Australian Open 2012, Chapter I : Antipodes Cast

By  | 15 janvier 2012 | Filed under: Actualité

Enfin, nous y sommes. Après une pause hivernale à la fois trop courte pour les joueurs, et si longue pour nous, spectateurs assidus, la magie du Grand chelem du bout du monde est prête à opérer une nouvelle fois. Je me remémore tous ces moments merveilleux que je m’apprête à revivre : le bruit terrifiant, d’abord, de la sonnerie du réveil à 1h du mat’ pour, surtout, ne pas louper le début d’un match intéressant. Mais l’excitation prend vite le pas sur la fatigue ; allumage de l’ordi, direction le site du tournoi et le sacro-saint « IBM Slamtracker » : cette nuit encore, aucun score, aucune stat ne m’échappera. S’ensuit la recherche d’un stream ; puis d’un autre, parce que décidément, celui-ci rame vraiment trop. Et puis… Cette ambiance de folie, ce soleil implacable éclairant un ciel bleu qui s’étale sur le court ; ça s’appelle le Plexicushion, putain que c’est beau ! Je me connecte à 15-love. C’est parti. C’est l’Open d’Australie.

Après cette introduction « émotion » qui aura tiré des larmes aux plus endurcis d’entre nous, parlons un peu sport. L’Open d’Australie, c’est le tournoi équitable par excellence : premièrement, c’est le début de saison, l’usure physique n’entre que peu en ligne de compte ; et ensuite, la surface, un dur lent, convient absolument à tout le monde. Difficile dès lors de dégager un favori…

Évidemment, chez les garçons (oui, je précise « chez les garçons », car comme tous les ans, allez savoir pourquoi, y’a un tournoi de filles qui s’est greffé par là, luttant pour sa survie telle une moule désespérément agrippée à son rocher…) ; chez les garçons, donc, disais-je avant cette parenthèse si longue qu’on ne sait plus de quoi on causait avant, les prétendants sont encore et toujours les mêmes. Voici un petit tour d’horizon de l’état de forme de chacun des costauds, avec leur tableau prévisionnel en prime. D’ailleurs, les joueurs seront énumérés dans l’ordre du tirage, pour plus de compréhensimili…   Compréhenmiliti…  Comprésimilentibili… Bref, pour plus de lisibilitude.

A tout seigneur, tout honneur, commençons par évaluer les chances du numéro 1 mondial, Novak Djokovic, aka « NG », aka « Oxygen Man », aka « Le dernier maitre de Pierre ».

Nole a réussi l’an dernier la saison que l’on sait, accomplissant comme tout le monde son Petit chelem à lui, échouant juste à Roland-Garros face à un Federer tellement fort que Julie a perdu connaissance dès la fin du premier set, à la suite de son 38e orgasme.

Le souci, c’est qu’après sa victoire à l’US Open et une finale de fous furieux contre Nadal, notre ami Serbe a été porté disparu (abandon en Coupe Davis, défaite contre Nishikori à Bâle, forfait à Bercy, minable au Masters de Londres).

Alors, quel Novak allons nous retrouver en ce début de saison ? Le seigneur des courts, jouant avec la cadence d’Agassi, la puissance de Safin et l’endurance de Nadal ? Ou l’asthmatique tétanisé pré-2011 ? Le mystère reste entier, étant donné que le Serbe a choisi de ne disputer aucun tournoi officiel de préparation, se contentant de l’exhibition d’à bout d’habits. Il y a écrasé un Federer qui jouait en tongs, et un Ferrer, pfff… Ferrer, quoi. Seuls les premiers tours nous révéleront le véritable état de forme du tenant du titre.

Tableau logique (dit « Tableau en papier toilette humide ») : Lorenzi – Giraldo – Stepanek – Raonic ou Roddick – Ferrer – Murray ou Tsonga – Federer ou Nadal.

Et comme à chaque tournoi du Grand chelem, nous avons un qualifié d’office pour les demi-finales : j’ai nommé… RAFAEEEEEEEEEEEL… Hein ? Novak Djokovic ? Tiens donc, pour une fois que ça ne tombe pas sur le taurillon (« Arrête, Coach K, je plaisante… Coach ? Lâche ce couteau, déconne pas ! COAAAAAAAAAAAAAAAAACH !!! »)…

Bref, le seul danger potentiel pour Djoko avant le dernier carré est Raonic, et il est difficile de considérer que le meilleur relanceur du circuit sera franchement dérangé par un joueur si dépendant de son engagement. Ensuite, si le Serbe retrouve Murray, il ira en finale. Si c’est Tsonga, il ira aussi probablement en finale, mais au moins il y aura match.

Plus bas dans le tableau se trouve un joueur nouveau, transcendé par l’apport de son nouveau mentor… Quand PZ One revient en jeu pour secourir PZ 2, encore plus fort que l’original, ça donne Ivandy Murrayndl (TS 4), l’Ultime PZ. Notre Highlander du pauvre reste sur une fin de saison mitigée, et gâchée par une blessure à la fesse chez lui, au Masters de Londres.

Cependant, il a très facilement remporté son unique tournoi de préparation à l’Open d’Australie, affichant un niveau impressionnant, comme à chaque fois que tout le monde s’en fout.

Tableau logique (dit « Tableau de la mort qui tue ») : Harrison – Malisse – Gulbis – Monfils – Tsonga – Djokovic – Federer ou Nadal.

En résumé, difficile de faire plus dur. Il est compliqué d’envisager le pauvre Andy réussir un tel enchainement… Monfils constituera un premier test, avant le révélateur Tsonga, l’homme que tout le Top 4 voulait éviter, mais contre qui il n’a toutefois perdu qu’une seule fois. Vous vous souvenez ? C’était à l’Open d’Australie… Ensuite, s’il a survécu, il devra battre Djokovic, puis le vainqueur de la partie Fedal du tableau. Bref, j’en viens à me demander pourquoi je lui ai consacré un paragraphe…

Le dernier homme fort de ce haut de tableau est notre ami Jo-Wilfried « Pouces – Pouces » Tsonga (TS 6). Depuis novembre, c’est facile de pronostiquer les matches de Jo-Wi : il bat tout le monde, sauf Federer. De là à en faire un favori pour la première levée du Grand chelem 2012, il y a un pas énorme à franchir.

Mais en outsider numéro un, il fait très bien l’affaire. Son jeu tout en finesse est en place, le physique, pour une fois, ne pose pas de problème, et il apprécie l’endroit et la surface. Deux questions subsistent : aura t il la même régularité sur des matches au meilleur des cinq sets ? Et comment s’adaptera t il aux conditions météo changeantes, lui qui a surtout performé en indoor en fin de saison dernière ?  Le Français est apparu très perturbé par le vent à Doha…

Tableau logique (dit « Tableau qui peut le faire, mais faudra se sortir les doigts ») : Istomin – Mello – Granollers – Simon – Murray – Djokovic – Federer ou Nadal.

Trois matchs tranquilles, un match test, trois matchs d’enfer, voilà le programme de Jo s’il veut remporter l’Open d’Australie. Son tournoi commencera vraisemblablement en huitièmes face à Gilles Simon, contre qui il n’a toutefois jamais eu de problème particulier. Ensuite, c’est l’enchainement de la mort : Murray, Djokovic, et Fedal. En battre un, c’est possible ; deux, pourquoi pas ; trois, faut pas rêver. Pour rafler la mise, il faudra que son parcours se dégage d’une manière ou d’une autre.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah………. BOUM !!! Pardon, je viens de tomber dans le bas de tableau… Ici, le premier joueur sur la liste est Juan Martin del Potro (TS 11). L’Argentin dégingandé reste sur une fin de saison tout a fait correcte, malgré deux défaites en finale de Coupe Davis.

Mais quelles défaites ! Cinq manches d’une intensité incroyable contre Ferrer, quatre heures de lutte acharnée contre Nadal. Cela fait désormais longtemps qu’on sait qu’il peut faire très mal sur dur, mais on ne peut pas dire que son début de saison soit tonitruant. Sa défaite contre un excellent Baghdatis pour son (seulement) deuxième match de la saison à Sydney ne constitue pas pour autant un motif d’inquiétude. Nous ne pourrons évaluer son vrai niveau qu’avec les premiers tours…

Tableau logique (dit « Tableau mouais, bon… ») : Mannarino – Kavcic – Mayer – Fish – Federer – Nadal – Djokovic.

Pour le coup, un tableau nippon, ni mauvais, un tirage on ne peut plus cohérent avec son classement, un peu comme pour Tsonga. Trois premiers tours à sa portée, un premier tournant en huitièmes face à Fish, puis l’ascension commencera vraiment avec Federer… On voit tout de même mal ce del Potro-là, bon mais pas exceptionnel, battre un Fed en pleine possession de ses moyens. Mais le Suisse ne sera pas forcément à 100%, on y reviendra. Ensuite ? Notre ami s’est déjà occupé du problème Nadal sur dur par le passé, il sait qu’il peut le faire, surtout après leur rencontre très disputée en Coupe Davis. Reste Djoko, et ça risque de devenir difficile. Encore une fois, on en revient à la même problématique : en dehors du Top 4, il faut battre trois monstres pour gagner un Grand chelem. Comme Tsonga, Juan Martin doit espérer un peu de chance, et surtout un peu de méforme de l’un des cadors sur sa route…

Le premier de ces cadors est bien évidemment Roger « Doudouuuuuuuuuuuuuuuuu!!!!!!! » Federer (TS 3).

N’ayons pas peur de le dire (et d’ailleurs je le dis), le plus grand joueur de tous les temps, de l’univers et des dimensions parallèles a loupé sa saison 2011 ; alors bien sûr, si un Français avait réalisé ce qu’il a fait l’an dernier, il aurait eu la Légion d’honneur, aurait été désigné GFOOE (Greatest Frenchie Of Open Era), aurait fait la une de ‘Têtu’, enfin bref… Mais toujours est-il que pour Roger Federer, une année sans Grand chelem n’ajoute pas grand-chose à sa légende. Cependant, le divin Suisse s’est quand même arrangé pour battre un nouveau record en remportant son sixième Masters, dépassant ainsi Pete Sampras (nos condoléances à Karim, qui peut compter sur ses minuscules doigts verts le nombre de record qu’il reste à Pete) et Ivan Lendl, qu’on a d’ailleurs retrouvé pendu peu après la finale (le principal suspect aurait été vu chez Jean-Luc Delarue  dans un « ça se discute » spécial: « J’ai réécrit le règlement de la marelle en 742 volumes et je pense que Pancho Gonzales est le GOAT »*).

Et voilà que Doudou a donc fini sa saison sur une série de 17 victoires consécutives, soit la seconde meilleure fin de saison de sa carrière après 2006… Avec Roger, la question n’est pas de savoir s’il peut gagner. Il peut. Sur dur, il est potentiellement supérieur à tous ses adversaires, à l’exception peut-être d’un Nadal survolté. Mais voilà, malgré un niveau de jeu dans la lignée de sa fin 2011, Fed nous a tout de même donné de quoi faire paniquer tout fan qui se respecte, suite à une blessure au dos le poussant à déclarer forfait avant sa demi-finale qatarie face à Tsonga. Dans quel état va t-on le retrouver en début de tournoi, voilà la question qui obsède les FFF…

*Toute ressemblance avec un personnage existant est bien évidemment purement délibérée.

Tableau logique (dit « Tableau qui paraît pas mal de loin la nuit dans le brouillard, mais… » : Qualifié – Beck – Melzer – Tomic ou Dolgopolov – del Potro – Nadal – Djokovic.

Ouf ! Tsonga évité, Djokovic dans l’autre moitié du tableau. Et en plus, Fish en TS 5 à 8 ! Si c’est pas de la chance, pour une fois… Ah mais ? Juan Martin, t’es là aussi ? Et puis c’est pas Rafa, là-bas, vers les demies ? Tiens, le petit Nanard qui monte, et qui joue a domicile est aussi dans le coin ? Bref, mine de rien, on rentre dans le (très) vif du sujet dès les huitièmes pour Fed.

Avec un dos à 100% remis, et toutes choses égales par ailleurs, on voit mal qui peut le stopper avant la finale, Nadal n’étant pas une garantie actuellement. Sinon, il est à la merci du premier Tomic venu… Les stats au service du Suisse sur les premiers tours, notamment la vitesse de sa première balle, seront très révélatrices des chances de Fed de bien figurer à Melbourne.

Enfin, touuuuuut en bas du tableau se trouve le plus grand numéro deux mondial de tous les temps : Rafael Nadal (TS  2).

La saison 2011 de Rafa aurait pu être exceptionnelle s’il n’avait pas encaissé un terrible 0/6 en finales de la part du nouveau patron, Djokovic. Du coup, malgré son titre à Roland-Garros, l’Espagnol a semblé finir la saison usé physiquement, et surtout mentalement. Sa fin de saison a été très pénible, même si le terrain indoor ne l’aide pas. On a pu assister à un sursaut de sa part lors de la finale de la Coupe Davis avec deux victoires face à Monaco et del Potro, mais enfin, difficile de parler du retour d’un grand Nadal… Simplement, sa marge est énorme sur le reste du monde sur terre battue. De manière plus générale, Rafa semble moins vif dans ses déplacements, son revers a baissé en efficacité de manière flagrante, même son coup droit semble moins gicler qu’auparavant… A Doha, il a alterné le très bon (Youzhny) et le franchement moyen (Monfils). Attention quand même, le Majorquin a pris l’habitude de ressortir de sa boîte au meilleur moment, et il reste un champion redoutable.

Tableau logique (dit « Tableau pour lequel t’as intérêt d’être chaud en retour, sous peine de te prendre des aces plein ta face ») : Qualifié – Haas – Ljubicic – Isner ou Lopez – Berdych – Federer ou Del Potro – Djokovic.

Un tableau compliqué, rempli de spécialistes de surface dure et de grands serveurs. Nadal, sur son talent et sur sa volonté de fer, peut toutefois parvenir en finale. Mais on voit mal comment il pourrait trouver la solution au problème Djokovic du jour au lendemain… Et même avant, si son niveau n’est pas suffisant, il peut être dérangé par un grand Berdych, et surtout par Federer ou del Potro en demi-finales. Comme pour Djokovic, comme pour Federer, ses résultats dépendront avant tout de lui-même : à leur top, ces trois-là ne peuvent s’expliquer qu’entre eux.

Prono prophétique : à mon sens, le grand favori du tournoi est Novak Djokovic.

Seul Roger Federer semble capable de le prendre à la régulière, mais son état de santé est incertain…

Nadal reste un prétendant sérieux, mais difficile de l’imaginer dominer Djokovic. Or, une élimination du Serbe avant la finale parait peu probable au vu de son tableau.

Les autres favoris semblent trop justes, que ce soit en terme de niveau de jeu, de régularité, ou de résistance à la pression.

Par souci de professionnalisme, un mot sur le tableau féminin : kougloff.

Passons désormais aux affiches du premier tour.

Tableau masculin :

Stanislas Wawrinka / Benoit Paire (0-0) : voilà un petit match de premier tour bien sympathique entre un Suisse qui paraît sur le reculoir et un Français qui semble enfin vouloir démontrer son potentiel. Deux hommes susceptibles de nous fournir une rencontre spectaculaire, mettant face à face un cogneur doté d’un revers de folie et un dingue capable de toutes les fulgurances, des plus belles aux plus absurdes.

Prono : Paire en 5 sets.

Sauf que voilà, Paire a eu la bonne idée de se blesser et de devenir extrêmement incertain pour ce match… Je me trouve donc contraint de faire appel à un match de secours, et le GOAT (très bien) caché m’a sauvé !

Nicolas Mahut / Radek Stepanek (1-0) :  GOAT caché vs Mérou, mesdames et messieurs, voici un match qui nous promet du tennis comme on en fait plus ! Nous allons voir des montées au filet, des volées dans tous les sens, des passings au millimètre… Une cure de jouvence tennistique ! Radek n’étant pas à proprement parler sur une pente ascendante, le petit Nicolas a toutes les chances de créer la surprise. Et ensuite, pourquoi ne pas retrouver au troisième tour Novak Djokovic ? Pour ce match, tu nous actives l’option 11 heures de jeu, Nico, déconnes pas…

Prono : Mahut en 4 sets.

Tableau féminin :

Croyez-moi, trouver un match intéressant a été d’une difficulté considérable… Mais je l’ai fait !

Gisela Dulko / Maria Sharapova (1-2) : l’affiche incontestable de ce premier tour, entre deux joueuses très agréables à regarder jouir, euh, jouer… Plus sérieusement, ces deux jeunes femmes sont capables de produire un beau pennis, euh, tennis, au cours d’un match dont on souhaite qu’il s’éternise sous le soleil ardent de Melburne, euh, Melbourne.

Prono : Sharapova en 2 sets secs, comme le claquement du fouet qui… Bref, en deux sets.

Voilà mes amis, j’ai l’honneur de déclarer le premier tournoi du Grand chelem 2012 ouvert sur 15-lovetennis. C’est parti pour 15 jours de nuit. C’est l’Open d’Australie.

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613 Responses to Australian Open 2012, Chapter I : Antipodes Cast

  1. Bastien 17 janvier 2012 at 06:10

    (message interdit aux moins de 77 ans)

    Pendant ce temps-là Bartaulier et Razzaville se livrent un terrible mano-a-mano comme seules 2 french warriors peuvent en proposer.

    2 partout !

    • Djita 17 janvier 2012 at 06:30

      Mdrrrr. Tu es en forme toi.

  2. Nath 17 janvier 2012 at 06:11

    Match Golubev…
    Et 3° set Tipsa, et 2° set Murray.
    et match Llodra (je l’avais pas dit, hein ?)
    Et Monfils qui monopolise Eurosport. Mais gagne-le ton match !!!

  3. Bastien 17 janvier 2012 at 06:18

    Murray et Monfils les consanguins (le même tennis fait de vitesse et d’agressivité offensive leur coule dans les veines) commencent à dérouler.

    Zvonareva repart dans les méandres de son subconscient.

    Tursunov s’accroche. Andouillard rate le coche.

    Et Matousefiche de la gueule du monde avec son polo à damier bleus « à la grecque » pour emberlificoter Lamonf’ aka le prestidigidigidigidigitatatateur.

    • Nath 17 janvier 2012 at 06:23

      Andouillard ! :lol:

      • Bastien 17 janvier 2012 at 06:29

        Prononciation berrichonne, arf !

        A croire qu’il le veut pas son 2ème set, là (2 breaks dans le set et 3 points d’avance dans le tie gaspillés).

  4. Bastien 17 janvier 2012 at 06:22

    Quelqu’un sait ce qui est arrivé à Xavier la malisse ?

  5. Djita 17 janvier 2012 at 06:27

    Coucou.
    Je savais que Stosur allait faire un très mauvais OA mais je ne pensais pas que ce serait Cirstea qui la sortirait. Elle n’a jamais trouvé son rythme en 2012 et c’est bien dommage qu’elle ne puisse briller chez elle.
    Djoko commence en se baladant. Il est plus que jamais favori.

  6. Nath 17 janvier 2012 at 06:30

    En tout cas, ça défile aujourd’hui, rien à voir avec hier : un seul match terminé en 3 sets chez les filles, un seul en 5 chez les garçons, et 4 en 4 sets ! J’ai bien fait de me lever plus tard…

  7. Bastien 17 janvier 2012 at 06:30

    Mais qui vois-je entrer en scène : le MÉROU, le mérou, le mérou, le mérou !

  8. Bastien 17 janvier 2012 at 06:33

    Et Ajenstou Riske face à Urszula en tresses, pardon Radwangroove.

    • fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 janvier 2012 at 06:35

      Mais comment fais-tu? :lol:

      • Bastien 17 janvier 2012 at 06:39

        Pour moi comme pour Chuck Norris et Roger Federer, la critique est facile et l’art itou.

        (nan en fait, je sous-traite à Kaliningrad pour la journée et à Krasnoaïarsk la nuit)

  9. Bastien 17 janvier 2012 at 06:36

    Le fils d’Harry explose (faut dire qu’il essaie de jouer au plus fin avec le monstre du Loch Ness), la chèvre cachée (un ptit gars bien de chez moi, à Angers) entame à merveille et la furia francese bat son plein sur le court n°3 avec Marion et Virginie au sommet de leur rivalité.

  10. Nath 17 janvier 2012 at 06:41

    J’ai essayé de regarder un peu de Razzano-Bartoli, mais Barto en gros plan en retour de service sur un stream un peu flou ça donne le mal de mer. Je me sens un peu barbouillée 8O
    11 partout au tie-break sur le 19 !

    • Nath 17 janvier 2012 at 06:45

      Ça y est ! Set Andujar (un de mes poulains à l’Odyssée 2011)

  11. fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 janvier 2012 at 06:44

    WTF! Bartoli/Razzano sur Eurosport et Eurosport 2 en parallèle!!! Je vais les buter…
    Au secours!

    • Nath 17 janvier 2012 at 06:47

      Du calme, c’était pour la fin du set ;)
      Ils ont mis Mahut – Stepanek now.

  12. Bastien 17 janvier 2012 at 06:46

    Enfiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin, la Moufette a pu se (nous) débarrasser du All-Black, pardon du All-à damiers blancs et bleus.

    Il y aura eu des glissades du bout du monde, des remises asthmatiques depuis les tribunes, des smashes renversés, des coups droits shoppés offensifs en 1ère intention seulement validés par le hawk-eye, bref des Monfiseries en veux-tu en voilà.

    Place à Jesse Levine et à Andouillard (14/12 au tie-break quand même).

    Et xavier Malisse, tout le monde s’en tamponne ?

  13. William 17 janvier 2012 at 06:46

    Bastien est en forme olympique on dirait!

    • Bastien 17 janvier 2012 at 06:50

      Oui mais à doses homéolympiques. Va falloir que je m’entrepouille vers d’autres horizons, car le devoir me roule une pelle.

      Je repasserai pitêtre plus tard pour supporter Istomin.

      À pluch’ les zamis.

  14. fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 janvier 2012 at 06:47

    Passer de Marion au mérou, c’est hardcore quand même!

  15. William 17 janvier 2012 at 07:10

    Le Mérou debreak alors que Mahut servait pour le set ! 2 sets à 1 pour Murray.

  16. benja 17 janvier 2012 at 07:12

    Malisse comme Darcis faisait partie du package d’accord entre les fédérations Belge et Française.

    C’est Bartoli qui doit rendre la pareille à Kim si elle arrive en finale… :-)

    Non plus sérieusement, je vient d’entendre l’interview de Malisse, il a une douleur au coude qui est monté jusqu’à l’épaule.
    Il a demandé au kiné si il y avait un risque de déchirure. Le kiné lui a dit que oui même s’il était très faible.

    Xavier a préféré joué la carte de la sagesse!!! A son âge, il y est enfin arrivé? Ou savait-il que contre Murray au 2° tour, c’était injouable?

  17. fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 janvier 2012 at 07:12

    Le cauchemar de Nath est bien parti pour se qualifier sur le court 7 :mrgreen:

    Je vous abandonne les amis. See you soon!

    • Nath 17 janvier 2012 at 07:15

      A plus, sur ton article ;)

  18. Nath 17 janvier 2012 at 07:12

    Ah, Tipsa est finalement passé en 4 sets.Avec le vent ça n’a pas du être beau à voir…

  19. fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 janvier 2012 at 07:18

    MJ, Guillaume : check your mail ;)

    Tchuss

  20. Serge 17 janvier 2012 at 07:35

    Mais qui est tu Bastien? En une heure t as mis une sacree ambiance, commentaires enormes de ta part!

  21. Nath 17 janvier 2012 at 07:39

    Et le deuxième 5° set de la nuit sera – encore sur un court non télévisé – pour Granollers – Levine. Ce dernier est revenu alors qu’il était mené 2 sets à 0 (dont une bulle au 1° set), va-t-il éliminer mon cauchemar ?
    Mahut en a profité pour gagner le premier set 7-5 malgré qu’il ait perdu le break d’avance qu’il avait pris rapidement.
    Sur la Hisense Arena (pas terrible comme nom), Murray va servir pour le match et devrait donc laisser la place à Roddick et Haase.

  22. William 17 janvier 2012 at 07:43

    La Murène ne sert vraiment pas vite : 176 en premières de moyenne et 136 en secondes…

  23. Nath 17 janvier 2012 at 07:51

    Murray a bien conclu.
    Mahut est très bon je trouve, mais Stepanek est vraiment moyen. 4-2 Mahut dans le 2° set.

    • Nath 17 janvier 2012 at 08:20

      Mahut en a profité pour gagner le deuxième set 7-5 malgré qu’il ait perdu le break d’avance qu’il avait pris rapidement.
      Oui, oui, copié collé, mais c’est le même scénario…

    • Nath 17 janvier 2012 at 08:29

      Très bon mentalement le Mahut notamment, parce qu’il ne s’est pas frustré et a remporté les 2 premier sets après avoir laissé filer son avance.
      Le contraire de la Kuz en quelque sorte, un set partout contre Scheepers, je vais basculer sur elles.

      Personne pour suivre ce Mahut – Stepanek ? Vous travaillez tous ?

  24. Sam 17 janvier 2012 at 08:28

    Mérou, y es-tu ? Non, plus de Mérou.

    Hewitt ne devait-il pas jouer ? J’arrive pas à le trouver non plus ?

  25. Nath 17 janvier 2012 at 09:09

    Je n’ai pas de commentaires sur Eurosport2, c’est fou ça, et en bien !
    Et 6-0 pour la Kuz dans le troisième. Je pense qu’elle a été gênée par une adversaire qui avait une très bonne longueur de balle (en fin de match ça a donné pas mal de fautes), mais vu que Scheepers ne frappait pas si fort et n’était pas exceptionnelle question angles, elle a pu poser son jeu dans ce dernier set. C’est vrai que Kuznetsova
    n’aime pas quand c’est pas elle qui fait le jeu, je l’ai déjà vu râler suite à une UE de son adversaire à RG, parce que ce n’était pas elle qui dominait l’échange. Pas surprenant qu’elle se frustre une fois sur deux quand on sait ça…

    Et match Mahut qui en tombe à la renverse (vraiment à la mode, ça !)

  26. Djita 17 janvier 2012 at 09:27

    C’est marrant je regarde le match Simon/Udomchoke sur eurosport, et les commentaires qui crient « noooooon » lorsque le thaïlandais perd un point. C’est un peu le monde à l’envers. Et ce n’est pas pour me déplaire. C’est marrant. Simon s’en sort bien il était breaké au 3eme set mais son adversaire gené par une petite blessure ou crampe lui permet de revenir dans la partie.

    • Djita 17 janvier 2012 at 09:47

      Et voilà Simon mené 2 sets à 1. Je ne comprends pas comment il s’est mis dans cette situation. Le Thaïlandais possède un supers revers qui met Simon en diffuculté. Mais je pense quand même que Simon va l’emporter en 5 sets.

  27. Ulysse 17 janvier 2012 at 09:35

    Bonjour les dingos !
    Content pour Mahut et puis aussi pour le Mérou qui est un de mes tocards dont je suis le plus fier.

    Ne vous laissez pas impressionner par les démonstrations du big four en début de tournoi. Ces premiers tours de GC sont les matchs les plus faciles de la saison pour eux, et leur physionomie n’est jamais bien indicative de leur forme réelle une fois arrivés en demi-finale.

  28. Djita 17 janvier 2012 at 09:52

    Sinon j’aime bien le nouveau look de Tsonga. Le bandana lui va bien. Sa tenue aussi.

  29. Nath 17 janvier 2012 at 09:55

    Ça y est, Tsonga rale. Et Bennet’ mène maintenant 2 sets à 0. En tout cas la couverture d’Eurosport est super, en quantité surtout. En attendant que la plupart des Français se fassent sortir.

  30. Alex 17 janvier 2012 at 10:03

    Ebden, il a une bouille qui fait penser à celle de Hewitt, la casquette à l’envers et même un petit «come on» sur faute directe adverse ..

    • Colin 17 janvier 2012 at 10:07

      La classe, quoi.

  31. Colin 17 janvier 2012 at 10:09

    Personne pour nous raconter le match entre Duckworth et Zopp?
    Pourtant ce n’est même pas de la WTA : http://www.australianopen.com/en_AU/news/articles/2012-01-17/201201171326782698127.html

    • Babolat 17 janvier 2012 at 10:21

      J’ai Zoppé ce match désolé…

  32. benja 17 janvier 2012 at 10:17

    Tsonga en pyjama!

    • Djita 17 janvier 2012 at 10:20

      Oh ça passe pour Tsonga. ;)
      C’est toujours mieux que Verdasco.

      • benja 17 janvier 2012 at 10:23

        ça se tient quand même de près :-)

    • Nath 17 janvier 2012 at 10:22

      Tu dors en pyjama orange vif ?

      • benja 17 janvier 2012 at 10:24

        non mais mon fils de 2 ans, parfois oui…

  33. benja 17 janvier 2012 at 10:18

    l’adversaire de poussin de ne sail plus marcher!

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