Tops/flops Madrid

By  | 16 mai 2010 | Filed under: Actualité

Après un début de saison sur terre battue archi-dominé par Rafael Nadal et marqué par l’effondrement du Top 10 en même temps que le retour au premier plan des  « autres » Espagnols, le Master 1000 de Madrid a apporté son lot de confirmations (Nadal, Ferrer), de satisfactions (Federer, Gulbis), mais aussi déceptions (Verdasco, Moya) avant Roland-Garros.
Avant de nous lancer dans les « tops », soulignons rapidement le retour de forme d’Andy Murray qui a atteint les quarts de finale à Madrid. Néanmoins, si son parcours est correct, il est finalement équivalent à l’année dernière et il semble peu probable, aux yeux de l’auteur de ces lignes, que l’Ecossais ait un rôle important à jouer à Roland-Garros. Tout au plus peut-il viser un quart de finale. Ce sera surtout sur gazon que Murray sera dangereux, au même titre d’ailleurs qu’Andy Roddick, qui n’a pas joué un seul des trois Masters 1000 sur terre.

Les tops

Rafael Nadal. Avec 18 Masters 1000 au compteur à seulement 23 ans, Nadal bat le record « officiel » d’Andre Agassi et entre un peu plus dans la légende. Il a réussi pour la première fois le triplé Monte-Carlo / Rome / Madrid, réalisant en quelque sorte un grand chelem ocre des Masters 1000. En gagnant à Madrid, il impose un peu plus sa suprématie sur terre battue : quelque soit l’altitude, le roi c’est lui ! Par ailleurs, Nadal qui n’avait plus battu un Top 10 (excepté Tsonga) depuis un an remporte la finale contre le numéro 1 mondial et tenant du titre 6-4 7-6, ce qui ne peut que faire du bien pour sa confiance.
Et pourtant… Et pourtant on le dit moins impérial qu’en d’autres temps. Ses victoires contre Dolgopolov, Isner et Almagro n’ont pas entièrement convaincu. Contre Federer il a semblé fébrile. Il faut cependant rappeler que Nadal n’a jamais été ultra dominateur durant la saison de Masters 1000 sur terre, pas même en 2008 ou il lui fallu trois sets pour battre Djokovic puis Federer à Hambourg. Par ailleurs, étant donné l’état du Top 10 actuellement, avec del Potro et Davydenko forfaits, Djokovic alité et Söderling irrégulier, il n’aura pas forcément l’obligation d’être au top pour gagner à Paris. A moins que Federer…
On observe aussi que Nadal, qui avait fait d’énormes efforts pour être compétitif sur gazon et surtout sur dur, semble être revenu aux fondamentaux de son jeu, tout particulièrement sur son lift de coup droit. Si cette stratégie a porté ses fruits sur terre, l’efficacité de son jeu sur les autres surfaces demande confirmation.

Roger Federer. Il était temps : Roland-Garros, c’est dans une semaine seulement ! Après une période post-Open d’Australie pourrie, le Suisse retrouve la forme au meilleur moment. Une petite mise en jambe contre Becker, une montée en puissance contre Wawrinka, un excellent match contre Gulbis où son niveau a parfois touché à l’exceptionnel durant le second set, une rencontre bien maîtrisée contre Ferrer, le terrien en forme du moment, et une finale contre Nadal. Une rencontre où Federer a fait preuve d’un revers très solide, ce qui rend moins efficace le pilonnage systématique du Majorquin dessus. Le Suisse nous a aussi distillé quelques amorties qui rappellent celles de l’année dernière. Son service est (presque) au point. Mais en revanche, son coup droit manque singulièrement d’explosivité et sa volée est à parfaire. Quoiqu’il en soit, ce tournoi aura permis à Federer de refaire sa confiance à l’approche de Paris et d’envoyer un signal à tout le circuit : « Je suis là, si vous voulez le titre, il faudra aller le chercher ! »

David Ferrer. L’Espagnol a confirmé son regain de forme constaté depuis le début de cette saison de terre battue. Après ses demies à Monte-Carlo et Barcelone puis sa finale à Rome, il a de nouveau atteint le dernier carré cette semaine. Il a pourtant dû se dépêtrer d’une situation difficile contre son tombeur de l’Open d’Australie Marcos Baghdatis au deuxième tour lors d’un match remporté laborieusement 1-6 6-3 7-5 après avoir sauvé avec brio une balle de match. Une fois Čilić écrasé puis Murray bien maîtrisé, Ferrer a rejoint Federer en demi-finale, contre qui il s’est incliné en trois sets. Une défaite qui confirme le fait observé depuis des années : à l’exception de Nadal, aucun spécialiste de la terre battue n’a jamais pu réellement s’imposer sur cette surface. La faute au Manacori, bien sûr, mais pas seulement. Le Suisse était certes bon samedi, mais pas imprenable. Surtout que le Bâlois ne semble jamais particulièrement à l’aise contre les terriens pur jus, contrairement à son rival majorquin qui les passe tous à la moulinette. Le cas Ferrer est donc révélateur : le retour en force des terriens à Madrid et à Rome semble plus dû aux difficultés des grands leaders du Top 10 au début de la saison sur terre (Federer, Djokovic, del Potro) qu’à un véritable bouleversement du rapport de force sur la surface.

Ernests Gulbis. Depuis le tournoi de Rome où il avait battu Federer puis pris un set à Nadal, Gulbis semble avoir pris une nouvelle dimension. Après trois matchs bien maîtrisés, le Letton de 21 ans a livré une très belle prestation en quarts de finale contre Federer, enchaînant les coups gagnants et multipliant les amorties gagnantes lors du premier set, le tout avec un service impeccable. Après un nouveau break au tout début du second set, Gulbis a néanmoins encaissé six jeux de rang, puis a dû céder à nouveau lors de la troisième manche. Malgré tout, il a montré que son tournoi de Rome n’était pas un simple coup d’éclat, et arrivera avec le statut de tête de série à Roland-Garros. Il est très clairement « le » joueur qui peut causer la surprise contre un Top 10 en seizièmes ou en huitièmes de finale. Il faudra néanmoins voir sa capacité à tenir les matches en trois sets gagnants et à gérer mentalement son nouveau statut.

Nicolas Almagro. Le natif de Murcie s’est montré très solide tout au long du tournoi, écartant le suédois Robin Söderling lors d’une prestation superbe au deuxième tour pour atteindre le dernier carré. Son premier set remporté 6-4 contre Nadal en demi-finale, où il a usé d’un jeu agressif avec des coups droits et des revers partant à 300 à l’heure a permis de bien comprendre ce qu’était un Almagro « on fire ». Cependant, comme bien des joueurs avant lui, le 35e mondial n’a pu tenir la distance et a encaissé par la suite un 6-2 6-2 sans appel. Néanmoins, ce parcours brillant à la veille de Roland-Garros peut légitimement le faire rêver à des lendemains qui chantent. Mais le mental suivra-t-il ? Les cinq balles de match ratées contre le même Nadal à Paris-Bercy restent dans la tête de votre serviteur…

Le match Federer-Gulbis. Pour l’instant LE match de cette saison de terre battue ! Un festival de coups gagnants (et quelques fautes directes aussi, mais bon…), d’amorties, de slices, de montées au filet… Un régal servi par deux joueurs offensifs, au toucher exceptionnel… et avec du suspense jusqu’au bout.

Les ramasseuses de balles. On ne développera pas, mais je ne doute pas que d’autres le feront…

Les flops

Carlos Moya. A 33 ans, l’ancien numéro 1 mondial tente depuis le début de cette année 2010 un improbable retour après ses blessures qui l’avaient contraint à l’inactivité l’année dernière. Détenteur d’une wild-card, le vainqueur de Roland-Garros 1998 a encaissé un sévère 6-0 6-2 face à Benjamin Becker et a avoué que c’était peut-être la dernière fois qu’il jouait à Madrid. L’auteur ne développera pas davantage sur ce gaucher qui joue de la main droite, Guillaume nous préparant un de ces petits articles dont il a le secret à propos du futur retraité. Mais quoiqu’il en soit, on ne peut voir partir sans regret ce joueur qui rappelle les années Kuerten, où les terriens faisaient encore la loi à Roland-Garros.

Fernando Verdasco. Si Roger Federer a démontré durant ce tournoi ce qu’était le principe de la montée en puissance, Verdasco vient lui de nous inventer le nouveau concept de la descente en puissance : finale à Monte-Carlo, demi-finale à Rome, huitième de finale à Madrid contre le trentième mondial Jurgen Melzer en deux petit sets. Une performance sublime pour un joueur qui semble faire preuve d’un sens tactique approchant celui du stratège redoutable et redouté Gaël Monfils : « Je tape fort : ça sort ? Je tape encore plus fort ! » L’Espagnol semble chercher par ailleurs à nous démontrer qu’il est un excellent gestionnaire dans son calendrier, en décidant d’enchaîner cette semaine sur le tournoi de Nice, supposant sans doute que sa cheville tout juste guérie d’une blessure se portera mieux avec quelques matchs supplémentaires et que l’enchaînement Monte-Carlo / Barcelone / Rome / Madrid / Nice est une condition sine qua non pour arriver bien frais à Roland-Garros. Un stratège, qu’on vous dit !

Robin Söderling. Après son huitième de finale décevant à Rome, le tombeur de Nadal lors du dernier Roland-Garros n’a pas rassuré sur son état de forme en se faisant éliminer dès le deuxième tour par Almagro en deux sets secs. Si le Suédois ne s’est pas montré franchement mauvais lors de cette défaite qui tient plus à l’excellente prestation d’Almagro, ces défaites précoces à répétitions inquiètent de la part du septième mondial, qui avait pourtant brillamment débuté sa saison sur terre avec une finale à Barcelone après deux demi-finales à Indian Wells et Miami. Cette inconstance pourrait lui poser problème à l’heure de défendre les 1200 points de sa finale à Paris.

Le public madrilène. Que le stade soit moche, cela peut arriver. Que le court soit mal orienté avec un contraste ombre / lumière impressionnant pendant les matchs de l’après-midi, c’est gênant. Mais le public madrilène, lui, s’est tout simplement montré insupportable toute la semaine. Il est évidemment compréhensible, et même normal, que les spectateurs soutiennent les joueurs espagnols pendant leurs matchs, même si ce n’est pas une rencontre de Coupe Davis. Que le public applaudisse les fautes directes de l’adversaire, ce n’est pas le premier ni le dernier à le faire même si c’est regrettable. Mais quand on voit Marcos Baghdatis, sans doute l’un des joueurs les plus appréciés du circuit, obligé de demander au public de se calmer, on ne peut s’empêcher de ressentir un certain malaise. Et quand Melzer, après avoir battu Verdasco, se fait huer alors qu’il veut simplement saluer le public et est obligé de s’excuser de sa victoire, cela devient tout simplement scandaleux. Serena Williams avait dit après sa défaite dès le troisième tour contre Nadia Petrova que « ce n’est pas vraiment le tournoi favori des joueurs et joueuses. Personne n’est très enthousiaste à l’idée de venir jouer ici ». Certes, la cadette n’a jamais eu la défaite facile. Mais on peut légitimement se demander s’il n’y a pas quelque chose en plus… Un point positif néanmoins : la surface semble de bien meilleure qualité que l’année dernière.

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610 Responses to Tops/flops Madrid

  1. Le concombre masqué 16 mai 2010 at 19:55

    Karim savais-tu que les koalas,lorsqu’ils sont énervés gratifient les visiteurs de bruits ressemblant à s’y méprendre à ceux que fait le cochon?

    COME ON quel revers!!

    • karim 16 mai 2010 at 19:57

      non par contre je sais qu’à force de ne bouffer que des feuilles d’eucalyptus ils sent le bonbon à l’eucalyptus.

    • Sylvie 16 mai 2010 at 19:58

      Faute de s’éclater en regardant le match, on apprend des trucs.

  2. Lionel 16 mai 2010 at 19:55

    J’y crois plus. Putain pire que si j’avais 15 ans; je pête des trucs chez moi. Allez debreak!!!!!!!!!!!!!! Mais comment y font pour être pour Nadal?

  3. fieldog 16 mai 2010 at 19:55

    Bris, débris, bizarre ce match…

  4. karim 16 mai 2010 at 19:55

    putaiiiiiiiiiiiiiiiiin le revers almagresque sur la balle de break. dessus faut dire que Nadal fait le coup droit lifté le plus court de sa carrière mais bon…

  5. Valentin 16 mai 2010 at 19:56

    Débris alllleeeeez, il va nous faire une Gulbis (pitié).
    Bon au moins on évite le bagel, c’est déjà ça, mais Nadal retourne tellement bien, ultra long, chaque jeu de service est un calvaire.

  6. Jérôme 16 mai 2010 at 19:57

    Match globalement d’un niveau assez décevant. Ca me rappelle Monte Carlo 2008 et Hambourg 2008.

    Le point qui technique qui me paraît assez marquant, c’est que le coup droit de Fed est assez faiblard.

    • Jeanne 16 mai 2010 at 19:57

      mais son revers est très bon !

  7. Le concombre masqué 16 mai 2010 at 19:57

    @ Jean : la meilleure volée du Top 10 sous tes yeux :)
    Il a failli en tomber par terre d’avoir à jouer au filet le torrero!

    • karim 16 mai 2010 at 19:58

      attention le concombre, Jean il fait une vinaigrette en 5 sec chrono.

      • Le concombre masqué 16 mai 2010 at 20:02

        Oui, il est pro de la vinaigrette ‘à l’ancienne’ j’ai entendu.
        Je ne sors pas avant de savoir s’il est énervé.

  8. Quentin 16 mai 2010 at 19:58

    2 meilleur jeux de Federer. Un petit espoir?

    • Franck-V 16 mai 2010 at 20:02

      C’était aussi les plus pourris de Nadal, avec le débris du 1er set.

  9. Chewbacca 16 mai 2010 at 19:58

    Moi j y crois encore plus il va le démonter je vous dis.

    • Sylvie 16 mai 2010 at 19:59

      C’est beau l’amour

  10. Le concombre masqué 16 mai 2010 at 19:59

    @ Jerome: oui, son revers est plus percutant : long de ligne bien profond ou en diagonale fort à plat : c’est le monde à l’envers.
    Ce qui est encore plus surprenant c’est lorsqu’il se décale 4 mètres hors du court pour tourner son revers et envoie un coup droit moyen mi-court.
    Déroutant.

    • Chewbacca 16 mai 2010 at 19:59

      J’ai pas compris là on regarde le même sport.

    • karim 16 mai 2010 at 20:01

      manque de puissance sur ce schéma que tu décris concombre, ça m’a frappé aussi.

      • Lionel 16 mai 2010 at 20:04

        Allez Karim laisse toi aller, je sais que t’as déjà cassé 2 ou 3 tympans…

    • Jérôme 16 mai 2010 at 20:02

      A moitié seulement. Je ne sais pas si c’est dû à son novueau cordage, mais manifestement, les effets de Nadal gènent beaucoup Federer. Il arrive à faire en coup droit des effets que je ne croyais possible qu’en ping-pong.

      Et à mon avis, le Fed teste aussi pas mal de choses. En retour notamment, en coup droit très court croisé aussi.

  11. karim 16 mai 2010 at 20:04

    Nadal n’est pas souverain, comme lors de certains de ses matches précédents, mais personne pour en profiter.

    • Franck-V 16 mai 2010 at 20:08

      Non, c’est clair, ça ne déroule pas comme d’hab, et on ne peut pas dire que Fed y est pour grand chose; quelque soit le vainqueur de ce match, aucun n’est en finale de RG sur ce qu’on voit. Mais ce n’est pas le sujet.

  12. Marque 16 mai 2010 at 20:05

    I feel so upset than i’m gonna lissen some swiss punk
    http://www.youtube.com/watch?v=9EjadVrhwMU
    even till di end
    http://www.youtube.com/watch?v=vn3GYHlEuHA&feature=related
    au moins ca vas pas reveiller les gosses

  13. Thomas 16 mai 2010 at 20:06

    Waouh! L’enchaînement service volée!

    • Jérôme 16 mai 2010 at 20:09

      C’était comme téléphoné. On dirait vraiment que Fed a appelé le passing de nadal.

  14. Valentin 16 mai 2010 at 20:06

    Fedo bcp plus offensif, déjà ça c’est bien.

  15. Henri 16 mai 2010 at 20:06

    Sale journée pour Rafa, il est malmené par Federer et le Barça mène 2 0 et donc le Real ne sera pas champion.

  16. karim 16 mai 2010 at 20:07

    il commence à distiller les amorties. ouais. et le revers est vraiment bon. mais le fait que le revers de Nadal sur la diagonale soit plus puissant que son coup droit me dérange beaucoup. son meilleur coup dominé par le moins bon de l’autre? mauvais.

  17. karim 16 mai 2010 at 20:09

    il le prend en revers croisé comme lors de la finale de RG y’a deux ans.

  18. karim 16 mai 2010 at 20:10

    le coup droit de Fed aujourd’hui est moins rapide que celui de Santoro. ça craint.

  19. Le concombre masqué 16 mai 2010 at 20:10

    Pas mal les amorties du Fed là, ça paye pour l’instant!

    On a longtemps cru les éléphants muets, d’autant plus qu’ils utilisent un langage des signes très développé avec leur trompe. En réalité, on a découvert que les éléphants communiquent par infra-sons.(Très basse fréquence)

    • Ulysse 16 mai 2010 at 21:01

      Il y a bien plus étonnant chez les éléphants. On a longtemps cru que les éléphants ne bougeaient pas pendant l’acte sexuel. Herbivore mais pas énergivore.
      En fait l’activité est bien frénétique mais est limitée aux muscles actionneurs du pénis car les gros pachydermes ont l’organe monté sur ce genre d’équipement, ce qui évite d’avoir à remuer des tonnes. Pas bête hein ?

  20. Jeanne 16 mai 2010 at 20:11

    pas mal les passings du taureau

  21. Thomas 16 mai 2010 at 20:11

    Federer avait vraiment bien débuté ce jeu avec un service/volée, puis un point sur amortie, mais a bien dévissé sur la fin. Dommage.

    Break Nadal.

  22. Jérôme 16 mai 2010 at 20:11

    C’est vraiment le même genre de match mi-chèvre mi-chou que MC et Hambourg 2008.

    C’est long, c’est limite pénible, c’est comptable. Le prono d’un match décevant a d’ailleurs été fait un peu plus tôt.

  23. Lionel 16 mai 2010 at 20:12

    Voilà c’est fini. Nadal a pris les bonnes pilules. Faut pas déconner, le gars carbure pas à l’eau.

    • Quentin 16 mai 2010 at 20:14

      Du calme, ce genre de coms, tant qu’on a pas de preuve on accuse pas un joueur sans preuve.

    • Franck-V 16 mai 2010 at 20:15

      C’est surtout que Fed a pris un somnifère :-)

    • Chewbacca 16 mai 2010 at 20:17

      Moi j’ai la preuve enfin pas moi mais plutôt Gilbert Collard.

  24. Quentin 16 mai 2010 at 20:12

    Fed est une patate en coup droit aujourd’hui!

  25. Le concombre masqué 16 mai 2010 at 20:15

    J’irai pas jusqu’à long et limite pénible. Mais décevant oui.

    Le kangourou comme tous les marsupiaux accouche d’un petit qui sort du vagin et doit alors ramper seul, à l’état d’embryon, vers la poche marsupiale ou la femelle kangourou finira sa gestation. Le petit étant aveugle à la naissance, il se guide par son odorat pour trouver le chemin de la poche: la mère trace en effet un « chemin » de salive entre son vagin et sa poche, afin que le petit parvienne à aller là où il le doit. La femelle n’a qu’une seule mamelle.

    • Jeanne 16 mai 2010 at 20:16

      15 love zootennis ^^

    • Jérôme 16 mai 2010 at 20:17

      vas-y. Refais-la nous en moins cryptique. ;-)

    • joseph 16 mai 2010 at 20:38

      ah ouai… je comprends mieux maintenant le concombre masqué

  26. Oliv 16 mai 2010 at 20:17

    Federer égalise Isner au Nadalothon !

    • Franck-V 16 mai 2010 at 20:19

      Pas encore, il manque 2 jeux, là, il égalise Ferrer et un autre à 7.

  27. Chewbacca 16 mai 2010 at 20:18

    Allez mon Rodg retire toi le doigt du fion est lâche tes coups !

  28. Le concombre masqué 16 mai 2010 at 20:19

    c’est le moment!

  29. Thomas 16 mai 2010 at 20:20

    L’amortie qui fait mal.

    C’est moi où à tout les points que je regarde, Federer joue bien ??

  30. Oliv 16 mai 2010 at 20:20

    la vitesse pour se relever !

    • Franck-V 16 mai 2010 at 20:24

      Plus rapide à se relever qu’à servir :-)

  31. Thomas 16 mai 2010 at 20:21

    Nadal débordé par le revers de Federer! On aura tout vu !

  32. joseph 16 mai 2010 at 20:21

    bon, je vais reprendre mon puzzzle, parce que sinon…

  33. Sylvie 16 mai 2010 at 20:21

    Le problème c’est que Fed n’a pas su profiter des occas quand Nadal était vulnérable. L’Espagnol était loin d’être serein au premier set et il n’en a pas profité.Maintenant avec un set et un break devant son public, c’est mort.

    Ce q’il faut espérer c’est qu’il ait pu prendre des infos pour Roland et au moins défendre une finale.

    Il y a des bonnes choses par moment.

    • Quentin 16 mai 2010 at 20:23

      T’es pessimiste!
      C’est pas fini!
      4-4

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