Andre Agassi 2010

By  | 1 novembre 2010 | Filed under: Regards

Longtemps Andre Agassi fut une énigme laissant perplexe et dubitatif. Jusque récemment. Jusque début septembre quand un de mes nombrables amis m’offrit le numéro 98687 de l’édition francophone d’Open, l’autobiographie écrite à quatre mains, plus exactement les propos enregistrés d’Agassi et l’excellent travail de mise en forme du journaliste John Joseph « J.R. » Moerhinger. Deux ans d’effort et de collaboration intense entre les deux hommes. Disponible depuis décembre 2009 dans toutes les bonnes quincailleries de langue française, de Montréal à Abidjan espérons-le, en passant par la FNAC Italie 2, Place d’Italie d’où provient le numéro d’impression 98687. J’attendis presque deux mois pour en entreprendre la lecture.

Bien m’en prit.

Ouvrons Open et examinons la structure de l’ouvrage volumineux.

La première de couverture entièrement remplie de l’ovale de la figure fait adroitement penser à un gros plan de Harry Dean Stanton dans Paris Texas, mais un peu plus lucide et éclairé, occupe la totalité de la page et fait corps avec le titre qui propose de s’ouvrir.

La quatrième de couverture relaye le tissu d’âneries destiné à faire vendre l’objet. C’est bien là le but de la publication d’un livre : « …du chaos punk des années 1980… un homme qui a choisi d’utiliser son succès pour changer le monde. » La soupe mondiale pour que la ménagère achète est servie. Agassi était un punk devenu père Thérésa, qui veut changer le monde en aidant les pauvres.

Le livre ne dit évidemment rien de cela.

Passons à l’intérieur.

A- Présentation

D’abord une exergue de Van Gogh insiste sur la nécessité de trouver l’amitié et l’amour, unique chemin pour accéder à la liberté et au bonheur. Mal traduite et difficilement compréhensible, très lourde, comme le reste de la traduction, donne une fâcheuse première impression. On imagine le peintre néerlandais s’exprimant dans une langue fluide. Nous reviendrons sur la traduction calamiteuse.

Puis, avant le chapitre 1, Agassi commence par un autre intitulé La fin. Sa dernière victoire, homérique contre Baghdatis, deux jours avant son dernier match, est classique et défendable. Comme Ettore Scola dans Nous nous sommes tant aimés, Andre va présenter son histoire, à rebours de l’épilogue. Comment est-il arrivé trente-six ans et un mois après sa naissance à ce match contre Marcos ? Nous allons voir la destinée d’un homme. Le thème du livre se trouve là, dans le devenir, un Ecce homo nietzschéen, comment l’homme devient ce qu’il est. Comment Andre tue le Kid de Las Vegas pour devenir Andre Agassi. A partir de 29 ans.

Au delà d’insignifiantes anecdotes, des épiphénomènes merdiques relayés abondamment par la presse internationale. Par des journalistes qui doivent eux aussi gagner leur vie : il a joué avec une perruque jusqu’à 24 ans, critique une dizaine de joueurs, n’aime pas le tennis et s’est même dopé. Et après, on s’en fout. Personne ne va voir ce que cela signifie dans le contexte des 500 pages, ni de l’évolution de son rapport à ce sport. Agassi décide d’être Open, les journalistes non.

Peu ont commenté ce livre, le récit de vie d’un être humain en milieu de vie. Ni proposé un début de critique, ou d’analyse. La publication n’étant qu’un commerce, pourquoi parler d’autres choses que de sa perruque ? On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. Il faut vendre.

Tentons donc un plan :

B- Développement

I- 1970 – 1987, enfance et adolescence. Chap 1 à 8. Jusqu’à 17 ans.

La formation du monstre, enfant d’un hydre à deux têtes, son père puis Nick Bollettieri à partir de douze ans, est longue autant qu’éloquente, étouffante. Nécessaire. Où l’on comprend pourquoi Agassi doué pour ce sport, n’est qu’un produit de consommation sans substance, n’obéissant qu’à des stimuli, subissant son existence tout en devenant compétitif. Tout d’abord le père, fou, ayant fui l’Iran et la pauvreté, projetant sur son fils ses rêves de tennis. Une longue et minutieuse description de son absence de liberté. Un million de balles frappées annuellement devaient et l’ont amené à la première place…

Achetant un terrain au milieu du désert dans le seul but de pouvoir y construire un terrain de tennis pour entraîner André alors âgé de trois ans.

Le désert. Le thème est omniprésent. Agassi a grandi dans le désert. Agassi est un enfant du désert. Au sens premier et figuré. Il arrive sur le circuit en ne connaissant que le désert avec un court de tennis au milieu et une balle à renvoyer. Ce désert c’est la vie à laquelle il avoue ne rien connaître que deux folies complémentaires le poussant jusqu’au sommet du tennis, son père par amour et pour la gloire, Bollettieri pour l’argent.

Où on apprend que son père l’envoie chez Bollettieri pour ne pas le détruire comme ses trois premiers enfants. L’école de Nick représentant une version allégée de Full metal jacket et de la première prison paternelle, où la déshumanisation engendre des résultats probants.

Andre a 17 ans, il commence à gagner quelques matchs, et entre dans les 100 premiers mondiaux.

II- 1988 – 1998, le jeune adulte. Chap 9 à 21. 18 à 28 ans.

La construction. Agassi construit l’essentiel de sa carrière. Vie de jeune adulte. Rencontre fondamentale avec Gil Reyes, préparateur physique qui s’occupe de lui avec affection. Agassi parle de lui comme d’un père de substitution. Je pense qu’il s’agit aussi d’une mère.

Erre aussi entre Wendy et Brooke Shields pour passer le temps. Un homme au bord de la crise de nerf. Un homme parmi les hommes. Cette partie est plus connue, des défaites et des victoires.

Une très lente évolution vers l’âge adulte.

III- à partir de 1999, Ecce homo, the Kid devient Andre Agassi. Chap 22 à 29. 29 ans à aujourd’hui.

Le récit est bien mené. Le centre névralgique de l’existence, celui qui décide d’une existence est particulièrement beau. Juin 1999, finale de Roland-Garros contre Andrei Medvedev. Le match qui décide d’une vie. Medvedev peut passer de grand joueur à champion pour une première victoire en Grand chelem, Agassi de grand champion à Immortel, remportant le dernier tournoi qui lui manque, dans ce qui sera sa dernière occasion de le faire, moment magique coïncidant avec ses débuts avec Steffi Graf qu’il courtise depuis presque dix ans.

Le livre montre la cohérence de l’existence. Il aurait pu rencontrer Steffi Graf en 1990, devait battre Andres Gomez la même année, mais le sens de sa trajectoire en aurait été autre.

En 1999 à Paris, il s’en sort par chance contre Clément, la folie Agassi prend enfin, la vraie, plus le marketing. Il raconte bien ce point en finale, la balle de break qui est presque une de match contre lui mené deux sets zéro déjà.

Il la sauve sur un détail, un peu de réussite. Et le match tourne.

La plus grande émotion de sa vie, qui n’a le tennis que comme apparence. Il a gagné pour lui et non pour les autres en même temps qu’il va rencontrer autre chose qu’une actrice de série B pour passer le temps.

La conclusion est splendide, limpide, renvoyant l’analyse finale de Ted Tinling dans les cordes. En substance il dit : « Non je n’étais pas rebelle, il faut vraiment être con pour croire que jouer avec un short en jean est autre chose que du marketing, pas plus que je suis un modèle maintenant marié et doublement père. Je me suis juste trouvé. Cela me fait du bien de le coucher sur le papier. » Agassi n’est plus un produit, il est devenu un homme. Il ajoute même qu’il n’essaiera pas de pousser ses enfants au tennis, mais les incitera plutôt à lire.

Les journalistes continuent en 2009 à vendre le short en jean de 1988. Qu’importe le livre existe. Et tout le monde peut le lire.

J’aimerais ne pas finir sur un traditionnel bon mot mais il me semble définitivement juste.

Agassi en 501 pages toutes rondes nique son short en jean de merde, casse son mythe en carton pour construire un mythe, très américain, ou simplement un homme, arrivé au bout de sa route, comme les personnages de Kerouac, mais lui à un début de réponse et d’achèvement. En cela le livre est remarquable, respectable et exemplaire. Le propre de l’autobiographie est de communiquer avec l’autre. D’établir un rapport de connivence. Pour ma part, je crois avoir entendu Agassi. Comme lui j’ai eu un paternel spécial, je ne sais pas si je suis quelqu’un de bien maintenant, mais je sais pourquoi j’étais un sacré trou-du-cul.

C- Commentaires et relectures d’Agassi.

Ayant quitté sans regret aucun Agassi en septembre 2006 à l’issue de ses deux derniers matchs, et connaissant les passages croustillants du livre, je repris contact avec lui en octobre 2010, partant sur un a priori négatif, plutôt fermé devant l’opus Open – voilà la preuve qu’on peut avoir lu des milliers de livres sérieux et être toujours aussi con.

A ma décharge néanmoins, je dois être le seul être humain à avoir parcouru et survécu à l’intégralité des écrits de Nathalie Tauziat (Les dessous du tennis féminin), Arnaud Clément (Passing Potes), le livre du premier coach de Becker et celui de Chris Evert, un petit bijou dont le nom m’échappe. De quoi avoir de sérieux doute sur la possibilité d’une production de qualité venant d’un joueur de tennis et en sortir avec quelques dommages intellectuels.

Pourtant, comparant cette lecture à un match en cinq sets commencé avec un break d’avance en ma faveur, je dirais que j’ai perdu de justesse 7/5 le premier set, puis facilement le second 6/2. Et 6/0.

1 – Agassi au commencement.

Revenons vingt ans avant. Et même vingt-deux. 1988. Les jeunes singeaient Agassi. Achetant un short en jean en 1988 ou un panti fluorescent quelques années plus tard. Comme on leur disait de voter pour n’importe qui sauf Le Pen, de manger McDonald puis bio dix ans plus tard, ils achetaient également chers les vêtements d’Andre. Docilement. Une éternelle histoire de moutons et de Panurge. Je n’avais rien contre Agassi, rien à lui reprocher particulièrement, pas davantage qu’au Coca-cola ou au hamburger remarquez que je consommais occasionnellement. Civilement adulte, il faisait son boulot du mieux qu’il pouvait, avec son physique et sa conscience nulle des choses à ce moment ; moi je me désintéressais méthodiquement de la balle jaune, l’âge et l’absence de retransmissions à l’époque favorisant également cette inclination.

Avant cette lecture, Agassi représentait un phénomène intéressant de par le jeu et le personnage, mais davantage du fait qu’il représente la première étape de la dernière évolution-révolution du tennis. Sans retour possible. Agassi instigateur malgré lui du règne d’une puissance suggérée par Ivan Lendl et Boris Becker au mitan des années 1980, avec des styles inimitables eux ; un arrachage quotidien des sourcils et des poches pleines de sciures de bois pour le Tchécoslovaque, des shorts ceinture explosés par des cuisses wagnériennes pour l’Allemand.

Agassi n’a rien à voir, il ne peut être qu’imitable. Voilà la fin de toute poétique et du monde d’avant, le triomphe définitif de la force sur le dilettantisme. Il y a un avant et un après Agassi dans le tennis. Performance rare pour un sport de plus en plus populaire existant depuis 136 ans aujourd’hui, depuis la naissance en Angleterre du tennis et de Churchill en 1874.

Je n’aimais ni ne détestais Agassi, sans savoir pourquoi. Grâce à son Open dans lequel il s’ouvre, je sais pourquoi je n’avais jusqu’à présent rien écrit de près ou de loin sur un incontournable contemporain. Pourtant même Arantxa Sanchez eut droit a mes faveurs.

Agassi après Montaigne et deux trois autres va nous dévoiler une part de son être, comme Michel, de M, il essaiera d’être open envers son lectorat.

« C’est ici  un livre de bonne foi. Il t’avertit dés l’entrée, que je ne m’y suis proposé aucune fin, que domestique et privée : je n’y ai eu nulle considération de ton service, ni de ma gloire : mes forces ne sont pas capables d’un tel dessein. Je l’ai voüé à la commodité particuliére de mes parents et amis : à ce que m’ayant perdu (ce qu’ils ont à faire bien tôt) ils y puissent retrouver aucuns traits de mes conditions et humeurs, et que par ce moyen ils nourrissent plus entiére et plus vive, la connaissance qu’ils ont eu de moi. Si c’eut été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse paré de beautés empruntées. Je veux qu’on m’y voit en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans étude et artifice : car c’est moi que je peinds. Mes défauts s’y liront au vif, mes imperfections et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l’a permis. Que si j’eusse esté parmi ces nations qu’on dit vivre encore sous la douce liberté des premiéres lois de nature, je t’assure que je m’y fusse trés-volontiers peint tout entier, et tout nu. Ainsi, Lecteur, je suis moi-mesme la matiére de mon livre : ce n’est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain. A Dieu donc. » Au lecteur, Montaigne 1580, préface des Essais.

Andre a le même projet. Nous allons pouvoir relire les évènements de sa vie.

2 – Production hollywoodienne et révolution.

La raison de ma longue perplexité, agaçante concédons le à la fin, venait du fait que le personnage sortait d’une production hollywoodienne au schéma invariable, intéressante car nouvelle cette production, mais sans surprises, à l’opposé des œuvres européennes, inégales, mais individuelles et originales. Voilà qui m’interdisait une quelconque passion envers le produit. Le produit justement. Bridant le personnage. L’annihilant à coup de filières mécaniques répétitives et inéluctables : service excentré avec effet, coup droit dans l’angle opposé avec prise de balle le plus tôt possible, frappe très lourde, temps de replacement entre les frappes et entre les points minimes, surtout imposer un rythme trop rapide pour l’adversaire rendant définitivement obsolète un siècle de jeu, fait de nuance et de changements de rythme. Plus de changement de rythme. Une accélération permanente du rythme ou, maintien d’un rythme élevé rendant impossible tout autre rythme.

Le stupéfiant temps Agassi est en marche. Noah parlait du rythme à trouver, de la musique intérieure à rechercher. En tennis comme en littérature ou tout autre art, tout est une question de rythme. Agassi marque probablement la fin du questionnement de l’appartenance du tennis à l’art. Car un seul rythme sera possible, ressemblant à la fanfare du 14 juillet.

Révolution.

3 – Agassi Terminator comme anticipation.

Quelque-chose de fascinant dans le chevelu de 18 ans de 1988 : un Frankenstein séduisant fabriqué par son père et Nick Bollettieri. Agassi tient plus du phénomène de foire que du joueur traditionnel. De là une inquiétude sourde né à l’aune des années 1990, se vérifiant partiellement en 2010, celui du règne de la technologie.

Dans un parallèle historique cinématographique avec l’époque d’Andre, Agassi serait la version première balbutiante du Terminator, faillible, Nadal sa version achevée. La mort du tennis. Le règne de l’Ennui.  Le tennis est – ou était – communément considéré comme un sport intelligent, faisant appel à des ressources morales ou psychologiques insoupçonnées, très différent d’un sport collectif. Ainsi, Leconte sera le nouveau Rod Laver. Dix ans après le même journaliste corrigea sa prédiction en sortant ce mot resté fameux « La différence entre les Leconte et Laver est entre les deux oreilles. » Le monde jaune bien avant Agassi. Aujourd’hui, il sera possible d’être un parfait anonyme et d’être un des plus grands – au minimum – joueur de l’histoire. Que la fuerza te acompana Rafa.

Nadal n’est pas méchant bien sûr. Un quidam quelconque, qui durant sa vingtaine d’heures quotidiennes de libres supporte le Real Madrid, cherche publiquement à copuler avec Shakira, et surtout joue à la Play Station. Comme tout hétérosexuel mâle qui se respecte. Il ne semble être que cela. Et depuis sept à huit ans que nous le fréquentons, cela vire à la certitude. Triste règne du commun.

Quel autre grand tennisman peut être de banalité affligeante ? Le vrai problème Nadal c’est la mort  de l’imagerie chevaleresque associée à la chose tennis et de toute subtilité.

C’était ça en creux la crainte sourde provoquée par Agassi. L’ère du Nadal et du Berdych. C’est bien là la limite de l’activité tennis, sa face cachée. Le fils de Sarah Connor, Roger le Bâlois ballot parfois, repoussa longtemps l’avènement. C’est exactement ce que dit Agassi en filigrane, parlant juste de la puissance de Nadal qui le balaye lors de son dernier Wimbledon 2006, alors qu’il évoque avec insistance la perfection unique de Federer qui l’écrase naturellement plusieurs fois.

Soulagé de ne pas faire école Andre.

A travers Agassi, je découvre le problème que j’éprouve envers Nadal, le fait qu’il remette en cause mes convictions, là où Agassi ne fit que les ébranler. Il ne reste bien que la littérature pour nous consoler, ou l’écriture du moins, l’Open d’Agassi par exemple, il l’a bien compris. Tout le propos d’Agassi fut de chercher puis de retranscrire l’humain.

Les journalistes n’ont pas lu ou rien compris car au-delà de sa perruque, de ses haines, c’est cela qui explique Open.

D’ailleurs le chapitre final qui s’intitule Début, le montre heureux de taper la balle avec sa femme.

4 – Critique de l’édition.

La critique à faire de ce livre concerne l’édition française. La précipitation de la publication due à l’arrivée des dernières fêtes de 2009 explique mais n’excuse en rien certaines fautes, que l’on ne trouverait même pas dans une revue échangiste de la région PACA.

Première erreur. Les deux traducteurs sont nullissimes, connaissent les subtilités du tennis et du français autant que moi l’hébreu. Là où un Nelson Monfort eût parfaitement fait l’affaire, les éditions Plon ont dégotté Suzy Borello et Gérard Meudal pour la besogne. Exemple d’incompétence, l’expression « Kick my ass » traduite une bonne centaine de fois littéralement par un « Botter le cul » pourtant assez rare de par chez nous, rend le texte d’une lourdeur indigeste. Quelqu’un aurait-il l’idée crétine de traduire mot à mot l’expression « coller une danse », ou « mettre son poing sur la gueule » dans la langue de Barack Obama ?

Second problème. Le nombre de coquilles et d’oublis de mot rend la lecture fastidieuse. Si la coquille fait partie de l’édition, son omniprésence est un phénomène inconnu à cette échelle de publication. On apprend que Agassi a été choqué « shocking » à tout bout de champ, pour tout et rien. Rappelant que si le mot shocking est courant aux États-Unis, choquer en France ne s’utilise que dans quelques usages spécifiques. Les substituts attendus comme « étonné », « perturbé » ou « dérangé » sont des mots pourtant usuels.

Les éditions Plon qui effectuent là un de leurs plus gros coups de fric ont réalisé un travail indigne. Un boulot de merde pour un livre qui ne l’est pas. Un massacre. Imaginons qu’il ne s’en vende que 100 000 exemplaires pour l’édition française. Chiffre hallucinant et rare dans le milieu. A 22 euros l’unité, 2.2 millions d’euros de chiffres d’affaires méritent autre chose qu’une traduction de soudards incultes. C’est dommage car le récit – même massacré – est intéressant. Si je m’énerve un peu c’est que j’en ai parcouru des ouvrages, des petits des gros, des chefs-d’œuvres, des daubes, sur tous les sujets, mais je n’avais jamais vu ça. Pas à ce niveau de production. Incroyable venant d’un livre générant des revenus colossaux. Certains d’entre vous penseront peut-être « Mais qu’est-ce qu’il nous fait chier avec son style ? , on veut lire la vie d’ Agassi nous autres, on s’en fout de Proust et de Molière. » Erreur je pense. La forme doit être intelligible pour exprimer le fond du propos.

Voilà vive Andre. Un livre qui peut être mis entre toutes les mains, même non amatrices de sport.

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656 Responses to Andre Agassi 2010

  1. Nath 2 novembre 2010 at 19:27

    Bon, ben ce match n’a pas dérogé à la règle des raclées du jour finalement. Le Ferrer-GGL qui s’est terminé en même temps était bien plus serré, mais les ratios W/UE sont dignes d’un match de WTA (Ferrer : 16/48 8O ).

  2. Chewbacca 2 novembre 2010 at 19:35

    Francky t’es où?Antoine t’as refilé des adresses pour la Grèce?Si t’as pécho tiens moi au courant ,je veux tout savoir.

    A+

    Vive Zizou!Je t’aime!

  3. Diana 2 novembre 2010 at 19:50

    Beau programme demain à Bâle :)

    http://www.atpworldtour.com/posting/2010/328/op.pdf

    N’est-ce pas Chewi ? Toi aussi tu cherches Franckie ? Visiblement, on ne sera pas trop de 2 :oops:

  4. MarieJo 2 novembre 2010 at 19:52

    bonsoir la troupe… et merci à lionel pour cette revue d’agassi.

    pour avoir un apperçu de l’oeuvre originale, je vous conseille ce lien, qui remprend pas mal de passages clés du bouquin en VO :
    http://sportsillustrated.cnn.com/vault/article/magazine/MAG1161984/1/index.htm

    je partage comme bcp d’autres le fait qu’il n’y a pas eu un avant ou après agassi en tennis, sauf en ce qui concerne nike. la marque s’est emparée des joueurs pour en faire des tops modèles, en les rhabillant à foison, façon barbie et ken… j’avoue que ce côté marketing poussé à l’excès est le pire héritage d’agassi.

    mais en ce qui concerne le jeu, l’héritier direct s’appelle davydenko ou nalby, nadal reste dans une filière de fond de court, mais c’est bien tout ce que je leur trouve en commun.

    « Le vrai problème Nadal c’est la mort de l’imagerie chevaleresque associée à la chose tennis et de toute subtilité. »
    la dessus je te trouve complètement réac, ou nostalgique des aventures du roi Arthur et son excalibur avec roger en rôle titre ?
    http://www.lifelounge.com/resources/IMGRELATED/AnnieLeibowitz_FedererKingArthur.jpg

    le tennis n’est pas une histoire de preux chevaliers, partis conquérir un graal… le tennis est une histoire de talent au service d’une volonté d’être un champion… certains partent avec l’armure au complet, bénéficient des meilleurs enseignements, se plantent magistralement ou repartent glorieux ! tout est possible.
    d’autres se forgent leurs armes en fonction du même objectif : gagner.

    et comme l’ont bien souligné certains, gagner est une affaire de pragmatisme et de réalisme. Et quoi qu’on en dise, federer ne manque ni de l’un ni de l’autre.

    pour en revenir à agassi et à son héritage, le sponsoring a commencé a prendre une nouvelle dimension, là ou ses ainés avaient encore du mal a percevoir des sommes importantes en dehors des tournois et des garanties, agassi a gagné largement autant de fric avec ses contrats.
    le revers de la médaille, c’est que tout le monde n’est pas loti à la même enseigne, quand fed ou sharapova signent pour des millions, davydenko rame pour un malheureux sponsor de fringues…
    les écarts dans ce domaine sont devenus criants, et indécents parfois. le tennis bling bling me gêne.

    la trajectoire de l’homme reste presque plus intéressante que celle du sportif, j’aime pas énormément le gendre idéal.

    • Diana 2 novembre 2010 at 20:00

      Moi aussi il me gêne ce tennis là, mais en fait, ça gêne tout le monde, sauf qu’on est assez cons pour continuer de s’y intéresser, entretenant ainsi le côté détestable.

      En ce qui me concerne, je suis cependant décidée à contester cela dès.. fin 2012 on va dire :mrgreen:

      PS : il n’y a pas que Fed ou Sharapova qui signent pour des millions, mais m’étant engagée, je ne citerai pas de nom :)

      • Chewbacca 2 novembre 2010 at 21:16

        Oui ,Nadal aussi effectivement ,sauf que lui ça ne fait bling bling ,par contre ça provoque des sècheresses oculaires.

      • MarieJo 2 novembre 2010 at 22:03

        je pense que les contrats de fed et sharapova ont battu des reccords, tu voudrais pas enlever un reccord à fed, hein ;) maintenant, tout numéro un qui se respecte a un tarif minimum, obligé non ;)

        2012??? je pense que fed a signé pour plus longtemps avec nike, compte au moins 2016 :)

        par contre pour les filles, je ne sais pas mais les récents come backs en cascade me font penser que finalement ça doit bien marcher la wta :)

    • Duong 3 novembre 2010 at 00:13

      Nalby à la volée c’est autre chose qu’Agassi… et il fait autre chose que du droite-gauche.
      Tu n’es pas sensible au talent du crooner argentin ?
      Moi si : http://www.youtube.com/watch?v=0iRFFssZ7Qo
      Non sans blague j’adore le jeu de l’Argentin que je trouve hyper-créatif (et de bras, il est à mon avis plus doué que Federer, c’est le corps qui lui manque :lol: ) alors qu’Agassi bof.
      Davydenko ça serait déjà plus l’héritage d’Agassi, même si cette fois c’est Agassi qui était plus doué.

  5. fieldog 2 novembre 2010 at 22:18

    Pas grand-chose à ajouter au florilège de commentaires sur ton article Lionel, donc je vais me limiter à un simple bravo.

    Kontinen, second poulain de l’écurie 15LT vient lui aussi de se faire sortir au challenger d’Eckental. Après Dimitrov, triste journée pour nos espoirs :(

    • Duong 3 novembre 2010 at 00:20

      on n’a quà prendre Harrison à la place :lol: : il vient de battre Sweeting, un très bon joueur tout près du top-100 mondial 63 64.
      Et Yuki Bhambri, le 4e joueur prometteur de la génération 92, a passé son premier tour de challenger 76 au 3e après s’être qualifié pour le tableau final. Pourtant lui a passé une mauvaise année, mais ça revient.

      Pour ceux qui n’ont jamais vu jouer Harrison :

      http://www.youtube.com/watch?v=OFwLpg57LT0

    • Duong 3 novembre 2010 at 00:23

      Harrison a du toucher, un peu à la Gasquet, mais a l’air plus costaud mentalement

    • Duong 4 novembre 2010 at 07:33

      Harrison a perdu cette nuit contre un obscur qualifié

  6. hamtaro 2 novembre 2010 at 22:47

    intéressant comme article, je me suis un peu perdue au milieu mais bon…

  7. Duong 3 novembre 2010 at 00:15

    Tiens pour parler d’Agassi, vous savez que depuis longtemps il y a un jour qui m’intrigue : Andrea Agazzi http://www.atpworldtour.com/Tennis/Players/Ag/A/Andrea-Agazzi.aspx
    le pire c’est que né en 82, ses parents n’ont même pas fait exprès !
    il joue régulièrement en tournois futures.

  8. Elmar 3 novembre 2010 at 01:26

    ATTENTION!!!

    Ceci est un SOS désespéré. Y a-t-il des experts informatiques ici?

    J’ai un souci de taille pour mon prochain article qui devrait normalement comprendre un tableau (sous openoffice) très lourd (au point que je ne parviens même plus à le conserver avec le texte; j’ai donc un fichier texte et un fichier tableau). Mais impossible d’assembler cela sur l’éditeur de 15LT de manière satisfaisante…

    Vu le nombre d’heures à concevoir le tableau en question, je suis totalement au fond du gouffre. Si qqn pense pouvoir m’aider, il peut me contacter par email.

    • Guillaume 3 novembre 2010 at 08:32

      Je crois qu’il faut que tu transformes ton fichier en image, ça sera moins lourd et permettra de l’adapter aux bonnes dimensions. Le logiciel GIMP est très bon pour ça. Colin, ai-je bon ?

    • Colin 3 novembre 2010 at 09:40

      Oui, le mieux est d’en faire une image.
      Tu peux par exemple l’afficher intégralement dans ton écran, puis utiliser la fonction « imprimer écran » de ton PC ou de ton mac, puis « coller » l’image ainsi obtenue dans un gratuiciel de gestion d’image (irfanview, xnview, gimp… tous des freeware) pour nettoyer l’image de ses bordures inutiles.
      Si tu n’y arrives pas, envoie le moi, j’essaierai de t’aider.

      • Elmar 3 novembre 2010 at 12:36

        Mon tableau fait presque 2 pages pleines sur Open Office, du coup, impossible de l’afficher en plein écran.
        J’ai tenté de le transformer en jpeg via pdfcreator, mais franchement, le résultat est dégueulasse. Je me doute qu’on devra s’en contenter, mais je suis dégoûter après tout le boulot que je me suis coltiné…
        Je vais tenter le coup avec gimp.

        Vraiment aucun moyen de le conserver comme tableau plutôt que comme image?

        • Robin 3 novembre 2010 at 13:01

          Tu as essayé de l’exporter en pdf depuis OpenOffice ? Je pense que la qualité sera meilleure.

        • Elmar 3 novembre 2010 at 13:18

          Essayé. Ca a pas marché.

          C’est un vrai casse-tête. Mais j’ai refilé la patate chaude à Colin, j’en avais trop marre.

    • Le concombre masqué 3 novembre 2010 at 10:08

      Plu simple peut-être? : tu sélectionnes ton tableau, puis tu fais « Copier ».

      Tu vas dnas ton Word , tu fais « Edition » « collage spécial » ouis tu choisis « Image (métafichier amélioré) ».

      Tiens nous au jus

      La bise

      • Le concombre masqué 3 novembre 2010 at 11:19

        J’ai les doigts carrés moi ce matin…en même temps, sans bras, j’aimerais vous y voir…

      • Colin 3 novembre 2010 at 12:34

        Oui sauf que cette méthode donne souvent des résultats pas jolis à l’oeil. Et en plus Elmar n’a pas l’air d’avoir Word mais OpenOffice, et là je ne sais pas ce que ça donne.

        • Elmar 3 novembre 2010 at 12:51

          You’ve got a mail.

        • Colin 3 novembre 2010 at 13:57

          J’ai fait une version « image » pas trop moche. J’essaierai ce soir de faire une version « tableau » (j’ai essayé vite fait mais pour l’instant c’est très laid!).

        • Elmar 3 novembre 2010 at 14:10

          T’es mon héros!

          Pour récompense, t’as l’article en primeur!

          Merci 1000 fois.

        • Colin 3 novembre 2010 at 14:25

          Oui, d’ailleurs j’ai des commentaires à faire, tu les veux en primeur ou tu préfères attendre la publication? :lol:

          • Elmar 3 novembre 2010 at 14:34

            Ca dépend. C’est en bien ou en mal? Lol.

            Allez, je suis pour la critique, si ca peut me permettre d’améliorer le papier… tant que ça ne concerne plus le tabeau que je ne toucherai plus!

            J’attends ton mail!

            • Jean 3 novembre 2010 at 14:36

              Il veut tes sources !

  9. Robin des bois 3 novembre 2010 at 06:37

    BREAKING NEWS : conf de presse de tsonga à 11h
    J’attends un petit cadeau de Santa Claus pour Novak ;)

    • Arno 3 novembre 2010 at 08:56

      Saison terminée pour Jo.

      Toute la pression va être sur Monfils. Soit il s’écroule, soit il sort le week-end de sa life tellement il les prend tous au 100m en devenant plus malin que lui-même.

    • karim 3 novembre 2010 at 09:32

      Les plus de 35 ans, qui a connu la BD des « démontables » dans le journal de Tintin? Jo c’est le joueur de tennis démontable.

    • Sylvie 3 novembre 2010 at 09:41

      C’est tout de même dommage. Le choix de Forget pour le deuxième simple ne va pas être facile. Les deux tournois à venir vont être cruciaux

      • Arno 3 novembre 2010 at 09:54

        De toute manière, Djoko sera imprenable en simple. Je le vois d’ailleurs bien faire de la figuration au Masters histoire de récupérer un peu.

    • Duong 3 novembre 2010 at 11:08

      oui l’Equipe dit « saison terminée » même si la conf n’a pas encore eu lieu
      Ceci dit, c’est pas fini, car Simon joue bien aussi.
      Problème : on a encore beaucoup de doutes sur le double, Benneteau sera t-il rétabli ? et même Llodra donne des doutes car il accumule les petits pépins.

      • Arno 3 novembre 2010 at 11:10

        Llodra-Clément, pour le double. Ils se connaissent et offrent suffisamment de garanties de succès contre la paire Serbe.

        Le double, c’est pas le principal souci, je pense.

    • Duong 3 novembre 2010 at 11:16

      ça y est c’est officiel.
      Bon on a Llodra-Clément, c’est vrai, mais quand même c’est un point crucial, et en face Tipsarevic-Zimonjic par exemple (car maintenant je vois Troicki jouer le simple), c’est du solide.

      • Arno 3 novembre 2010 at 11:22

        C’est solide en face, c’est vrai. Mais un Llodra libéré de la pression du simple peut être monstrueux en double à Belgrade.

        C’est pour ça que si j’étais Forget, je ferai jouer en simple Monfils et Simon, qui peuvent tous les deux battre Troicki.

        Pour le double, la seule hypothèse effrayante, c’est que le capitaine Serbe décide d’aligner Djoko. Gros risque, mais il est le seul capable d’éteindre les services de Mika, je le crois suffisamment solide pour jouer 3 matches.

        • Le concombre masqué 3 novembre 2010 at 11:22

          Pas mieux.

        • Le concombre masqué 3 novembre 2010 at 11:23

          A sa place, je le ferai. Djoko ne sera jamais cramé chez lui en finale de CD.

        • Chewbacca 3 novembre 2010 at 14:36

          Un Djoko pas très frais c’est à la portée de monsieur tout le monde,reste a savoir jusqu’où ira la Clio à Bâle.

          • Chewbacca 3 novembre 2010 at 14:37

            Oups, elle se joue quand la finale de CD?

            • Chewbacca 3 novembre 2010 at 14:42

              Zé zappé Bercy et la MC sa race,une année à oublier très vite.

          • Nath 3 novembre 2010 at 15:00

            C’est la première fois que tu nous parles de « Clio », c’est Djoko?
            Et surtout, pourquoi?

      • Duong 3 novembre 2010 at 11:28

        oui oui il peut faire jouer Djoko, plus fort en retour que Tipsarevic, mais un peu moins solide à la volée à mon avis.
        Et puis Djoko va être hyper-motivé, c’est vrai, mais pas sûr qu’il faille lui faire confiance à 100%.
        Cette année il n’a pas du tout donné une impression de solidité mentale absolue contre les USA (Querrey et Isner) et même contre les Tchèques (il se gauffre en double et il est à l’article de la mort contre Berdych, ce qui aurait coûté la finale à son équipe).
        Evidemment il peut y avoir eu des probs physiques, pas au mieux à ce moment-là, mais j’ai eu l’impression que la pression de son peuple pouvait aussi lui peser.
        Alors que Tipsarevic m’a l’air d’être un roc et se dépasser dans ces matches cruciaux.
        De toute façon, ils seront sûrement très forts dans tous les points et sont nettement favoris.

      • Duong 3 novembre 2010 at 11:41

        Dans l’absolu, Djoko me semble le joueur à très bien jouer quand très bien préparé et motivé.
        Mais la pression de la coupe Davis dans un pays aussi jeune et nationaliste que la Serbie semble dépasser tout ce qu’il a connu jusque là, c’est ce que j’ai cru voir dans ses matches précédents.
        Et là en finale, devant son public, avec la fatigue d’une saison peut-être des Masters, il peut avoir des moments difficiles.
        Même si je le vois surmonter tout ça bon an mal an en simple, ça serait plus dur en double, où il a moins d’expérience et même de technique, et je vois plus son sélectionneur sélectionner Tipsy.

        • Elmar 3 novembre 2010 at 14:44

          Je pense qu’il n’ira pas au Masters. Ou qu’il y ira en chaussettes.

  10. Djita 3 novembre 2010 at 11:46

    Dommage pour Tsonga. Les chances françaises de gagner la CD se rétrécissent à vue d’oeil et c’est vraiment dommage. Cela dit, c’est vraiment le défaut de Jo et c’est très frustrant pour lui-même d’abord et aussi pour son public. On ne sait jamais si on peut compter sur lui. La CD sera Serbe et ce sera mérité. :cry:

  11. Duong 3 novembre 2010 at 11:51

    un bon article qui résume pas mal des propos de Forget :
    http://www.lefigaro.fr/tennis/2010/11/02/02004-20101102ARTSPO00545-simon-derriere-monfils-et-tsonga.php

    on a l’air parti pour Monfils, Simon en simple, Llodra/Clément en double.

    En face le plus solide pour le capitaine serbe me semble Djoko-Troicki en simple, Tipsarevic/Zimonjic en double.
    Tipsarevic a le plus souvent joué le double, même si le capitaine serbe a essayé Djoko au tour précédent (pour une gamelle).

    Ceci dit, Tipsarevic a une bonne historique contre Monfils (cette année à l’US Open il ne pouvait pas l’attaquer à cause du vent, mais on voyait qu’il savait le prendre) et pourrait donc jouer le premier jour à la place de Troicki.

    • Duong 3 novembre 2010 at 11:53

      moi je pense que s’il y en a un qui peut ennuyer un Djoko qui ne serait pas au top, c’est bien Simon le premier jour.
      Leurs matches ont souvent été très serrés (par exemple quand Djoko gagne Dubai 2009), même si il fallait que Simon joue bien et Djoko pas au top.
      Et Simon me semble tout à fait sur la bonne voie. Il lui manque quelques victoires pour la confiance, c’est pour ça que c’est important pour Forget que Simon batte Verdasco aujourd’hui.

    • Duong 3 novembre 2010 at 11:56

      En revanche les deuxièmes simples sont très loin d’être gagnés.
      Aussi bien Tipsarevic contre les Tchèques que Troicki contre les USA ont donné leur meilleur à domicile, et Troicki a l’air aussi très en forme, Tipsarevic un peu moins mais quand même (il était proche de battre Kukushkin, futur vainqueur du tournoi, la semaine dernière), on va voir ce qu’il va donner contre Federer à 18.00.

    • Duong 3 novembre 2010 at 12:06

      Tipsy et Troicki avaient non seulement donné leur meilleur à domicile, mais en plus très costauds mentalement dans les moments chauds (Troicki c’était contre Isner, le type contre lequel il faut vraiment être hyper-costaud quand il joue bien comme ce week-end là, et Tipsarevic est arrivé sur le court en demie après la défaite de Troicki, Djoko étant malade).
      Pour dire qu’ayant suivi ces matches, la pression du match de coupe Davis à domicile avait l’air très positive pour Tipsarevic et Troicki, mais plutôt négative pour Djoko.
      Même si le type est costaud.

    • Duong 3 novembre 2010 at 12:17

      un dernier truc (oui bavard le type …) : c’est vraiment dommage a posteriori qu’il y ait eu ce cirque à Belgrade qui a empêché que la finale se joue sur terre battue, car nos chances auraient été bien plus fortes sans Tsonga, Djoko revenant du Masters sur rapide contre un Simon qui renvoie tout, et Troicki et Tipsarevic jouant un tennis plutôt offensif dernièrement.

  12. Arno 3 novembre 2010 at 12:34

    Et là… Simon se blesse à nouveau. Gasquet est appelé: sans pression, il atomise Djoko, Troicki, et survole même le double avec Llodra.

    Sur la lancée, il remporte l’Open d’Australie et finit 2011 numéro 1 mondial.

    Là, vous rigolez, hein?? Ben vous avez bien raison.

    • Colin 3 novembre 2010 at 12:36

      Ou plutôt:
      Sur la lancée, il remporte l’Open d’Australie puis, victime d’un burnout, annonce la fin de sa carrière.

      • Chewbacca 3 novembre 2010 at 14:58

        Je confirme Colinette,ici on dit bien Œil de Faucon.

        On dit aussi beaucoup de connerie:

        Lexique du tennis Quebecois:

        Balle de Bris:balle de break
        Balle de manche:balle de set
        Court long croisé:aucune idée.peut être un café.
        Ostie de criss:Nadal
        Tee-shirt:chandail,sa race!
        La blonde de …:la copine de…
        le jeu est barré:le jeu est fermé.Murray par exemple.
        Je « capote » quand je regarde Fed:j’adore.

        en avoir par-dessus la tête :un lob,non je rigole.

      • Colin 3 novembre 2010 at 17:27

        ‘barnâââc !!!

    • Arno 3 novembre 2010 at 12:43

      Ouais, mais c’est moins drôle, c’est presque crédible (sauf pour l’OA, hein, faut pas déconner…).

  13. Nath 3 novembre 2010 at 14:54

    Youzhny remplacé par Ramos-Vinolas :(
    3 LL à Bâle (forfait de Melzer 12°, Ljubi 17° et Baghda 20°), 2 à Valencia (à la place de Youyou 10° et Tsonga 13°), c’est l’hécatombe cette semaine dans le top 20 (et accessoirement parmi les finalistes de la semaine dernière).

  14. Guillaume 3 novembre 2010 at 16:28

    Une anecdote qui a autant à voir avec cet article que le précédent de Jean et ses « enfants du rock » : si les personnalités sortant du cadre tennis ne sont plus légion parmi les joueurs les mieux classés, les caractères hors du commun survivent encore… il faut juste les chercher un peu plus loin : Nicolas Coutelot, dont je vous parlais en février (http://www.15-lovetennis.com/?p=2423), est ainsi un grand fan de zik et lui aussi taquine la six-cordes. On peut même parfois le croiser en concert dans des bars de la capitale.

    Quant au forfait du jour, il complique certes la tâche de l’équipe de France, mais c’est encore loin d’être perdu d’avance : Monfils et Simon en simple, ça reste du costaud et ça peut encore amener 2 points sur 4. Ce qui m’inquiète plus, c’est le double, avec Clément qui ne gagne pas beaucoup de matchs depuis la demi-finale de DC, et surtout, surtout, Llodra chez qui se succèdent les petits bobos. Autant même sans Tsonga on peut toujours gagner – ça sera plus difficile, mais c’est toujours possible – autant si Llodra n’est pas au top et que l’on n’a plus de double, c’est juste cuit. Llodra bouillu, équipe de France foutue.

    • Duong 3 novembre 2010 at 16:41

      complètement d’accord : Llodra est crucial car en face il y aura un bon double, autant pour battre Tipsarevic et Troicki, Monfils et Simon ne sont pas loin d’offrir autant de garanties que Tsonga, autant sans Llodra c’est cuit pour le double.
      D’ailleurs Simon mène 4-0 dans ses confrontations avec Troicki, 1-0 contre Tipsarevic … donc si on arrive à 2-2, Simon pourrait devenir un « héros national » :lol: non pas que ça me réjouisse pour être tout à fait honnête :lol:
      Le seul point crucial changé par le forfait de Tsonga c’est que supporter Monfils et Simon devant la télé bof pour grimper au plafond :lol:

    • Nath 3 novembre 2010 at 17:18

      En voyant le tirage au sort, j’avais pensé (pas sûre de l’avoir écrit) que la coupe était pour la Serbie cette année. Je reste du même avis :mrgreen:
      J’étais plus optimiste qu’une bonne partie d’entre vous sur les chances françaises en quart et en demie, mais là, je vois plutôt les Serbes, et j’avoue que ça ne me déplairait pas.

      @ Duong qui anticipe le fait de « devoir » supporter Monfils et Simon en finale, j’ai résolu ce problème en n’étant pas spécialement patriote en sport (je ne me suis pas forcée, hein!). Mais si Simon affronte Troicki ou Djoko, je serai pour lui vu qu’il ne me dérange pas plus que ça. Par contre, quand « être plus malin que moi-même » sera sur le court, je serai plutôt pour son adversaire. Le principal pour moi étant de voir de beaux matches, et une rencontre serrée, d’autant que les français ne nous ont pas vraiment gâtés cette année sur ce dernier point.

      • Duong 3 novembre 2010 at 19:19

        oui en fait je crois que je serai assez détaché, ça aurait été différent avec Tsonga.
        Par contre moi c’est supporter Simon que j’aurais plus de mal que Monfils.
        Supporter Simon ça revient pour l’essentiel à espérer la faute de Djokovic ou Troicki, un peu rude, même s’il lui arrive parfois de faire des beaux points mais c’est rare, plus qu’à Monfils.

      • Nath 3 novembre 2010 at 19:51

        Si je préfère Simon à Monfils, c’est pour leurs différences en interview, mais aussi question puissance : voir une montagne comme Monfils s’arracher pour remettre la balle dans le court et jouer tout mou, ça me tape sérieusement sur les nerfs… Alors que le jeu de Simon, d’une part est plus mûr, maîtrisé (contrairement à GM, il sait pourquoi il accélère ou envoie une balle molle), mais en plus est parfaitement adapté à son gabarit. Et puis j’aime bien son déplacement tout en souplesse.
        En fait, le choix d’endormir son adversaire et d’accélérer au moment adéquat ne me dérange pas du tout, et Simon fait ce qu’il y a de mieux pour tirer parti de ses capacités, ce qui est un très bon point pour moi.

        Aïe, j’espère que je ne vais pas me faire virer du site!

        Tant que j’y suis, j’aime bien Ferrer aussi, puisqu’il fait au mieux avec ses moyens. Là, le jeu n’est pas le même, lui frappe aussi fort qu’il le peut, vise souvent les lignes…

        J’ai failli faire un paragraphe sur Hewitt mais je pense que ça aurait été la goutte d’eau pour Guillaume :?
        Si je venais finalement à me faire virer du site suite à ce post, je tiens à dire avant que je suis contente d’avoir pu faire partie de l’aventure 15-lovienne, et d’avoir conversé avec vous tous.

      • Duong 3 novembre 2010 at 20:08

        oui oui tout est assez vrai,, mais il attend quand même pas mal la faute.
        Ferrer est aussi souvent considéré comme ce genre de joueurs, ce qui est assez faux en vérité car Ferrer attaque pas mal dans ses matches en fait.
        Ferrer va beaucoup plus essayer de marcher sur l’adversaire avec constance, alors que Simon attend le moment juste pour placer une attaque qui ressemble souvent à un contre.
        Ceci dit oui il fait avec ses moyens, et oui il a diversifié son jeu, très rarement même je l’ai vu faire un match enthousiasmant comme contre Ancic en Australie en 2009.

    • Diana 3 novembre 2010 at 20:16

      J’aime bien Simon en interview, c’est un mec réfléchi avec une analyse souvent très juste, et beaucoup de lucidité.
      Son jeu me barbe assez, je n’ai jamais trop bien supporté (support en anglais)les joueurs défensifs, ils m’endorment (merci à eux de me permettre de conserver mon quota d’heures, indispensable à mon équilibre :mrgreen: ).
      Il est sans doute le seul défensif d’ailleurs qui ne me hérisse pas le poil. Sans doute parce que je sais qu’il a une caboche, ça l’excuse à mes yeux :)

  15. Duong 3 novembre 2010 at 16:44

    Bonne nouvelle : Paulo a gagné 63 63 contre Florian Mayer !
    Autant je n’aime pas Monfils et Simon, autant Paulo m’a toujours touché.
    Il rencontrera Troicki au prochain tour, on ne sait jamais c’est prémonitoire des fois qu’on aurait une cascade de forfaits en équipe de France ;)

    • Arno 3 novembre 2010 at 17:02

      Paulo et Gasquet en héros nationaux!!! Je signe le scénario.
      Et si Llodra se blesse, on rappelle Santoro!

    • Guillaume 3 novembre 2010 at 17:31

      Déconnes pas, je ne sais pas ce que j’ai depuis 2 jours, mais à chaque fois que j’en parle je dis Santoro/Llodra au lieu de Clément/Llodra !!! Lapsus révélateur et regret de la meilleure paire de double que l’on ait jamais eu ????

      • Arno 3 novembre 2010 at 17:35

        Ah, souvenirs… Une des paires les plus complémentaires que j’aie vue jouer.

        C’en était presque une caricature de double idéal!

    • Diana 3 novembre 2010 at 20:18

      Je suis contente pour lui aussi, il a vécu trop de galères, et s’en est pris plein la gueule pour pas un rond de toutes parts. La défense de l’opprimé, ça me connaît.

      S’il pouvait nous faire une Haider-Maurer, j’en serais ravie.

  16. Quentin 3 novembre 2010 at 16:57

    Sinon, Roddick a remporté le premier set 7-5 contre Querrey

    • Arno 3 novembre 2010 at 17:05

      Et Murray est breaké par Monaco à Valence. Heureusement que j’ai affirmé que le tableau offrait quasiment le tournoi à PZ… Mais je le sous-estime toujours!! Il peut rater. Tout le temps.

      • Djita 3 novembre 2010 at 17:16

        En effet 1er set 6/2 Monaco

  17. May 3 novembre 2010 at 17:06

    Etat des lieux d’un colosse en argile et aux os de verre.
    Pourtant ce n’est pas dans son cas qu’on ressasse qu’il joue « que au physique » et est dépendant uniquement de celui-ci, lui, il n’a pas de pot à la naissance dame nature l’a juste dotée d’une fragilité corporelle.

    http://www.europe1.fr/Sport/Articles/Tsonga-le-roi-de-la-casse-302404/

    • Arno 3 novembre 2010 at 17:23

      Ah, mais si!! Il joue que au physique, le Jo, pas de problème!

      La différence avec Rafa (si c’est bien à lui que tu fais référence dans ton post), c’est exclusivement en terme d’image: Jo est le chevalier attaquant son adversaire sans relâche, alors que Rafa, c’est le gagne-petit qui profite de sa puissance pour lâchement user l’adversaire…

      Bien sûr, les amateurs avisés faisant vivre ce merveilleux site (oui, je nous lance des fleurs, ça fait du bien) savent bien que ça relève de l’imaginaire collectif, mais la majorité a souvent raison. Même quand elle a tort.

    • Ulysse 3 novembre 2010 at 18:22

      Y a pas que la fragilité corporelle. Jo Will est trop lourd pour ses articulations. Il faut qu’il change de morphotype sinon ça sera toujours pareil quand arrive la saison sur dur.

      • Arno 3 novembre 2010 at 18:25

        Mouais. Mais un amaigrissement l’obligerait à changer son style de jeu.

        Et s’il ciblait mieux son calendrier?? Nadal l’a fait, c’est à la portée de Tsonga.

    • Yaya 4 novembre 2010 at 01:00

      Il faut comparer ce qui peut l’être. Tsonga et nadal n’ont rien en commun. Tsonga a plutôt les symptômes d’un Philippousis. Il n’est pas usé par son style de jeu. Il n’en n’a même pas le temps car il est trop vite blessé.

  18. Arno 3 novembre 2010 at 17:28

    Et Isner vient de se prendre un 6/2 par Haase. Je l’ai jamais vu jouer, mais vaut apparemment mieux l’éviter en Indoor, ce garçon. Quel come-back!

    Le tableau lui promet Djoko au prochain tour (à moins que Nieminen, lui aussi en pleine bourre ne barre notre ami Serbe, mais bon…). En tout cas, ça promet.

  19. David 3 novembre 2010 at 17:49

    Je suis en train de regarder un bout de Querrey Roddick. Rien n’est esthétique chez Roddick, du revers à la volée en passant par le service (sans remettre en cause sa terrible efficacité). En plus, il gonfle ses joues comme un hamster. Quant à Querrey, je me souviens de Karim qui le comparait à une ampoule. C’est exactement ça.
    Voilà, j’ai fait ma réflexion inutile de la journée et Roddick vient de gagner 7-5 7-6. Un choc face à Nalbandian se profile.

    • Duong 3 novembre 2010 at 19:22

      en plus Roddick a le rythme d’un hamster, une vraie pile électrique, mais il a des côtés attachants.
      Querrey il est si calme au contraire, pas le genre à faire de mal, alors que Isner, par sa puissance, me fait assez peur :lol:

  20. Ulysse 3 novembre 2010 at 18:19

    A l’heure où je mets sous presse, match haletant de l’infâme Andy Murray qui, breaké dans le troisième set, risque de perdre sa couronne de CDMO acquise à Shangaï.

    • Arno 3 novembre 2010 at 18:22

      Un match haletant de Murray?? Où sont les modérateurs?

      • Ulysse 3 novembre 2010 at 18:23

        Oui bon OK je reconnais que ça peut être mal interprété. C’est l’enjeu d’une finale de CDMO qui est hâletant.

        • Arno 3 novembre 2010 at 18:26

          Je te laisse le bénéfice du doute parce que t’es un taulier.

  21. Nath 3 novembre 2010 at 18:32

    Tiens, encore un set express en double cette semaine : la paire Chela / Schwank a collé une bulle à une bonne paire polonaise (11°) en 16’54.
    Ce qui m’a permis de découvrir une nouveauté sur le site de l’ATP : quand un joueur est en train de jouer et qu’on va sur sa fiche, on a le score du match en cours qui s’affiche sur le profil avec les photos des joueurs.
    3-0 pour les polonais dans le 2° set…

  22. Arno 3 novembre 2010 at 18:39

    Qui a rappelé le Federer 2004-2007?? Parce que la seule chose qui lui manque par rapport à cette période, c’est la confiance face au top 4.

    C’est un peu de la provoc’, mais pas tant que ça. Il laisse une impression de facilité que je n’avais plus vue depuis assez longtemps.

    • May 3 novembre 2010 at 19:38

      Oui j’ai vu ça aussi il a retrouvé son service et surtout de l’efficacité en coup droit.
      Il devrait faire une fin de saison tonitruante, l’a l’air bien motivé le Fed.

  23. Djita 3 novembre 2010 at 18:40

    Federer a perdu son service aujourd’hui. C’est étonnant de voir à quel point son service peut varier d’un jour à l’autre. 46% de services dans ce 1er set… mais set remporté.

    • May 3 novembre 2010 at 19:44

      Djita il finit à 53 % en deça de son %tage moyen mais ce qui est marquant c’est qu’il gagne 100% des pts derrière sa 1ère… ça compense largement.

  24. Arno 3 novembre 2010 at 18:43

    Et Murray vient de perdre… Il va être tout frais pour gagner Bercy, j’en salive à l’avance…

  25. Diana 3 novembre 2010 at 18:43

    Je suis dégoûtée : tant d’encre a coulé au sujet de Fed et de la DC, je pensais donc que les Suisses lui en tiendraient rigueur, eh ben non, le stade est bourré à bloc, et il est soutenu comme pas permis.

    Beaucoup de simagrées pour pas grand chose :mrgreen:

    Hein, Elmar ? :)

    • Arno 3 novembre 2010 at 18:47

      Ouais, mais en même temps, c’est le plus grand sportif Suisse de tous les temps, ils peuvent pas décemment lui en vouloir… Et le Suisse est très décent.

      Sinon, y’a quoi à manger ce soir??

      • Diana 3 novembre 2010 at 18:50

        Bizarre cette association que tu fais : Fed joue, on bouffe chez Diana :mrgreen:

        It is is a very special tournament for me, reason why I haven’t made up my decision yet :mrgreen: will tell you a bit later. What about champagne to start with ?

        • Arno 3 novembre 2010 at 18:53

          C’est peut-être bizarre, mais sois flattée!! Quand as-tu eu l’occasion de te voir associée à Fed dans l’inconscient collectif (le mien, on est plusieurs)??

          Sinon, ok pour le champagne, si tu me prends par les sentiments…

        • Diana 3 novembre 2010 at 18:58

          to (coquille Guillaume) – fait mais c’est pas Guillaume haha !

  26. Arno 3 novembre 2010 at 18:58

    Pfff… Le demi-volée amortie en marchant. C’est pas normal.

    • Arno 3 novembre 2010 at 19:02

      Moi, pas de coquille. Fed, tellement il est fort, tellement il est génial, tellement il est beau, tellement il est Goat, réalise UN demi-volée.

  27. fieldog 3 novembre 2010 at 19:01

    J’aime quand doudou Rogé joue comme ça… :)

  28. Diana 3 novembre 2010 at 19:02

    Tu découvres seulement qu’il n’est pas normal?
    Il est… comment dirais-je… unique, irremplaçable :)

  29. fieldog 3 novembre 2010 at 19:03

    Chewbie j’espère que tu regardes ou lieu d’essayer de pécho??!!! :mrgreen:

    • Chewbacca 3 novembre 2010 at 19:13

      Je regarde saucisse mais j’en ai un peu marre de le voir triompher seulement contre des sans-grades,j’attends de lui à présent qu’il arrache la tête de PZ et fasse un gang bang avec sa reum.

      • fieldog 3 novembre 2010 at 19:14

        mdr, t’es con!

      • Diana 3 novembre 2010 at 19:15

        comme tu y vas : le Tipsi n’est jamais un cadeau, mais il faut qu’il soit dans un bon jour : visiblement pas aujourd’hui.

  30. Diana 3 novembre 2010 at 19:06

    Et Haase a réussi à terminer ce que LLodra a été dans l’incapacité de faire : quand je pense que le frenchie servait pour le match :oops:

    • Duong 3 novembre 2010 at 19:29

      Haase peut taper très fort, son classement pourrait être meilleur, car à 21 ans il avait fait un excellent début de saison 2008 pour arriver aux portes du top-50 puis s’est blessé et a passé presque toute l’année 2009 sur la touche.
      Normalement il devrait déjà être dans les 50 depuis un moment, et il a le potentiel pour faire top-30 de temps en temps.

      • Diana 3 novembre 2010 at 19:35

        J’ai souvenir de son dernier match impressionnant à Wimby, il avait bien failli créer la surprise :)

  31. Diana 3 novembre 2010 at 19:08

    Tipsi complètement pris de vitesse… par un mec de 29 ans :)

    • Ulysse 3 novembre 2010 at 22:51

      A t’entendre on a l’impression qu’avoir 29 ans c’est être un vieillard cacochyme perclu de rhumatismes. Les sprinteurs, les sauteurs, les marathoniens sont au top à 29 ans. Il n’y a que la récup, l’usure des articulations et de la motivation qui fait son chemin à cet age. D’ailleurs à 29 ans, la plupart des hommes n’ont pas fini de disséminer leur capital génétique. Il importe donc qu’ils conservent toutes leurs performances. Merci pour nous. Sans blague !

  32. fieldog 3 novembre 2010 at 19:10

    « Je suis dégoûtée : tant d’encre a coulé au sujet de Fed et de la DC, je pensais donc que les Suisses lui en tiendraient rigueur, eh ben non, le stade est bourré à bloc, et il est soutenu comme pas permis. »

    @ Diana : tu sais d’une manière générale les suisses sont « Lémant(s) » alors… :mrgreen:

  33. fieldog 3 novembre 2010 at 19:11

    Fed va-t-il terminer avec 100% de points gagnés derrière sa 1ère balle :shock: ?

    • fieldog 3 novembre 2010 at 19:13

      Eh bien oui!

      • Diana 3 novembre 2010 at 19:14

        tu as les stats? points gagnants, fautes directes aussi ?

      • fieldog 3 novembre 2010 at 19:17

        http://www.atpworldtour.com/Scores/Scores-and-Stats.aspx

        Après j’ai vu vite fait le ratio winners/UE à la fin du match : je crois que c’était 13 winners (sans compter les points gagnants sur le service) pour 4UE chez le suisse.

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