Richard Gasquet était pressé d’en finir. Dix minutes à peine après sa défaite contre Roger Federer (6/4 6/4), le Biterrois était déjà en salle d’interview, survêtement passé sur les épaules. Dernière obligation avant les vacances. A moins que Guy Forget…
- Richard, comment analysez-vous votre match ?
- Par rapport à son jeu, j’ai plus de chances de le battre en extérieur, ou sur une surface un peu moins rapide. Aujourd’hui, j’ai mal retourné, je me suis trompé en position de retour. C’est lui qui a dicté le jeu, fait les points et les fautes. On sentait qu’il gérait le match.
- Avec cette surface réaccélérée, pensez-vous que Roger peut gagner ici ?
- Il a tout pour réussir ici ; s’il a envie de gagner le tournoi, il a tout pour.
- Qu’est-ce qu’il vous manque face à un joueur de ce calibre ?
- L’habitude de les jouer, déjà. Ça faisait un moment que je n’avais pas joué quelqu’un de ce niveau. On sent tout de suite la différence : sa balle est prise tôt, part vite, sa seconde balle est très forte… Il ne te laisse pas jouer. Et il est en confiance. En ce qui me concerne, il faut que je me remette en tête que je peux battre les meilleurs. Je suis remonté à une bonne place au classement, la prochaine étape c’est ça. Je vise plus haut que les 30 l’année prochaine.
- Aujourd’hui, sentez-vous encore que les attentes se cristallisent autour de vous ?
- Il y a moins d’attente qu’avant, je pense. C’est normal, je ne suis pas tout seul. Mais je ne me pose plus ce genre de questions. Avant, ce n’était pas facile de porter toutes ces attentes. Maintenant j’ai 24 ans, quelques saisons derrière moi… Je joue pour moi.
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Il avait été l’un des hommes forts du début de saison, avec des titres à Chennai, Zagreb et surtout, entre les deux, une épique demi-finale à l’Open d’Australie marquée en chemin par des victoires en cinq sets sur Juan Martin del Potro et Andy Roddick. Depuis, Marin Cilic, à qui l’on prédisait une arrivée rapide au sommet, a un peu disparu des écrans. Et s’il a bien joué une finale à Munich ou un huitième à Roland-Garros, son actualité la plus importante depuis Melbourne fut quasiment l’annonce qu’il serait régulièrement suivi sur les tournois par son glorieux aîné Goran Ivanisevic. Pourtant, Marin Cilic n’a pas eu de gros pépin physique. Lui-même a du mal à expliquer la baisse de ses performances : des petites choses en entraînant d’autres, une confiance qui s’érode progressivement… Rien de spectaculaire, mais le constat final est sans appel. Ce qui est sûr, c’est que le fil de fer Croate n’a pas grossi : on le ferait passer entre une affiche officielle du tournoi et le mur sur lequel elle est accrochée. Dans le jeu, de ce que votre serviteur a pu observer hier contre Stakhovsky, c’est à l’échange que la fragilité se ressent le plus : au service, Cilic demeure redoutable, surtout en premières. Mais une fois la balle engagée, il commet très vite la faute, et ce des deux côtés. Il passera ce soir un test grandeur nature contre celui qui avait mis un terme à son parcours austral, Andy Murray.
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Vous prendrez bien du rab de Roger ? Et cette fois on peut parler de conférence de presse en petit comité : le speaker n’ayant pu prévenir du passage de Roger Federer en salle d’interview (une sombre histoire de Talkie-walkie défaillant), seuls une dizaine d’heureux chanceux se sont retrouvés en face d’un maestro quelque peu étonné d’avoir si peu d’interlocuteurs, lâchant même, le sourcil froncé : « Bon, c’est tout ? Soit, ça ira plus vite ! »
- Roger, on commence à entendre que le Central de Bercy serait le court le plus rapide du circuit. Vous confirmez ?
- Effectivement, c’est peut-être la surface la plus rapide sur le Tour à l’heure actuelle. Au point qu’elle demande beaucoup d’ajustements. Le circuit est devenu assez lent et il faut se réadapter. Mais ça fait plaisir, ça permet de nous exprimer différemment : tu montes, tu bluffes en masquant une volée… c’est sympa.
- Le directeur du tournoi Jean-François Caujolle dit que « la nature du tennis en salle c’est d’être rapide ». Vous êtes d’accord ?
- Oui. J’ai grandi sur le circuit avec les Sampras, Ivanisevic, Kiefer, Pioline… et c’était ça le tennis indoor. C’est bien de revenir à des matchs qui vont vite, qui sont serrés et se jouent à pas grand-chose. Il y a tout un jeu autour des nerfs qui se recrée. Parce que le côté frustrant d’une surface rapide comme ça c’est que tu peux perdre sans faire un mauvais match : une connerie et c’est un set plié par l’autre !
- A Bâle, vos deux filles étaient venues voir le match avec leur mère. C’est une scène que l’on reverra plus souvent à l’avenir ?
Voir le match, c’est vite dit ! (rires) Elles étaient surtout là pour la cérémonie. C’était une bonne surprise pour moi. Il y avait aussi des amis qui étaient venus me voir… Un très bon moment. Vous savez, nous avons une vie de famille normale.
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Jeudi férié pour une journée de tennis chargée, durant laquelle les spectateurs du POBP en auront eu pour leur argent. D’abord parce que dès midi, une fois Andy Roddick sobrement qualifié pour les quarts de finale aux dépens d’Ernests Gulbis, Gaël Monfils et Fernando Verdasco ont entrepris de chauffer la salle. Pas un grand match de tennis, mais de l’intensité, de la bagarre, gros bras-de-fer entre deux tennismen au mental parfois – souvent – suspect mais à la très grosse qualité de frappe. Victoire finale pour Monfils (6/7 7/6 7/5) dans une ambiance digne des grands chocs de soirées.
Il fallait bien ça pour nous préparer à la suite. Il l’avait dit depuis déjà plusieurs semaines, il voulait briller chez lui, à quelques minutes de trajet de la maison, en un lieu où il ne s’était jamais distingué. Alors aujourd’hui, Michaël Llodra a pris feu. A 6/6, 6 points à 4 et service à suivre pour Novak Djokovic, on semblait pourtant loin de l’exploit, le favori logique de la rencontre en passe de boucler le premier set sans trop de difficultés. Mais un quart d’heure plus tard, c’est bien face au nom de Llodra que le tableau d’affichage indiquait 7/6 3/1 30/40. Que c’était-il donc passé ? Deux revers venus d’ailleurs de la part du gaucher parisien, des stops-volées énormes… et un Novak Djokovic qui avait fini par en perdre son sang-froid. Roger Federer l’avait bien dit : sur surface rapide, « il y a tout un jeu autour des nerfs qui se recrée ». Ce jeu-là, c’est Llodra qui l’a remporté, écartant au passage magistralement trois balles de débreak à 3/2. Quelques minutes plus tard c’était fini et Bercy bouillonnait : 7/6 6/2, « Micka » s’offrait enfin son grand exploit, battre un grand joueur sur un grand court, le tout dans un contexte au fort parfum de Coupe Davis. Une seule chose à faire maintenant : mettre cet autre gaucher Français un peu fou sous verre, veiller à le préserver du moindre choc, et ne le ressortir de son cocon que dans deux semaines à Belgrade…
Forcément, après les deux premiers matchs du programme, le Davydenko – Berdych qui arrivait n’a pas passionné les foules. Dommage car le retournement de situation opéré par le Russe est à saluer : premier set perdu (6/4), deuxième set où il vacille sérieusement… mais qu’il parvient à chiper au tie-break. C’en est trop pour un Tomas Berdych qui semble décidément avoir terminé sa saison dès Wimbledon : Davydenko termine sur une roue de bicyclette. Le grand retour du petit chauve ?
Le temps d’évacuer le Central, faire entrer (ou re-rentrer) les spectateurs de la session de nuit, et place à Roger Federer. A l’heure où ces lignes sont écrites, vous avez tous le compte-rendu du match, l’avez sans doute même suivi. Vous aurez vu comment le Suisse a aujourd’hui maîtrisé son sujet, semblé prendre du plaisir à jouer un type de tennis passé aux oubliettes depuis quelques années… et finalement battre Radek Stepanek en deux petits sets (6/4 6/3), avec au passage quelques très jolis coups. Le voilà en quarts de finale, meilleure performance à Bercy égalée. Il tentera de passer ce cap demain face à l’un de ses rivaux de jeunesse, Jurgen Melzer.
Et comme l’an dernier, c’est donc Andy Murray qui eut le redoutable privilège de terminer le programme du jour à minuit passé. L’Écossais et Marin Cilic nous ont rendu un ouvrage décousu, chacun ayant tendance à travailler dans son coin sans trop se soucier de l’autre. Grosses fluctuations de jeu, grosses fluctuations de score, et victoire finale pour Murray (7/6 3/6 6/3). Murray vs Monfils, vous en rêviez ? Bercy l’a fait !
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Trois questions à… Novak Djokovic, N°4 mondial, éliminé hier par Michaël Llodra.
- Novak, parlons un peu de la finale de Coupe Davis…
- (Il coupe et se marre) : Oh, vraiment ?
- En France, la hiérarchie des joueurs n’est pas encore définie. Est-ce le cas l’équipe Serbe ou avez-vous déjà une idée de l’équipe qui sera alignée à vos côtés ?
- Nenad (Zimonjic) en double, ça c’est évident. Ensuite on ne sait pas encore qui sera notre N°2. Viktor (Troicki) est en forme. Janko (Tipsarevic) n’a pas super bien joué ces dernières semaines mais il sera prêt. C’est un joueur de Coupe Davis. On verra. On tient entre nos mains la chance de nos vies de faire briller le tennis serbe.
- Aujourd’hui, croyez-vous que c’est vrai si l’on vous dit que vous êtes la personnalité serbe la plus célèbre ?
- Je ne peux pas répondre à ça ! (Rires) Je ne sais pas. Je ne passe pas assez de temps en Serbie pour le savoir. Mais la popularité va de pair avec le succès et ça fait partie de notre vie. Il faut l’accepter.
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Vendredi, journée musique. Et on attaque avec du rock bien gras à l’américaine délivré par les poètes Robin Soderling et Andy Roddick. Soderling fait du Soderling, gros service, riffs de coup droit, revers cadencé, recette éprouvé sur les scènes indoor. Roddick, lui, fait… du Roddick. Curieusement, là où la plupart des joueurs ont procédé à des ajustements au fil d’un tournoi défini comme « le plus rapide du Tour » (copyright Federer, Murray), Andy joue ici comme ailleurs : gros service, et derrière frappes bombées en essayant de pousser l’autre à la faute. Une telle surface aurait pourtant mérité de libérer l’ancien Roddick et son jeu explosif. A moins qu’il n’en ait plus les capacités… A l’arrivée, 7/5 6/4 Soderling. Il n’y a pas eu de match, au sens propre du terme.
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Petit quizz culture musicale : entre deux matchs, des séries de questions / réponses de joueurs sont proposées sur l’écran géant. Où l’on apprend qu’Amélie Mauresmo attribue « Stayin’Alive » à Abba et ignore qui est l’interprète de « Beat it ». Pas gravé, « Amé », on t’aimait quand même !
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Michaël Llodra, c’est plutôt un truc un peu pop, équilibre fragile à l’anglaise façon Kinks ou Pulp. Une architecture sensible, un écheveau difficile à mettre en place… mais quand tout est réuni c’est proprement planant. Et pour planer, ça Micka plane ; il survole même Bercy cette semaine. Sa victoire en huitièmes sur Djokovic était un morceau de bravoure ponctué d’éclairs de génie, son succès sur Davydenko fut la récompense d’une partition contrôlée, rendue malaisée au début par un engagement moins efficace que la veille. Mais quand le Russe rendit bêtement le break effectué à 4/2, on comprit que Davydenko, toujours sujet à des sautes de concentration brutales depuis son retour de blessure, allait souffrir. Pas manqué : le gaucher tricolore ne demandait qu’à s’enflammer, et Bercy avec lui. 7/5 6/1, Llodra vit actuellement une période très spéciale, l’alignement des planètes qui devait bien survenir un jour : forme physique, moral au beau fixe, surface à son avantage, tournoi à la maison… Tout y est, et « Micka » rayonne. Son fils Théo, 3 ans, n’a peut-être pas fini de venir échanger des balles avec papa à la fin des matchs !
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Digression musicale aussi inutile que persistante dans l’esprit de l’auteur de ces lignes : “Got in a little hometown jam / So they put a rifle in my hand / Sent me off to a foreign land / To go and kill the yellow man…” Les programmateurs musicaux de Bercy écoutent-ils les chansons qu’ils planifient aux changements de côté ? Parce que le “Born in the USA” de Springsteen ressassé à longueur de journée c’est, comment dire ?… un chouïa inapproprié sur un court de tennis. Et c’est un doux euphémisme.
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Roger Federer, lui, avait décidé de jouer sa traditionnelle Marche de Radetzky. Un premier set virtuose, mené tambour battant face à un Jurgen Melzer trop timoré – à sa décharge, c’était la seconde fois seulement que l’Autrichien jouait sur le court central de Bercy : la première, c’était en… 2004. Le deuxième acte fut moins brillant, mais toujours en contrôle avec un service à la baguette (18 aces). Et quand Melzer loupa une volée facile à 4/4 dans le tie-break du second, on savait que c’était terminé (6/1 7/6).
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Et l’on termine sans surprise avec du hip-hop, par l’entremise d’un Gaël Monfils qui sait décidément se servir des ambiances maison pour donner le meilleur de lui-même ; demi-finaliste à Roland-Garros, finaliste à Bercy, deux fois vainqueur en France (Metz et Montpellier), Gaël est toujours là, candidat à la succession de son copain Tsonga au POPB. Andy Murray, pas forcément très inspiré cette semaine – Marin Cilic avait déjà les moyens de l’éliminer hier – peut maintenant partir pour Londres y préparer son dernier rendez-vous de l’année. Londres, Gaël n’y sera pas, mais il a d’autres challenges à relever. Et avant même de penser à Belgrade, rendez-vous dès demain pour une affiche de gala contre un certain Roger Federer.
C’est gagné !
Waaaw! Chapeau monsieur.
Bien joué Mika. Là, il se place clairement en position pour être le n°2 en simple. Mais peut-il tenir 3 matchs? J’ai des doutes.
Bien joué Guillaume aussi, d’avoir trafiqué les talkie-walkie pour être l’un des 10 chanceux à l’itw de Dieu.
t’ai laissé un mail petit padawan
Je viens de voir. Ainsi que ton ajout. Merci, Maître.
Punaise, n’a même pas tremblé en servant pour le match : chapeau bas Llodra, il ait un gros pied de nez à ses détracteurs (dont moi pour le coup) : « tout le monde voit Djokovic m’écrabouiller », il en a fait un challenge qu’il a relevé avec brio.
« Je n’aurai rien à perdre, il est tenant du titre et tout le monde le voit m’écrabouiller. Je suis sûr que Guy Forget et Lionel Roux regarderont ce match depuis les tribunes. Il faut faire abstraction de l’enjeu du match. C’est un troisième tour à Bercy. Ca va être intéressant. Je peux jouer libéré. Je vais essayer de lui proposer un jeu différent, de le priver de temps. »
C’est Guy qui va être hystérique ce soir
Et pour la suite, il joue quand Doudou ?
19h30, après Davy
19h30
Il perd combien de points le Djoko?
910
P* de baffe
Oula c’est énorme.
oh quelle volée à l’arrache ! super math de mika…
et il perd gros le djoko au passage, pratiquement 900 pts, murray pourrait le passer dès le masters…
et si mika nous gagnait bercy avec cette surface hyper rapide, z’y croyez vous ?
Il peut faire finale si Fed n’est pas sur son chemin. Gagner, difficile sauf s’il est galvanisé par le public.
Dans sa partie de tableau, il reste Soderling, Roddick et Berdych ou Davydenko
Je pense même à Bercy, selon la suite que prendra le tournoi pour Murray. Il n’avait que 90 points à défendre.
Dans ses confrontations :
il est à égalité 2-2 avec Berdych mais a gagné cette année à New York.
il est mené 4-1 par Davydenko, mais a remporté leur dernière confrontation dans des conditions similaires à Rotterdam.
Il aurait tout intérêt à rencontrer le tchèque.
Monfils qui sort Verdasco on ne sait pas comment.
Llodra qui sort peut-être son plus grand match après avoir eu un peu de chance au premier set, et une balle de match inoubliable.
Ca pourrait ressembler à la genèse d’une victoire à Belgrade cette affaire…
y’a un parisien parmi vous qui voudrait aller à bercy ce soir voir le doudou… un pote qui fait faux bond, à la dernière minute… donc un sésame en rab.
dépéchez vous !
Envoie moi l’hélico, je suis preneuse
zut trop loin ! Merci quand même !
si je pouvais ! mais sérieux y’a aucun parisien là ?
J’ai pris ma place ce matin. Trop tard.
le truc qui me tue c’est qh’iher je voulais écrire que j’étais persuadé que Llodra battrait Djoko, et je n’ai pas posté la soirée. Ou comment rater une occasion en or de redorer son blason de pronostiqueur à la gomme. Caramba!!!
Elle est facile celle-là
Tu penses qu’on va te croire peut-être?
On médit on médit. Moi j’avais prédit Chang en 89, Gomez en 90, et Rosset au JO de 92.
Le pire c’est que c’est vrai…
Attendez, depuis le temps, combien de fois j’ai joué le coup du nostradamus post événement? Pourquoi commencer aujourd’hui sur un match aussi banal?
May, ex amazone, c’est comme ça que tu me remercies?
blessé, je pars…
OK alors qui va gagner Bercy?
Oups, Franck-V a disparu du Who’s who
La thèse du congé maladie semble de moins en moins fondée…
Ca fait longtemps qu’il n’y est plus. Il s’en était même expliqué
oui, c’était avant son départ… on a respecté son choix.
Z’avez viré la « photo » starwarzienne de la rédaction? pas cool…
ah mince, j’ai pas fait gaffe, c’est peut être le rajout de karim qui a fait sauté les photos, tu peux les remettre sans problème.
j’ai dit à Guillaume que pour la photo c’était une bévue de ma part quand j’ai placardé Elmar. Il est supposé la remettre, après m’avoir botté le cul je suppose.
Perdre la photo pour m’avoir moi à la place, je trouve que c’est un mal pour un bien
Au passage, très drôle, Karim, j’aime bien!
OK je la remets.
Par contre, le départ de Franck-V (dont j’ignore également les causes, je ne suis pas dans la confidence) rend obsolète la deuxième photo (celle tirée des « Visiteurs »). Je la laisse quand même en souvenir.
A Marie-Jo : Franckie ne va pas revenir ? Tu nous parles de départ là, je ne savais pas, depuis le temps que je lance des messages qui n’ont eu aucune réponse.
Ceci étant, s’il est parti, je ne vois pas comment vous auriez pu faire autrement que de respecter son choix. Sauf à l’attacher de force à son clavier avec pour seul lien internet 15 love, et un garde-chiourme avec un fouet pour l’obliger à écrire.
Grosse perte pour ce site, figure emblématique s’il en fût : c’est lui qui m’a mise à l’aise ici, qui m’a faite rire, qui m’a appris beaucoup sur l’histoire du tennis, par ses analyses pointues aussi.
Sad, very sad.
Allez, à un de ces jours, le temps que je fasse le deuil
Je communique avec les morts, si vous avez des doléances, je transmettrai. Par contre j’ai beau insister, il reste marbré (ça ne se dit pas je précise) sur sa décision. têtu.
Tu lui diras dans l’autre monde, que c’était un homme respectable et respecté.
J’ai du rater un épisode, j’étais pas au courant
Dis-y juste qu’avec Stockholm et Bâle , y avait plein de coups à boire ici, pas du champagne comme à la grande époque , mais de quoi rentrer positif
Au fait, y a une raison? Genre un désaccord profond avec la ligne directrice de 15LT?
Sinon, on peut lui écrire une lettre pour lui combien il est beau et gentil, combien il nous manque et combien on aimerait le revoir?
oui tu peux à l’adresse 15-love on fera le transfert.
Pourquoi il est parti? Y a t il une bonne raison? Une raison déjà?
Franck-V, tu fais c…. J’adorais le soir après le boulot, après avoir couché mes filles etc lire ta plume acerbe.
Alors m…, reviens !
Je suis furieuse, Franckie come back
Allez Franck, fait pas la gueule revient quoi!
Franck a eu quelques désaccords avec la ligne éditoriale du site, et ne se sent plus de poster s’il est bridé. Sans vouloir violer le secret professionnel, voilà en gros ce dont il s’agit. Mais vous savez ce qu’on dit, Franck à ses raisons que la raison ignore.
Et le Sod qui imite Llodra, premier set au tie-break et double break dans le second. Stan menait pourtant 4-1 dans le premier…
soderling est passé en 2 sets non sans avoir sauvé une balle de set en faveur de stan au premier set… comme d’hab l’autre suisse a du mal a passer le cap contre des joueurs mieux classés mais qu’il peut potentiellement battre avec son tennis.
Comme d’hab, en effet. Si on lui greffait le cojones de Rafa, il serait membre permanent du top-10.
Bon faut dire qu’avec les cojones de Rafa, je serais pas loin d’être top-ten aussi.
j’ai cru voir novotna à coté de safarova ? j’ai eu la berlue ?
« Laisse tomber les filles » au changement de côté, ils sont mauvais à la prog musicale, ils se sont trompés de Tchèque : Stepanek c’est pour après !
J’avais fais pareil sur Sportvox pas aussi bien que la regretté » Kornati « que j’aimais tant ,avec son « Adieu Vox Sox Cochonox » et c’etait passé totalement inaperçu,le gros bide quoi!
Bon en même temps perdre un analphabète c’est différent que de perdre Franchy,si je traite Federer de grosse tarlouze dopé jusqu’à la moelle de la putain de sa race de ses morts ,peut être qu’il va reviendre?
Kornati t’es où ? je t’aime!
Est-ce qu’un Wookie ça a des poils au cul? parce que finalement t’es carrément fait en poils de cul. Et tu ne m’as toujours pas dit si t’avais ou pas un pénis rétractile. Je sais, j’insiste. C’est pour ton profil wouzwou.
check your mails
J’ai au niveau du bassin une poche un peu comme le kangourou qui me permet de rentrer mon énorme skud et de le garder au chaud pendant que j’hiberne,donc oui mon sex est « rectantible ».
Je kiffe ma race là !!
J’étais convaincu au vu de la façon dont il a démentibulé Isner hier qu’il avait sa chance mais entre avoir sa chance et le faire, et bien il faut le faire !
Djoko n’a rien pu faire sur sa première, quatre points gagnés en tout en pour tout..Evidemment, sur sa seconde, face à Djoko, ce n’est pas la même histoire et la clé, c’était un bon pourcentage de premières qu’il a effectivement atteint au second set ou il a surclassé Djoko. Cela aurait pu tourner très différemment si Djoko avait gagné l’un des deux balles de set qu’il a eu au premier mais après, c’était trop dur. Il a coulé, et comme d’habitude, en commettant deux doubles sur des points déterminants..
C’est un très bonne chose qu’il l’ait battu; c’est la première victoire française face à un serbe..Mais cela n’a rien à voir avec Belgrade ou ce sera en trois sets gagnants et sur une surface plus lente. je ne pense pas que Llodra puisse battre Djoko dans ces conditions mais il peut jouer le dernier match contre Troïcki si les deux équipes sont à deux partout..Et là, cela peut être intéressant…
A noter que l’année dernière, Djoko avait fait une grande saison automnale : titré à Pékin, Bâle et Bercy pour ensuite craquer au Masters, éliminé en RR. Cette année, le burn-out arrive plus tôt (et il joue la finale de l’USO, mais bon).
Llodra a livré un excellent match, mais Djokovic y était-il vraiment ? Il avait tout a gagner à ne pas trop se cramer dans des tournois qu’il a déjà remporté (Bercy, Masters)… Très content pour Llodra cela dit ! Bravo à lui.
Cela démontre si il s’économise pour la finale de CD qu’il joue petit bras , et ne sera jamais un N°1!
Dommage que Karim ait porté la poisse à Delpotro, sans ça il aurait dégagé du top 5 depuis belle lurette l’ami Djoko.
C’est une légende urbaine ça. je n’ai porté la poisse à personne.
bon puisqu’aucun parisien n’est dispo dans le coin, je m’en vais à bercy et je revendrai surement la place à un FFF sur place ! dommage !
M* y en a tjrs que pour les parisiens !
une autre fois
@Guillaume qu’as tu fais des photos(MS Montréal )que je t’ai envoyé ?
Les as-tu jeté à la corbeille?
Je préfère Davydenko, mais attendre 1 set de plus pour Roger là ca va être tendu.
A cause de Davy, je poireaute devant l’entrée du POPB. Pouvait pas gagner ce match le Tcheque.
Il manque le petit appendice « Sent from my mobile phone »
Rassure-toi Djita, Berdych t’a entendue, il ne joue plus !
Oui je vois ça. Attente plus courte que prévue. Merci Davy.
Trop forte, la Djita !
Berdych prend l’eau. 3 sets, c’est trop pour lui ? Davydenko semble revenir peu à peu en forme, tant mieux.
Tchiou, je pars à 5-4 40-40 pour Berdych dans le second et je reviens: set en poche et 5-0 pour David&Co dans le 3ème! Fou.
La chance pour l’entreprise David%Co, c’est quand même de pouvoir compter sur 500 collaborateurs et d’avoir donc 1000 pattes.
David&Co, évidemment.
Au Masters, Berdych sera quand même le gros lot à tirer. Ce sera un groupe qui se jouera à 3 seulement.
Ca, c’est marrant: http://www.youtube.com/watch?v=b42cN3oN7sE&feature=player_embedded ou comment se payer la grosse honte.
Llodra a battu Djokovic ? Quelle bonne nouvelle. Bah voilà, j’imagine que si pas mal de tournois réaccéléraient leurs surfaces, on verrait réapparaître du service-volée et on pourrait se mettre sur l’oreille toutes les théories sur l’évolution du jeu, sur la prétendue complétude des joueurs actuels qui rendrait impossible cette pratique. C’est juste une histoire « politique ».
Si Murray dit qu’il n’a jamais joué sur un truc aussi rapide, c’est quand même que l’herbe a été sérieusement ralenties car la vraie, à part le parquet (interdit), il n’y a théoriquement bien de plus rapide.
Pour répondre à Inès, plus haut, qui vole à la défense de Calimero : « les gens qui s’acharnent sur lui me semblent suspects ». Ça je m’en fous un peu.
Je cherchais quelque chose pour argumenter plus avant, mais je cale (tout a déjà été dit sur lui) et je ne vais pas me faire chauffer les neurones pour lui. Disons que c’est probablement une histoire de culture et qu’il y a quand même un moment où il faut montrer ce que l’on a dans le froc/le ventre/la tête/où tu veux. Maintenant, le gars gagne presque un million par an sur le court et sûrement pas mal en dehors en étant quarantième, il est méga pote avec le plus gros industriel français, lui-même très proche du pouvoir, s’il est content c’est très bien mais cela n’a aucun intérêt sportif.
Tu te disperses là, Roger commence à jouer.
Quand à faire de Richard un proche du pouvoir… mrd. Regarde derrière Roger y a mon meilleur ami -c’est vrai- qu’est vraiment brillant et proche du pouvoir. Richard c’est un gars qui vote à droite. Comme 53 % en 2007.
Après bon, la vie est injuste comme dirait Ardisson. Et un millions d euros ça fait mal au cucul ça.
Ah et bien merci pour ta réponse Jean. Je vois que les arguments sortent et qu’ils sont tous très étayés par des questions purement tennistiques (gains, relations et …ce qu’en a dans le froc !)OK, c’est noté !
Je viens de te répondre que sportivement, cela n’avait aucun intérêt (ce qu’il a dans le froc fait partie du sport) et que je m’en tamponnais pas mal. Par contre, n’hésite pas à sortir toi-même quelques arguments qui justifieraient que je te réponde.
Dans ce que dit le nouveau pote de Guillaume, j’aime surtout ça : « Il y a tout un jeu autour des nerfs qui se recrée, (…) une connerie et c’est un set plié par l’autre ! »
C’est ce que j’aime dans le jeu rapide, la dureté de nerfs qu’il faut avoir. Entre parenthèse, peut-être qu’un retour à ce style de jeu permettrait d’amoindrir le rôle devenu prépondérant de l’endurance et de la puissance physique qui me pose quand même quelques interrogations.
Peut-être que l’initiative de Bercy sera suivie ailleurs. Ce serait d’ailleurs un curieux mouvement de balancier entre accélération et ralentissement. Après des 90 rapides, des 00 ralenties, des 10 rapides de nouveau ?
Il est ignoble le t-shirt de Stepanek…
Mais beau match pour le moment.
Quelle mollesse en passing, Roger…
pas facile à passer les grandes zoreilles de Radek
Il a quand même fait un sacré passing sur l’homme(-mérou) le Roger, plein centre !
C’est vrai qu’on dirait un poisson abyssal qui phosphore en rouge tigré.
Quel passing de coup droit en bout de course !
Incroyable quand même ce dégoupillage de Berdych, non ? Le type gagne 4 points au dernier set. Il s’est cassé une jambe ou quoi ?
Il avait rencard avec Safarova et ça ne pouvait plus attendre. Faut le comprendre.
Elle lui ressemble je trouve, ça pourrait être sa soeur. Du coup le couple m’est flippant.
Berdychova est son vraie nom
Il va sortir de sa boîte au Masters (ou ATP final machintruc), comme je l’ai prédis… Il ne fait que m’écouter.