe ?!

      • Alexis 20 janvier 2013 at 13:32

        Seul Kafelnikov a fait mieux en son temps, avec sa frange crénelée en triangles.

  33. Noel 20 janvier 2013 at 11:00

    Wah, Waw qui double-breake Djoko sur un superbe point, voila un match qui devient interessant.

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