Des rêveries d’un joueur solitaire

By  | 14 avril 2012 | Filed under: Rencontres

Nimy, quelque part du côté de la sortie 23 de l’autoroute Bruxelles-Paris, un peu au sud de Mons. Nous sommes en région wallonne. Les routes sont rappées d’usure dès qu’on sort des voies nationales. L’académie locale de musique n’est jamais loin du bar du coin, qui n’est jamais loin de la mutuelle locale, du zoning en réfection, des colliers de maisons grises qui font village. On vote socialiste. On travaille au noir. On paie sa bière, puis celle de l’autre. On n’a rien contre les Flamands et d’ailleurs on ne parle pas leur langue.

Et à Nimy, quelques centaines de mètres après la bretelle d’autoroute, il y a un club de tennis. Le TC Nimy a sa légende. Les joueurs de la région prétendent que la porte d’entrée du club ne s’ouvre qu’avec le clou planqué au-dessous du paillasson d’entrée. Le TC Nimy devait devenir le complément hennuyer du centre AFT de Mons, avant que les instances du tennis francophone ne décident de s’en désinvestir. La buvette sent la cigarette froide. Le Quick des terrains intérieurs ressemble au Dresde des lendemains de bombardement. Le toit perce. Les surfaces gèlent durant l’hiver et les piliers de soutien du hangar évoquent  les heures glorieuses de la révolution nord-coréenne. Le TC Nimy, de l’avis de son président, est le club le plus pourri de la région, qui en compte pourtant quelques-uns. Mais voilà, Fred – c’est le président, Fred – est ambitieux, et cela fait deux ans maintenant qu’il veut rénover le club, reconstruire la buvette et doter le hangar d’un revêtement décent. Il a discuté avec le bourgmestre. Raclé les fonds de tiroir des commerçants locaux. Et décidé il y a deux ans d’organiser au TC Nimy un tournoi de ce qu’on appelle le Belgian Circuit, à savoir la catégorie d’élite des tournois nationaux en Belgique.

Cette année, c’est Byzance. Fred connait de loin Christophe Rochus et l’a convaincu – « en sachant se montrer persuasif », dixit Christophe – de participer au tournoi. Les coachs de la région ont rameuté le petit monde local du tennis. On a adossé une tente blanc pluie à la buvette, qu’on a baptisé restaurant pour l’occasion. Soixante joueurs se sont inscrits dans le tableau Messieurs I, du Hainaut, de Bruxelles, de Flandre ; des jeunes qui se testent, des coachs, les coureurs de cacheton, des joueurs solides et limités. Il y a François, qui a perdu cinq fois au tie-break le gain d’un point ATP. Il y a Maxime, qui me dit hier encore qu’un ancien champion de Belgique lui avait avoué qu’il « avait une belle main ». Il y a Sophie, la juge-arbitre, qui rappelle à qui veut l’entendre que « Christophe a refusé d’avoir un coin à lui durant le tournoi, et qu’il préfère rester dans le club-house comme tout le monde » – c’est un gars simple, quoi. Il y a Dennis, trop fort pour la Belgique et trop faible pour le reste du monde. Il y a Maxim, Arthur, Damien, Antoine et tant d’autres, à qui leurs coachs assis à côté d’eux leur répètent depuis deux ans qu’ils ont leur potentiel pour être pros, et qui deviendront plus tard professeurs de tennis.

Et puis il y a moi. Cela fait dix-neuf ans maintenant que je cours les tournois du printemps à septembre, et huit ans cette année que je joue ce qu’on appelle « la grille », à savoir le système de répartition de points définissant le haut des classements belges. J’ai longtemps joué la peur au ventre. J’avais commencé à jouer en compétition un peu après les autres joueurs de mon âge, et j’en avais gardé des années durant un léger complexe d’infériorité ainsi que la volonté scolaire de bien faire, de me battre, de ne pas perdre. Ne pas faire la faute, ne pas délier le bras, attendre la défaite adverse. Je ne l’avouais à personne, mais je ne supportais pas ces jours de tournoi, où la nausée me venait presque à l’idée d’être ridicule, dépassé, grotesque devant mon adversaire souvent plus rapide, mieux habillé, plus sûr de lui. Mais je gagnais des matchs néanmoins. J’étais calme, j’avais l’œil rapide et je me cramponnais tant à mes peurs que la rage qu’elles me permettaient de tenir mes rencontres au-delà de l’épuisement physique et mental. Je suis devenu adulte. La peur n’a jamais disparu et les kilos commencent à empeser mon jeu. Mais je joue mieux. Je sens que le regard des autres sur moi a changé. J’ai aujourd’hui un élégant jeu de contreur, lent mais souple. Les gens aiment regarder mon revers, un joli revers à deux mains, coulé, varié, précis. Et les buvettes des tournois m’apprécient parce que je ressemble aux gens qui les composent : un peu trop lourd, un peu trop vieux, peu habillé – regarder Pitseys jouer permet au bras cassé de se dire qu’il suffit d’un peu de chance pour avoir un joli jeu de poche.

Tout ça pour dire que je n’ai jamais rêvé d’être un vrai joueur de tennis, ni même un joueur qui ressemble à un vrai joueur : fin et dur, tenue floquée, coup droit d’apparat. J’ai battu trois fois Becker contre le mur de mon garage, en finale de Wimbledon. Mais sur le terrain, le rêve c’est pour les autres.

C’est pourtant moi que le tirage au sort avait désigné dans le tableau de qualifications pour jouer contre Christophe Rochus en premier tour de tableau final. C’est moi. Cette fois c’est moi, pas le prof de Mons, le jeune con qui revient de chez Mouratoglou ou le coach à bourgeoises de l’Est de Bruxelles.  C’est ma partie. J’ai marché hier comme un mort de faim sur mon adversaire de qualifs. J’ai deux raquettes, un sac en plastique, je porte encore le short et le polo blanc, et c’est moi, la vieille bique, qui vais avoir l’honneur de me faire déchiqueter dans quelques minutes par l’invité de la semaine. Les gosses courent dans le club-house, et trois adolescentes braquent un regard énamouré devant « Christophe », qui se tient légèrement en retrait en fond de salle. Julien, qui est censé rencontrer Rochus au tour prochain, me souhaite rapidement bonne chance. Sophie me présente à mon adversaire, qui ne prend pas la peine de réprimer un sourire surpris à la vue de mon sac en plastique Carrefour abritant mes deux raquettes et la bouteille de Spa que j’ai remplie dans les vestiaires. Nous entrons dans le hangar.

La rencontre commence. Elle durera onze minutes exactement. Le temps de l’échauffement, où le grand con que je suis se dit forcément qu’à ce rythme, le gars d’en face doit tout de même être jouable. Car c’est vrai qu’il n’est pas grand, Christophe Rochus. C’est vrai qu’il est indolent, absent de lui-même, presque gêné de devoir vivre éveillé. Pas vraiment sympathique mais presque touchant en Bartleby du tennis exsudant son « je préfère ne pas… » à longueur de coups ; je préfèrerais ne pas courir ; ne pas suer ; ne pas être là ; ne pas me faire chier à répondre à ces branleurs, à ces faux-culs, à ces abrutis qui me demandent si je me sens bien dans leur hangar ; ne pas parler, ne pas me lever, ne pas devoir sourire ; ne rien faire ; disparaitre ; me faire de la thune et disparaitre. Il joue doucement, et rêve peut-être de mers brumeuses et de soleils silencieux. Je me sens presque bien. Je voudrais que ça dure.

Et le premier jeu, disputé, que je faillis prendre, que je dois prendre d’ailleurs. Je sais que le match sera difficile pour moi, car je souffre d’une ampoule depuis le match d’hier. Le revers, mon coup fort, sera en panne. J’envoie ce que je peux au service et manque de m’ouvrir la main au retour. Je sens qu’il y a un infime espace pour tenir ce service, et peut-être celui d’après. Grappiller quelques jeux. Ne pas être ridicule. Le coup ne passera pas loin, quelques centimètres sur une attaque de coup droit ; mais deux retours gagnants plus tard, c’est Christophe qui prend le jeu. Les quarante minutes suivantes me permirent alors de comprendre ce qu’est un vrai joueur de tennis.

Que dire ? Christophe n’a pas perdu un kilo depuis son retrait des terrains. Il court vite, est impeccable dans sa technique de course, prend la balle juste après le rebond. Pas de coup neutre, pas d’attente. Je remets la balle, il la termine. Je l’attaque, il me dépasse. Je slice, il monte. Je joue au centre, il me déporte. Je joue croisé, il me déporte davantage. Je tente l’amortie : ben, il contre-amortit, forcément – ne JAMAIS amortir sur un Rochus. Je le lobe, il me tweene. Je le re-lobe, il me fait avaler la balle. Christophe Rochus n’est pas un joueur puissant, il doit donc être un joueur rapide. Il joue sur l’étourdissement constant, le tricotage agressif. Le phasme se fait colibri, le poux devient puce. Et les jeux se succèdent. Mon T-shirt peut abreuver l’Afrique entière. J’essaie de me cramponner à mon service de gaucher, slicé extérieur côté avantage, une saloperie fuyante que même les meilleurs finissent par vomir. Verdict, quatre retours gagnants d’affilée, et ma raquette gémissant de désespoir.

Il en va sans doute de ce genre de match comme d’un deuil à construire à l’annonce d’une maladie grave. On y croit au début. Puis on se révolte, on se met en colère: ce revers qui ne va pas, ces doubles fautes qu’on ne fait (forcément) jamais d’habitude, fichue ampoule, mauvaise tension, surface de merde. La peur de partir ridicule vient ensuite. Je me vois faire semblant de penser à un plan de rechange. Je serre le poing pour la forme, tout en esquivant le regard du public.  Et, je vous l’avoue, je pense un peu à vous, en me disant que j’aurais bien voulu ne fût-ce que sortir un coup droit ulysséen en l’honneur de la formidable bande de tarés que vous formez tous. Et puis le sourire vient, le deuil est fait. C’est à ce moment là que tombe presque naturellement mon seul jeu du match : trois coups gagnants, dont une jolie amortie bloquée. Le corps se relâche. Je profite des derniers instants. Je me surprends à le regarder jouer, le petit bonhomme d’en face, son visage sérieux et triste, sa moue ironique, sa pure merveille de revers.

6/0, 6/1, cinquante minutes. La leçon, quoi. Une charge atomique de tennis dans les dents. Coup de pot, Christophe est dans un de ses bons jours. Et moi, il me fait plutôt marrer avec son tempérament d’Asperger. On boit des bières. Et Christophe parle, fidèle à sa réputation… Il parle de lui, bien sûr, et beaucoup : des quelques tournois qu’il jouera encore cette année, des projets qu’il a dans le golf, de la difficulté de coacher la nouvelle génération de joueurs belges, extrêmement privilégiés financièrement et peu volontaires. Et parlant de lui, du circuit dans lequel il a passé dix ans de sa vie. Où on apprend que le circuit tel qu’il l’a laissé ne laisse selon lui plus assez de place au jeu lui-même, à la création de trajectoires et de filières tactiques créatives. Qu’il y a peu de choses plus emmerdantes pour un joueur que de jouer Berdych, Soderling ou la nuée de leurs clones. Qu’il échangerait dix Ukrainiens contre un Corretja. Que la pauvreté technique du jeu au top est, selon lui, heureusement masquée par la présence de deux joueurs touchés par les dieux, à savoir Federer et Murray. Qu’à ce titre, le fait que Gilles Simon soit incapable d’attaquer une balle mi-court n’en fait pas moins un des jeux les plus intéressants du circuit. Que vu l’inflation du volume physique des joueurs actuels, la seule manière efficace de lutter contre le dopage sur le circuit serait d’intensifier les contrôles au niveau junior, car c’est à cet âge, vers 14 ou 15 ans parfois, que des gosses, souvent inconscients de ce qui leur est administré, commencent à se faire « charger » par leurs parents ou coachs ; que l’argument selon lequel tel ou tel joueur – suivez mon regard, amis de la corrida – serait « naturellement » puissant physiquement à 17 ou 18 ans est non pertinent à cet égard ; qu’il ne lui revient pas de reprocher à ce type de joueur – suivez mon regard, amis de la paella – de maximiser ces gains professionnels mais qu’il ne plaindra pas s’il venait à faire un infarctus à 40 ans ; que si les pratiques de dopage sont plus massives auprès de certains cultures tennistiques – suivez mon regard, amis de la vodka et du tango – elles sont néanmoins généralisées au sein du top – suivez mon regard, amis de l’emmenthal. Et que, au passage, Tim Henman serait probablement champion de golf professionnel s’il se tirait les doigts de sa vie familiale. Christophe parle, longuement,  de la manière de ceux qui ne parlent pas souvent, qui ne parlent que d’eux et qui préfèrent être compris qu’appréciés. Il n’impose pas son point de vue et se fiche du tien. Il est heureux qu’on le prenne comme il est, une tête de lard. Et puis il te serre la main, au milieu d’une de ses phrases, en te disant qu’il s’en va. Il est pourtant de très bonne humeur. Car il lui plait de repartir solitaire.

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206 Responses to Des rêveries d’un joueur solitaire

  1. Antoine 16 avril 2012 at 23:03

    Montanès est un très bon étalon sur terre battue: quand on n’est pas assez bon, il vous bat. C’est ce qui vient d’arriver au premier tour à Raonic, battu en trois sets et reparti aussi sec de Monte carlo après un match.

    Cela confirme tout le mal que je pense de Raonic: a part servir il ne sait vraiment pas faire grand chose. Il vaut pour l’instant ce que valait Isner il y a deux ans. Cela changera sûrement mais il y a beaucoup de chemin à faire.

  2. David 17 avril 2012 at 10:03

    2012 : le changement, même pour 15-lovetennis :mrgreen:

  3. William 17 avril 2012 at 11:49

    Sympa la mise en page. Ça fait un effet mi-Facebook mi-journal papier.

  4. antsiran23 17 avril 2012 at 12:12

    Bravo pour le relooking du site ! Hormis l’article de John, c’est la seule actualité qui vaille dans le monde du tennis par les temps qui courent…

  5. fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 avril 2012 at 12:12

    Du changement sur 15love!
    + : mise en page plus « papier » et avatars plus grands
    - : commentaires plus petits donc moins « lisibles » sur les petits écrans

    Au total, design global vraiment sympa mais commentaires qui gagneraient à être plus mis en avant. Ce paramètre est-il réglable sur cette version de wordpress ?

  6. Bapt 17 avril 2012 at 12:17

    Que c’est bô… Et je peux enfin découvrir de près tous les avatars de chacun. Par contre c’est vrai que les commentaires sont dorénavant un peu perdus.
    Par ailleurs, parmi les mots-clés apparaît maintenant ostensiblement « Lendl »… COMPLOOOOOOT ?

  7. Guillaume 17 avril 2012 at 12:30

    Oh c’est encore loin d’être fini. La maquette générale, c’est bien celle-là, une version – largement – améliorée de celle qu’on avait avant.

    Par contre il reste plein de détails à revoir. Je trouve le bas de la « Une » un peu fouilli, et la barre des derniers commentaires pas assez mise en avant. Et, dans le corps des articles, le texte trop comprimé à mon goût sur deux colonnes.

  8. William 17 avril 2012 at 12:58

    Breaking news : Troickard a marqué un jeu !

  9. Antoine 17 avril 2012 at 13:04

    Sympa toutes ces modifications Guillaume ! Parmi les améliorations possibles: la typographie des titres ? Et le fait que l’article et les commentaires ne s’affichent que sur une colonne très étroite ? Cela oblige à un très long défilé pour prendre connaissance des commentaires précédents ou à en retrouver un. Bon courage !

  10. MarieJo 17 avril 2012 at 13:06

    j’ai fait qques tests de mise en page pour la page d’accueil comme pour celle de l’article à lire…

  11. Antoine 17 avril 2012 at 13:13

    C’est une véritable raclée que Trotsky est en train de prendre: une bulle, un break au second et seulement un tiers des points gagnés. Andy a l’air en grande forme lui !

    Update: 6-0 6-3 pour la Murène. Well done Andy ! Trotsky était 12ème en juin dernier, 30ème aujourd’hui en attendant mieux: un véritable tocard !

    L’ex Goat caché Llodra sorti sans gloire par Fognini…

    • David 17 avril 2012 at 13:59

      Troicki quart de finaliste l’an dernier qui puis est…

  12. Ulysse 17 avril 2012 at 13:24

    Où est passée la blogoliste ?

    D’ailleurs avant qu’elle disparaisse, le lien vers les délires du faux Marc Rosset avait disparu lui aussi?. C’est voulu ?

  13. Sylvie 17 avril 2012 at 14:50

    Il y a des choses sympas dans cette mise en page mais je trouve que la typographie du bandeau et et celle du corps du site ne collent pas ensemble.

  14. Robert "AxelBob" 17 avril 2012 at 15:46

    Sympas le nouveau site et la nouvelle typographie ainsi que les avatars agrandis. Tu as bien fait de rétrécir les 2 colonnes de droite, ça donne plus d’espace au texte de l’article et aux coms’ (dont il faudrait peut-etre diminuer d’un pixel la grandeur de caractère).
    Par contre je trouve la page d’accueil un peu « désordonnée » (surtout avec les deux widgets insérés au milieu des articles). Ce serait mieux d’utiliser des « box » aux contours plus définis et de laisser les widgets dans une colonne séparée à droite

  15. Antoine 17 avril 2012 at 15:53

    Peut être faut il tout simplement laisser Guillaume peaufiner ses réglages avant d’en parler ? Je vois que le site s’améliore d’heure en heure. La largeur de la colonne de l’article et des commentaires est parfaite en ce qui me concer désormais. C’est bien que l’on puisse désormais voir vraiment les avatars désormais aussi. Je trouve que le tout est bien plus agréable à lire qu’autrefois. Bravo !

    Comme Bapt, je note cependant qu’apparait parmi les mots clé le sinistre patronyme du natif d’Ostrava et ça, ce n’est pas possible…

  16. Guillaume 17 avril 2012 at 16:04

    Bon on s’approche. Dans les pages articles, ça me semble maintenant bien calé. On a récupéré la lecture sur 4 colonnes de largeur, bien grossi le champ des commentaires (c’est drôle de visualiser enfin clairement les avatars) et, nouveauté, on peut maintenant cliquer sur le nom d’un auteur pour accéder à tous ses textes.

    Comme pointé par Bob, reste encore un peu de taf sur la Une… tout en sachant que le principe de cette nouvelle version est de permettre une « Une » malléable, qui s’adapte elle-même aux formats (longueur, photo, vidéo…) des articles récemment publiés.

    • Colin 17 avril 2012 at 16:20

      Ça commence à avoir de la gueule !

    • Elmar 17 avril 2012 at 21:14

      Pas mal du tout, la possibilité de voir tous les articles d’un auteur. Y a pas moyen de faire la même chose avec le nom de posteurs?

  17. MarieJo 17 avril 2012 at 16:31

    pour l’instant c’est moi qui peaufine, et je vous le dis : c’est bcp moins simple qu’avant, il y a des fonctionnalités nouvelles pour les publications… bref, y’aura surement des ratés au début, je ferai un article mode d’emploi mais ya encore un peu de boulot surtout que toutes les photos d’articles ont suaté depuis le début du site ! je vais surement envoyer un mail au créateur pour avoir une ou 2 autres petites solutions pour des modifs…

    pour info, si vous mettez un mot pour vous décrire sur le profil cela apparaitra à la fin de vos articles :)
    le début de la gloire !

  18. MONTAGNE 17 avril 2012 at 16:32

    Plutot pour la nouvelle version, laissons les boss paufiner la maquette.
    J’aime bien, comme beaucoup, l’agrandissement des avatars, je pense qu’on va en voir apparaitre des originaux.

  19. Kaelin 17 avril 2012 at 16:34

    J’aime bien comment c’est pour l’instant ! beau travail

  20. Antoine 17 avril 2012 at 16:47

    L’ex Goat caché, c’est encore pire que ce que je pensais: Llodra paume 7-5 6-3 contre Fognini qu’il avait battu 6-3 6-3 l’année dernière au même stade. Pourtant Fognini n’est pas en super forme: il venait de perdre au premier tour au tournoi de Casablanca…Llodra vient de changer de coach et prend Simian.

  21. Le concombre masqué 17 avril 2012 at 17:17

    Yessaï, ça le fait ce petit make up.

    Parlons tennis aussi là, c’est pas parce que Doudou se repose qu’il ne faut plus regarder de matchs! Y’a quand même du monde en présipauté.

    Pour avoir vu Murray jouer le 1er set contre Troicki, en plus d’avoir désormais la coupe militaire (souvenir du camp dans lequel Antoine et Ivan l’ont envoyé, pour sûr), il a mis de la lourdeur dans ses coups droits, ça devient pas mal du tout!

    Il a quand même mis un 14-0 à Troicki au premier set, ça pose le niveau, hein même si John et Crocus rejouaient 100 fois leur match, JAMAIS notre John n’encaisserait un 14-0, j’en suis sûr…

    Par ailleurs, la refonte du site c’est bien beau, mais moins que le club de Monte Carlo. C’est tout simplement le plus beau tournoi du monde, je pense. Le contraste entre le bleu de la mer et l’ocre de la terre ensoleillée est comme créé par Dame Nature : la surface s’impose, aucune autre n’irait bien ici.

    • Antoine 17 avril 2012 at 18:17

      14-0 au premier set, je ne suis pas sûr de comprendre Cucumber..Le bon Trotsky a marqué 9 points en tout cas: pas bien lourd…

      • Le concombre masqué 17 avril 2012 at 19:17

        Mon bon Antoine, ton poulain a simplement marqué 14 points consécutifs, voilà tout. Entre 1-0 et 4-0 0/30, de mémoire.

  22. benja 17 avril 2012 at 18:06
  23. karim 17 avril 2012 at 18:11

    Nouvelle maquette, cooooool. Moi j’aime tout ce qui est nouveau, un article de supermarché il suffit de mettre « nouvelle formule » dessus pour que j’achète, je suis un client-pute de premier choix. Alors j’aime FORCEMENT la nouvelle maquette.
    Monte-Carlo, Djoko met 3 et 1 à Nadal-aux-faibles-genoux en finale. Qui fera l’impasse sur Barcelone (y est-il seulement inscrit d’ailleurs).

  24. Pierre 17 avril 2012 at 18:55

    Keskisspasse ? OOOOOOOOOOOOOhhhhhhhh, c’est beau ce 15-love new look… C’est comme dans cette émission où les gars ils partent en vacances et, pendant ce temps, il y a des maçons qui leur refont la baraque. Quand on rentre on est perdu, ben oui. Et où sont les toilettes ? Et comment elle est ma chambre ? Et Karim, il est toujours vert ?…
    Tout est très très joli, je suis très content des entrepreneurs, c’est à la fois cosy et cossu, oui oui.
    Adopté !

  25. Quentin 17 avril 2012 at 19:51

    Je suis complètement perdu, comment on peut accéder à son tableau de bord?

    • MarieJo 17 avril 2012 at 20:05

      oui il est un peu différent, mais tu dois pouvoir trouver la section profils sans problème. quand tu es loggué tu a un mini avatar sur le bandeau supérieur en gris foncé. je te l’active au cas ou tu vas voir c’est plus cool :

    • Quentin 17 avril 2012 at 20:14

      OK, c’est simplement que jusqu’à présent j’avais désactivé le bandeau supérieur, le laissant juste sur le tableau de bord. Maintenant c’est bon, j’ai fait la manip.
      Par contre il m’est impossible de me connecter depuis la une, il faut que j’aille sur un article. Mais bon ça c’est pas dramatique.

      • fieldog, vainqueur 2010 de l'odyssée (la seule, l'unique!) 17 avril 2012 at 20:19

        Même chose le petit « connexion » dans le bandeau du site a disparu… ;)

        Ca commence à avoir de la gueule en tout cas. Well done MJ !

    • MarieJo 17 avril 2012 at 20:19

      ah ok je vais voir si je peux rajouter ça, je n’avais pas fait gaffe qu’il manquait la case log in !

      • Colin 18 avril 2012 at 09:42

        @MarieJo : je ne trouve toujours pas l’accès au tableau de bord, il est caché où?

  26. Elmar 17 avril 2012 at 21:09

    J’ai eu peur à midi en voyant la nouvelle maquette avec une Une totalement désorganisée et des colonnes d’articles particulièrement étroites. Mais là, c’est vraiment nettement mieux.
    Classe!

  27. Antoine 17 avril 2012 at 22:51

    Je trouve cela vraiment super comme présentation ! Juste une suggestion: ne pourrait on pas mettre les titres des articles en gras ?

  28. Guillaume 17 avril 2012 at 23:22

    On peut essayer… Pour l’essentiel, on est maintenant bons sur l’apparence du site. La « home » reprend le principe et l’allure générale du thème précédent, mais en plus sophistiquée, et dotée d’une capacité à se réguler elle-même selon le nombre et la taille des photos sur les derniers articles, l’ajout ou non de vidéos… Les vidéos, je pense que ça peut être un gros +, notamment en période creuse. Ces jours-ci, personne n’a écrit sur les adieux de Ljubi ? Pas grave, une bonne série de vidéos est là pour y remédier ! Par contre, il faudra s’y mettre à plusieurs afin de les actualiser régulièrement.

    Et puis plein de petites choses qu’on voulait depuis longtemps : les avatars plus visibles, la possibilité de cliquer sur le profil d’un auteur, l’archivage des articles par années et non par mois (depuis mai 2009, c’était interminable), la citation qui intègre le bandeau… Globalement enfin, l’interface offre plus de possibilités, à découvrir au fur et à mesure.

    Reste une ou deux manips interne demain, et on sera tranquilles pour un bout de temps !

  29. William 17 avril 2012 at 23:33

    John a même fait son apparition dans le who’s who ! Consécration !

  30. William 18 avril 2012 at 00:09

    J’en profite pour signaler que la billetterie pour les exhibitions du Masters Guinot Mary Cohr est ouverte. Les participants ne sont pas encore tous révélés mais un ami qui y bossera m’a livré quelques noms et ça a l’air pas mal du tout…

  31. Kaelin 18 avril 2012 at 01:15

    Almagro – Berdych… en dehors de la polémique sur le passing d’Almagro, le match était quand même d’un niveau et d’une intensité incroyable entre des têtes brûlées ! http://www.youtube.com/watch?v=jYo29rY-pck Quel plaisir de se remater les highlights !

  32. Mathias 18 avril 2012 at 10:22

    Bravo pour le nouveau design du site!
    Vous avez géré cela comme des chefs. Vraiment impressioné!

    Question actualité:
    Monaco vient de se blesser gravement à la cheville.
    Argh! Alors que je venais de le prendre comme Performeur… COMPLOOOOOOOOOOOT!

    • David 18 avril 2012 at 10:52

      C’est Karim qui t’a soufflé le nom de Monaco, c’est ça ? Ca fait le onzième blessé depuis trois saisons à mettre à son actif. On lui a pourtant répété de ne plus jouer à l’Odyssée, de ne plus soutenir un joueur et surtout de ne plus faire un pronostic ! Del Potro est resté sur le carreau pendant un an. J’ai vraiment peur pour Monaco…

      • Mathias 18 avril 2012 at 10:56

        Rétablissons la vérité: Karim n’y est pour rien cette fois!

        Le choix de Monaco, sur la forme démontrée depuis el début de l’année me semblait très logique. Même Antoine s’attendait à le voir performer un max, notemment durant la saison de terre battue à venir.

        C’est juste la poisse…

    • Colin 18 avril 2012 at 11:46

      Assez intéressante la petite note de bas de page de l’article de lequipe.fr qui relate la blessure de Monaco à Monaco (je sors):

      « Cinq joueurs engagés en quarts de finale à Houston la semaine dernière ont enchaîné avec le Masters 1000 de Monte-Carlo : trois ont dû abandonner et deux se sont inclinés en deux sets. »

  33. Sam 18 avril 2012 at 14:35

    J’ajoute ma pince au concert de louanges sur l’article de John, tout en alertant néanmoins le modérateur sur le fait qu’il est en cette période électorale et de décompte strict des temps de parole subliminalement porteur d’idées dangereusement gauchistes au regard des enjeux économiques actuels de notre sport.

    Christian B.

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