Tennis-JO : Les amants déchirés

By  | 21 juillet 2012 | Filed under: Histoire

D’aucuns prétendent que le tennis n’a pas sa place aux Jeux Olympiques. Le tennis n’aurait pas besoin des JO car il possède déjà ses propres grandes compétitions médiatiques et les Jeux se porteraient comme un charme sans le tennis, puisqu’ils sont la compétition majeure pour la plupart des sports : que seraient en effet l’athlétisme, le judo ou le kayak sans la grand messe sportive quadriennale ?

Le tennis et les Jeux Olympiques sont en fait deux amants, aux personnalités sans doute un peu trop fortes…

Les amants fougueux

Pour tordre le coup à une idée fort répandue, rentrons directement dans le vif du sujet : n’en déplaise aux détracteurs du couple Jeux - Tennis, ce sport est l’une des plus anciennes disciplines olympiques puisqu’il fut tout simplement l’un des… neuf sports programmés lors des premières Olympiades de l’ère moderne, organisés à Athènes en 1896. Ce seul fait donne déjà une forte légitimité à la compétition tennistique au sein des Jeux. Treize joueurs se sont alors disputé les médailles du simple et du double ; et c’est, comme de bien entendu, un Anglais du nom de John P. Boland qui remporte la première médaille d’or olympique en tennis. A noter qu’il réussit même le doublé, associé à un Allemand (F. Traunet).

Lors des chaotiques Jeux de Paris en 1900 (étalés sur 5 mois ; ignorance de certains athlètes d’avoir participé à des Jeux Olympiques !), deux compétitions tennistiques s’ajoutent au programme : le simple dame et le double mixte. Plus important, contrairement à l’édition précédente, cette fois, tous les « meilleurs mondiaux » sont présents. Et les Anglais raflent une fois encore la mise, les frères Doherty empochant notamment 4 médailles d’or !

Les JO vont alors connaître un cafouillage : l’édition de 1904, à New York, se révèle décevante, car les Européens ne font pas le voyage ; les Américains en profitent pour truster les titres, notamment en tennis où Wright s’impose, en simple comme en double (il n’y a pas de compétition féminine).

Après deux éditions décevantes, le CIO décide d’organiser de nouveaux Jeux à Athènes en 1906 ; c’est le français Max Decugis qui en profite en tennis (simple et double)… mais pas pour très longtemps puisqu’en 1910, le CIO décide d’invalider cette édition des Jeux Olympiques et tous les résultats sont annulés !

1908 voit l’introduction d’une nouveauté, avec l’organisation d’un deuxième tournoi olympique de tennis : à Londres, un tournoi traditionnel est organisé sur gazon tandis qu’un second tournoi a lieu en salle (serait-ce le premier tournoi indoor ?). Au total, 6 tournois sont organisés et les Britanniques remportent notamment les 4 médailles d’or des compétitions de simple.

A Stockholm en 1912, l’idée est conservée ; comme, en plus, il y est réintroduit la compétition de double mixte, de très nombreuses médailles sont décernées en tennis durant ces Jeux Olympiques (8 compétitions). D’une certaine manière, c’est aussi une forme de reconnaissance olympique envers ce sport.

Après guerre, les Jeux de 1920 resteront comme une édition particulière pour le tennis : d’une part, c’est la première fois qu’un tournoi de double dames est organisé ; d’autre part, surtout, c’est la star du tennis mondial, Suzanne Lenglen, qui s’impose. La légitimité du tennis aux JO ne fait alors pas un pli : il a été de toutes les éditions olympiques, il n’a cessé de gagner en importance et les meilleurs joueurs du monde s’y imposent.

Un divorce douloureux

Hélas, Paris 1924 sera une édition historiquement tristement décisive pour le tennis olympique. En effet, alors que l’organisation des Jeux est une réussite, le tournoi de tennis – dominé par les Américains avec le traditionnel doublé simple-double – vire à la farce : les arbitres laissent rentrer des spectateurs dans le stade pendant les échanges pour prendre des photos ! La Fédération internationale de Lawn-tennis réagit fortement en demandant au CIO de traiter le tennis avec plus d’égard à l’avenir.

S’ensuit une terrible guerre de clochers. Les deux organisations ne sont pas d’accord sur les règles d’amateurisme concernant le tennis et le CIO, excédé, ose l’impensable : il demande à la Fédération Internationale de Lawn-tennis de… supprimer le tournoi de Wimbledon en année olympique ! En effet, le plus vieux tournoi du monde se joue une semaine avant le début des Jeux et beaucoup de joueurs ne font pas le voyage. La Fédération Internationale estime que cette proposition est irréalisable et elle décide, tout simplement, de ne plus participer aux Jeux Olympiques. Le CIO tente de récupérer la main en excluant le tennis du giron olympique. Chacun campant sur ses positions, c’est le début d’une longue période sombre pour le couple.

Alors qu’il fut l’un des neuf premiers sports olympiques, alors qu’il participa à toutes les Olympiades entre 1896 et 1924 (y compris les vrais-faux Jeux de 1906), alors que le tournoi olympique gagnait en ampleur à chaque édition, le tennis se retrouve banni : le dialogue ne fonctionne plus dans le couple, chacun se renvoie la balle et la faute et l’amertume devient trop importante. Le divorce est consommé.

Dans une uchronie, on pourrait s’interroger sur ce que serait devenu le tennis s’il avait décidé d’accepter la proposition du CIO. Quelles seraient les valeurs respectives des Grands chelems et des Jeux Olympiques ? Toutefois, le fait même que la Fédération Internationale ait refusé cette proposition accrédite la thèse selon laquelle le tennis n’avait pas besoin de Jeux pour se développer.

Nouvelles fiançailles

Après de très nombreuses années passées loin de l’autre, sans doute à se regarder en chiens de faïence, le tennis et les Jeux Olympiques vont finir par se rapprocher à nouveau. Comme un couple se rendant compte qu’il payait moins d’impôts lorsqu’il était marié, la Fédération Internationale de Tennis et le Comité International Olympique verront un intérêt commun à s’unir à nouveau.

Une tentative confinant au ridicule est entreprise à Mexico en 1968 : les pros n’y sont pas autorisés et, étrangement, pour toutes les catégories de jeu, deux tournois sont organisés, l’un officiel à Guadalajara et l’autre officieux à Mexico ; le Mexicain Osuna en ressort d’ailleurs avec des médailles dans les deux compétitions ! Dans la version officielle, c’est Santana qui remporte l’or en finale devant son compatriote Orantes. Plus que le tournoi toutefois, ce sont bien les anecdotes qui sont savoureuses sur cette première réconciliation. Ainsi, seulement 5 paires de doubles dames sont inscrites (ou comment obtenir une médaille olympique facilement) ; de plus, ces paires ne sont pas nécessairement nationales… Bref, tout cela n’est pas très sérieux (quelques très brèves images ici, dès 7mn40), le mari est encore trop volage et il n’y a pas de remariage en vue.

C’est Philippe Chatrier, le tout-puissant président de la Fédération internationale de tennis qui va relancer, à la fin des années 70, l’idée d’une adhésion de son sport au mouvement olympique. A cette période, sous l’impulsion de Björn Borg, le tennis est devenu un sport majeur. Il jouit ainsi d’un levier de pression intéressant vis-à-vis du CIO.

Les démarches de Chatrier aboutissent en 1981, lorsque le congrès du comité olympique décide de réintégrer le tennis dans le giron olympique, d’abord comme sport de démonstration pour les Jeux de Los Angeles prévus en 1984. Il faut dire que tout le monde y gagne : le CIO voit revenir l’un des sports historiques des JO, un sport qui, de plus, est devenu majeur grâce à une star venue de Suède ; la FIT, quant à elle, y voit la possibilité de développer le sport, de « l’internationaliser », notamment en permettant aux fédérations nationales de toucher des subventions étatiques que seules les disciplines olympiques obtiennent. Les bans sont donc publiés.

Après 64 ans d’absence – 12 éditions – le tennis refait enfin une « vraie » apparition aux Jeux Olympiques, en tant que sport de démonstration (comme si le tennis n’avait pas déjà fait ses preuves…). Quatre tournois sont organisés: simples messieurs et dames ; doubles messieurs et dames. Les pros y sont autorisés mais… seulement s’ils ont moins de vingt ans. A ce petit jeu, ce sont deux futurs n°1 mondiaux qui s’imposent : Stefan Edberg et Steffi Graf, deux futures légendes du jeu. Voilà donc, a posteriori, une bien beau retour du tennis olympique, qui retrouve ainsi quelques lettres de noblesse.

En 1988, à Séoul, le tennis est enfin un sport officiellement olympique. Les meilleurs joueurs répondent présents bien que ni argent ni points ATP ne soient distribués : c’est la preuve que l’idéal olympique possède sa propre aura, y compris pour les joueurs et joueuses professionnels. Steffi Graf en profite pour agrémenter son Grand Chelem d’une médaille d’or (les JO se déroulant dans la foulée de l’US Open) contre Sabatini ; elle réussit ainsi, sans doute, la plus belle année tennistique toutes époques et toutes catégories confondues (la balle de match). Chez les hommes, c’est « le chat » Mecir qui signe la plus belle ligne de son palmarès, hélas vierge de tout Majeur.

C’est sur la terre battue que les meilleurs joueurs du monde en découdront pour l’attribution des médailles en 1992 à Barcelone. Face à l’armada espagnole, c’est l’inénarrable Suisse Marc Rosset qui l’emporte, comme raconté dans cet article (et vidéo ici).

Ces deux premières éditions officielles après la réintroduction du tennis se sont parfaitement déroulées : les meilleurs étaient présents et motivés, les matchs au meilleur des 5 manches ont été souvent haletants et les vainqueurs méritants. Rien ne laisse donc présager les problèmes que rencontrera le couple JO - Tennis.

Il n’y a pas d’amour heureux

Car à Atlanta, en 1996, les six premiers mondiaux décident de ne pas participer aux JO ! Privilégiant leur carrière personnelle, leurs points à défendre ou leur porte-monnaie, ils se refusent à alourdir leur calendrier pour une compétition – pourtant allégée avec désormais des matchs en deux sets gagnants – dont l’intérêt est essentiellement patriotique. Alors que la médaille d’or olympique devrait représenter le summum de la carrière d’un sportif, elle se retrouve snobée par les meilleurs joueurs de la planète : c’est un véritable coup dur pour la crédibilité de cette compétition. Pour « sauver les meubles », tout est fait pour écrire une véritable « success story » dont les Américains raffolent : la rédemption d’Agassi, son retour au 1er plan qu’on veut couronner. A tout prix. Même à celui de toute morale ou équité sportive : en demi-finale, contre Wayne Ferreira, quelques erreurs d’arbitrage émaillent la partie, toujours en faveur de Dédé ; surtout, dans une fin de match au couteau, Ferreira se retrouve monumentalement floué. Dans un jeu interminable, une balle d’Agassi sort de plusieurs centimètres – comme le démontrera la caméra placée dans le prolongement de la ligne, ancêtre du hawk eye – ce que ni le juge de ligne, ni l’arbitre ne semblent avoir vu. Quelques points plus tard, le jeu est en poche. Agassi s’impose 7-5 au 3e set et ne laissera pas passer l’occasion contre Bruguera en finale. Pendant le reste de sa carrière, Agassi brandira cette médaille d’or pour démontrer à quel point son palmarès est complet ; en cela, il a été le meilleur panneau publicitaire pour donner un certain prestige au tennis olympique. Mais c’est un peu la poule et l’œuf : est-ce Agassi qui donnait du prestige aux JO ou l’inverse ? Plus perfidement, on peut même se demander si Agassi n’a pas surexploité cette médaille d’or, gagnée un peu au rabais, pour se mettre lui-même en avant vis-à-vis de son meilleur ennemi Sampras.

L’édition 2000 confirme le manque d’intérêt des meilleurs pour les Jeux. Ceux-ci réclament une dotation de points ATP pour ce tournoi. Après une longue bataille, ils obtiennent gain de cause : 400 points seront attribués au vainqueur (à une époque où une victoire en Grand chelem en rapportait 1000). Pas assez, toutefois, pour que le numéro 1 mondial, Pete Sampras, ne se déplace jusqu’à Sydney. Le tenant du titre Andre Agassi ne tient pas non plus à défendre son titre. Le récent vainqueur de l’US Open et numéro 2 mondial Marat Safin fait, lui, bien le déplacement mais est balayé au premier tour par sa bête noire Santoro. Autre poids lourd du circuit, le Russe Kafelnikov prétend ne pas y prendre part – au point qu’il ne participe pas à la cérémonie d’ouverture – avant de se raviser. Bien lui en prend, puisqu’il remporte l’or olympique, au bout de 5 sets intenses contre Tommy Haas que vous retrouvez ici dans son intégralité. Un jeune Suisse prometteur, lui, échouera de peu dans l’obtention d’une médaille, perdant les deux matchs – contre Haas et Di Pasquale – qui auraient pu lui offrir une breloque ; mais il n’a pas tout perdu pour autant, puisqu’il y aura trouvé l’amour. Ce qui pourrait passer pour une anecdote aura pourtant plus tard son importance dans la place occupée par le tournoi olympique de tennis.

En effet, ce jeune Suisse n’est autre que Roger Federer. Quatre ans plus tard, il est le nouveau maître de la planète tennis. Numéro 1 mondial bien établi, réalisant une saison exceptionnelle, il n’a pas pour autant oublié  les souvenirs de Sydney. A ses yeux, les JO sont à la fois synonyme de bonheur, mais également d’échec. Et ce mauvais souvenir, il veut l’effacer : l’or olympique, en simple ou en double, est clairement son objectif à Athènes et il le clame haut et fort. Comme le très solide numéro 2 mondial d’alors, Andy Roddick, tient le même discours, les JO se retrouvent valorisés auprès des suiveurs du tennis. C’est pourtant un assez mauvais Federer qui évolue à Athènes : gêné par le vent, s’étant mis trop de pression, il tire la tête des mauvais jours, tant au premier tour où il finit par se tirer péniblement des griffes de l’encore inconnu Davydenko en trois sets, qu’au second tour où il est terrassé par un grand Tchèque 79e mondial, 7-5 au 3e. Roger a clairement craqué dans les moments chauds face à un jeune Tomas Berdych décomplexé. Et comme le sosie de Stifler se fait battre par Gonzalez au 3e tour, le tournoi est désormais ouvert. C’est un autre Chilien, Nicolas Massu, qui en profitera, s’imposant sur le plagiste Fish. Cette édition, toutefois, marque une sorte de renouveau, tant les meilleurs en ont fait un objectif. Finalement, elle ressemblera à celle de 1992 : les meilleurs étaient là, motivés, mais ont été battus par des outsiders.

A Pékin en 2008, cet intérêt des meilleurs est ô combien confirmé, puisque ce n’est ni plus ni moins que le tout nouveau numéro 1 mondial qui l’emporte : Rafael Nadal. En finale, il s’impose contre Gonzalez qui complète sa collection de médailles (l’or en double en 2004, l’argent en simple en 2008 et le bronze en simple en 2004). La dernière médaille est arrachée par Djokovic, le numéro 3 mondial. Comme, par ailleurs, le numéro 2 mondial Federer remporte l’or en double aux côtés de son pote Stan, le prestige du tournoi se retrouve très nettement à la hausse : les 3 premiers mondiaux ont glané un métal, ce qui n’était jamais arrivé. Chacun des trois, d’ailleurs, a son couplet à la bouche pour énoncer à quel point les JO sont à leurs yeux importants, même si Nadal – peut-être dans son humilité légendaire – émet un petit bémol, énonçant qu’il plaçait ce tournoi en 6e position, derrière les Grands chelems et le Masters de fin d’année. Mais les larmes de Federer, champion olympique pourtant seulement de double, confirment à quel point l’or olympique est important aux yeux d’un sportif. Ces larmes  seront d’ailleurs, d’après Jacques Rogge, l’image de ces Jeux (hymne national dès la 5e minute). Il semble loin, le temps où les 6 premiers mondiaux ne prenaient pas même la peine de se déplacer…

D’autant plus loin, d’ailleurs, que l’édition londonienne de 2012 promet d’être stratosphérique. D’une certaine manière, la boucle sera bouclée : c’était suite à une guerre contre Wimbledon que le CIO avait décidé d’exclure le tennis des JO ; ce sera en ce lieu mythique même qu’aura lieu le tournoi olympique de 2012.  A n’en pas douter, aucun joueur ne peut sérieusement désirer rater cet événement ! Comme pour montrer un peu plus les liens unissant à nouveau tennis et JO – un remariage est-il proche ? – le CIO a entériné le présence d’un 5ème tournoi, celui de double mixte.

Valeur du tournoi olympique

Le tournoi olympique a testé différents modes de compétition : il a duré une ou deux semaines ; il s’est joué en 2 ou 3 sets gagnants ; il a établi des tableaux allant de 10 à 64 joueurs ; il a aussi attribué des médailles de bronze aux demi-finalistes, puis instauré une petite finale ; il s’est, enfin, joué sur différentes surfaces (dur, terre battue et gazon).

Fluctuant, mouvant, sa place n’était donc pas clairement définie et les joueurs, eux-mêmes, ont souvent eu de la peine à savoir comment considérer ce tournoi : n’offrant aucune garantie financière, il devient fatalement moins intéressant pour les « professionnels » du genre Davydenko, en regard des tournois classiques richement dotés ; dénués de points ATP jusqu’à Athènes, les joueurs à la recherche d’un classement l’ont un peu boudé.

Mais le tournoi olympique commence à se stabiliser. Pour la 3e fois consécutive, il conservera  une forme quasi identique. Désormais doté de 750 points ATP pour le vainqueur, le tournoi olympique devient dès lors intéressant d’un point de vue comptable : tous les quatre ans, il supplante les ATP 500 et devient le 15e tournoi le plus rentable de l’année en termes de points distribués.

Quinzième tournoi ? Est-ce là sa place ? Et si tel était le cas, ne pourrions-nous effectivement pas dire qu’il n’y aurait guère d’intérêt, dans une année déjà surchargée, à rajouter un tournoi qui ne compte, au final, que peu en regard des 8000 points attribués en Grand chelem et des 9000 donnés dans les Masters 1000 ?

Mais les Jeux Olympiques, à l’instar de la Coupe Davis, jouissent d’un prestige, d’un éclat qui dépassent largement le décompte de points ATP. Être médaillé olympique est le rêve de tous les sportifs. Or, ce sont bien les meilleurs tennismen qui donnent de l’intérêt et du prestige aux tournois auxquels ils décident de participer. Et à voir avec quelle envie ceux-ci viennent depuis une décennie aux Olympiades, on ne peut guère douter de l’importance du tournoi olympique : certes pas au niveau d’un Grand chelem, le simple vaut certainement plus qu’un vulgaire Master 1000 de par sa rareté et de par le prestige dû au vainqueur ; on pourrait donc, assez aisément le placer aux côtés du Masters de fin d’année en terme de renom ou de la Coupe Davis pour son caractère national. Quant aux compétitions de doubles et de doubles mixtes, snobées par tous ou presque tout au long de l’année, elles gagnent tout à coup en crédit : une médaille olympique reste une médaille olympique, quelle que soit la discipline où elle est glanée.

Alors bien sûr, le tennis et les Jeux pouvaient vivre leur vie l’un sans l’autre sans trop de dommage. Mais leur vie n’est-elle pas plus agréable avec ces agréables retrouvailles quadriennales ?

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502 Responses to Tennis-JO : Les amants déchirés

  1. Jérôme 26 juillet 2012 at 22:21

    Je ne suis pas vraiment d’accord avec vos appréciations du tableau pour le simple messieurs.

    Toutes choses égales par ailleurs of course, le quart de tableau de Federer n’est pas scandaleusement plus faible que les quarts de Djokovic et Murray.

    Fed commence par Falla qui peut être un client.
    Ensuite, le vainqueur du Benneteau/Youzhny. Or Julien est tout sauf à prendre à la légère, en particulier sur un format en 2 sets (cf. Bercy 2009 où il sort le suisse).
    Bon, effectivement, son 3ème tour contre au choix Ungur, Muller, Istomin ou Verdasco, devrait être de la rigolade.
    Mais en quart, il devra vraisemblablement se colleter Isner.
    En demi, peut-être bien Kohly, c’est vrai que ce n’est pas la perspective la plus effrayante qui soit. Et d’ailleurs, ça me plairait bien que le petit Dimitrov nous fasse enfin quelque chose et vienne enfin croiser le fer avec le Maestro dans un grand événement.

    En réalité, le principal et important avantage dont Federer bénéficie dans son tableau, par rapport à Djoko et Murray, c’est que s’il se hisse en demi-finale, il y rencontrera un joueur issu du quart de tableau le plus faible du tableau, et de loin. Nadal n’aurait pas été forfait, les choses auraient été tout autres.

    Passons maintenant au tableau du point de vue de Murray.

    Hormis son quart très probable contre Berdych qui a un parcours de rose les 3 premiers tours, je trouve que vous noircissez vraiment le « tableau » de l’écossais.
    Wavrinka ? Franchement, sur gazon, c’est quoi les performances de Wavrinka depuis son 1/8ème de finale perdu à Wimby en 2009 contre un Murray qui jouait alors moins bien qu’aujourd’hui sur gazon ? Stan est un joueur potentiellement très dangereux sur terre battue ou sur dur, mais sur gazon, désolé ça ne me paraît pas tenir.
    Qui ensuite ? Au 2ème tour le vainqueur de Nieminen-Dewarman. Nadal serait là, il dirait vraisemblablement « oh la la ! Y’auré oun match trè difficile. Yé né souis pas favori. » :lol:
    3ème tour vraisembleblament contre Gasquet ou Baggy, là oui il faudra être solide.

    Au tour du Djoker enfin.

    Fognini pour commencer. Sur gazon ? Sans déc ? On n’est pas sur la TB de Rome, quand même.
    Au 2ème tour, en revanche, oui, Roddick c’est potentiellement du très lourd. A potential global killer asteroïd, qui peut sur un match en 2 sets percuter la Serbie d’une manière fatale.
    Au 3ème tour, Cilic. Il faudra être solide, mais pas plus : on joue sur gazon.
    Et enfin, le quart de la mort contre Tsonga, voire Raonic, car il n’est pas dit que Jo parvienne avec son retour à maîtriser le service du canadien.

    Et tout cela serait bien vain si on se retrouvait avec une finale du tournoi olympique opposant Isner et Raonic.

  2. Ulysse 27 juillet 2012 at 06:41

    Tss ! Si Antoine était là il nous assènerait les cotes des sites de paris pour montrer que le tableau de Fed est perçu comme favorable. Pour l’évaluation de la difficulté je ne m’intéresse pas aux premiers tours. Je me borne à constater que dans un torunoi auquel Federer tient et poour lequel il s’est préparé sérieusement, il n’y a qu’une poignée de joueurs qui peuvent réellement l’emmerder et ils sont tous en bas de tableau.

    Federer n’a qu’un match incertain: la finale. Encore faudra-t-il la gagner contre le survivant du panier de crabes. Pour les crabes, l’ensemble des 3 derniers tours sera dur. Le pire parcours potentiel est celui de Tsonga.

    • Remy - Karim d'Or RYSC RG 27 juillet 2012 at 07:57

      Oui le tableau du Suisse est très favorable et lui donne toutes les chances de revenir avec une médaille.
      Cependant, il faut faire attention aux premiers tours, surtout que Federer s’était mis tellement de pression lors des éditions précédentes qu’il s’est fait sortir par des adversaires bien moins redoutables.

      • Ulysse 27 juillet 2012 at 08:31

        Aucun match n’est facile, tralala, tout ça, il peut toujours trébucher mais ce serait un grave accident. Il était dans une dynamique de merde après sa défaite contre Nadal en 2008.

      • Clément 27 juillet 2012 at 13:51

        Tout pareil que toi Ulysse, et puisqu’on parle paris, voici les cotes :

        - sur bwin : Fed est à 2,2, Djoko à 2,6 et Murray à 6. Derrière les 3 furieux, le premier est Tsonga à… 19. Viennent ensuite Berdych (23), Ferrer et Del Po (26), Raonic (34) et Isner (41)

        Autrement dit les cotes se sont inversées depuis le tirage au sort, étant donné que Djoko était donné vainqueur jusque-là. Mais pas partout car…

        - sur betclic : Djoko est à 2,5, Fed à 2,75 et Murray à 6. Puis viennent Tsonga (18), Del Po et Ferrer (25), Berdych (30), Raonic (40) et Isner (50 !)

        Bref si on se donne la peine d’utiliser les 2 sites c’est pari gagnant à tous les coups pour la circonstance.
        Isner paraît sous-évalué tout de même, surtout sur betclic. Il paie sans doute son Wimbledon pourri. C’est oublier qu’il a gagné à Newport il y a 2 semaines…

  3. May 27 juillet 2012 at 15:44

    Sans analyse du tableau.

    My gold list

    Pour l’ensemble de leur carrière : Berdych ou Roddick
    Mon choix : Murray
    Bonus : Serena W

    My silver list

    Parce qu’ils le valent bien : Tsonga mais surtout Gasquet
    Mon choix : Khohlschreiber
    Bonus : Agnieska R

    My bronze list:

    Parce qu’ils peuvent le faire : Isner ou Raonic
    Mon choix : Stepanek
    Bonus : Petra K

    Je ne verrais certainement aucun match mais j’aurai une pensée pour eux!
    Bons jeux à tous et que les meilleurs gagnent!

  4. John 27 juillet 2012 at 15:47

    Je crois que j’ai trouvé le FFF ultime: http://espn.go.com/tennis/story/_/id/8160374/is-roger-federer-greatest-athlete-ever

    Ne me remerciez pas: plaisir de donner, joie de recevoir…

    • Djita 27 juillet 2012 at 21:35

      Very impressive! Thanks

  5. MacArthur 27 juillet 2012 at 17:40

    Tirage très très déséquilibré. Pour un évènement qui ne me motivait particulièrement pas, ce n’est pas ce tirage qui va me donner le goût de me mobiliser.

    C’est marrant comment Jerome arrive à relativiser les parties de tableau de Djokovic et Murray en brandissant comme argument « on joue sur gazon » en même qu’il attire l’attention sur le fait que certains adversaires de Federer sont des clients tout en omettant, cette fois-ci de relever qu’ »on est sur gazon ».

    Si on suit ta logique de « on joue sur gazon », c’est quoi les références de Falla et Benneteau sur gazon?

    Fed-Falla: Falla un client? C’est quoi ses références sur gazon? Juste parce qu’il a poussé Fed en 5 sets à Wimb? D’ailleurs, il prend un 6-0 dans le 5ème. Bilan: Fed-Falla: 5-0 dont 3-0 sur gazon. Inutile de parler de « et si…….. ». On s’entend suffisamment ici pour dire que les « et si……. » ne veulent rien dire.

    Fed-Benneteau: Benneteau, « tout sauf à prendre à la légère ». On est d’accord. Mais c’est quoi les références de Benneteau sur gazon pour suivre ta logique? Un 5 sets face à Fed cette année à Wimb? Des victoires face à Russell et Tatsuma Ito et des défaites face Yen-Hsun Lu…? Wawrinka aussi a déjà fait un 5 sets face à Murray à Wimb. Benneteau a enregistré une seule victoire face à Fed sur dur rapie en 2009 en 6 confrontations en carrière? Wawrinka de son côté a gagné 3 fois contre Murray en 9 confrontations dont, entre autres, une fois sur dur rapide en 2010.

    • Jérôme 27 juillet 2012 at 21:00

      Tu te contredis, Mac puisque tu cites toi-même ce qui fonde mon appréciation.

      Ne penses-tu pas que le type capable de pousser Federer aux 5 sets sur gazon ou Nadal aux 5 sets sur terre battue n’est pas potentiellement un joueur dangereux sur cette surface ?

      • MacArthur 27 juillet 2012 at 22:41

        Je constate juste que l’argument « on est quand même sur gazon » n’est valable que pour les adversaires de Murray et Djokovic et qu’il est subtilement occulté pour les adversaires de Federer. En même temps, ce n’est pas très étonnant hein… :-)

      • Humpty-Dumpty, Karim de laiton CC 2012 27 juillet 2012 at 22:58

        Ben, non, il est tout aussi valable pour les adversaires de Federer : c’est quand même sur le même gazon londonien, qu’il y a seulement un mois, Benetteau a mené deux sets à zéro (donc en format deux sets gagnants, ça fait match) contre Fed, non ?
        Alors, oui, le tableau de Djoko avec en théorie Tsonga dès les quarts (par parenthèse, qu’il soit dans les 5-8 alors que Ferrer est dans les 1-4 montre à quel point Wimb a raison d’ajuster son système de TS par rapport au classement ATP !!) est plus relevé que celui du Suisse ; mais dire que les deux premiers tours de celui-ci sont _a priori_ (a posteriori, on verra bien) une promenade, c’est grandement exagéré.

  6. Coach Kevinovitch 27 juillet 2012 at 20:09

    C’est bête qu’au moment où on défendait la présence des JO, le tableau soit autant déséquilibré.

    Le tableau de Roger est une farce. Si j’avais été lui et que j’avais truqué le tableau, le résultat serait presque le même.

    En tenant compte du fait qu’on est sur herbe:

    -TS 3/4: Il a Ferrer et non Murray
    -TS 5-6-7-8: Il a Tipsarevic (directement) et Del Potro en non la doublette dangereuse Tsonga-Berdych
    -TS 9 à 16: Verdasco-Nishikori-Simon-Isner pour lui et non Almagro-Gasquet-Cilic-Monaco: Presque kif kik entre les deux possibilités même si Gasquet et Cilic pris seuls sont surement meilleurs que les quatre « de » Roger sur herbe.

    Quand tu constates que Djoko et Murray ont respectivement Tsonga et Berdych , on ne parle pas la même langue.

    Même Nadal sur terre battue à Roland-Garros a des tableaux plus compliqués!

    Si Roger n’a pas de médaille en simple, ce sera pour deux causes:

    -blessure
    -match de double de la veille qui dure 7 heures

    Je ris quand je lis que vous avez peur de Falla et de Benneteau! Vous vouliez quand même pas qu’on donne à Rog’, Montanes et James Goodall? :mrgreen:

    • MacArthur 27 juillet 2012 at 22:59

      « Je ris quand je lis que vous avez peur de Falla et de Benneteau! Vous vouliez quand même pas qu’on donne à Rog’, Montanes et James Goodall »

      Si on part du principe que Montanes a déjà enregistré une victoire contre Federer (cf Estoril 2008), alors, tout comme Benneteau, il ne faut pas le prendre à la légère :-).

      Tu devrais choisir un autre exemple.

    • Coach Kevinovitch 28 juillet 2012 at 09:58

      Estoril se joue sur TERRE BATTUE. Les JO se déroulent sur herbe cette année ce qui justifie qu’avoir Montanes sur herbe serait un tirage cadeau.

  7. Quentin 28 juillet 2012 at 14:43

    Défaite de Berdych au 1er tour contre Steve Darcis 6-4 6-4
    Sincèrement désolé pour MacArthur qui souhaitait la victoire du tchèque dans ce tounoi.
    Ce match montre bien que sur herbe et au meilleur des 3 sets, les surprises risquent fort de se multiplier au cours de la semaine.
    Je ne m’attends pas à voir les trois premières têtes de série réunies en demi-finale, il y en aura au moins une qui va sauter, et ça peut-être n’importe laquelle.
    Ca montre aussi que les réflexions sur le tableau dans ces conditions (herbe, 2 sets gagnants) sont très théoriques.

  8. Clément 28 juillet 2012 at 15:25

    Je regarde un peu là : http://lsh.lshunter.tv/streams/1/lsh1.html.

    Le gazon a l’air de se désagréger à toute vitesse…
    Défaite de Berdych d’entrée et Kohly qui finalement ne participe pas car en finale à Kitzbühel ; eh bien ! Ça commence fort.

  9. MarieJo 28 juillet 2012 at 16:39

    http://2012.itftennis.com/olympics/home.aspx
    pour info le lien du site web des JO se trouve aussi ds la blogoliste

  10. Julie 28 juillet 2012 at 16:51

    Ca va bien vous autres?

    Alors je laisse federer à 3-3 le temps d’aller donner des clés, je reviens 5 minutes apres et set? Que s’est il passé? Le colombien s est desagregé?

    Je suis en italien, je vais peut etre finir apr apprendre cette langue…

    • John 28 juillet 2012 at 17:16

      Julie ! Ca faisait longtemps !

      Ben écoute, 6-4, 5-4, service à suivre. Mais bon début de jeu du Colombien…

    • Julie 28 juillet 2012 at 17:19

      mais c est quoi cette tambouille? Il a trois match points et dans la foulée on se fait débreaker? Mirka reviens!

    • Julie 28 juillet 2012 at 17:21

      oui ça fait longtemps je suis sous l’eau des exams et tout mais j ai quand meme fait 2 heures de marche sous le cagnard pour aller voir, toute seule, la demie et la finale de wimby… ahhhh (d ailleurs le lundi j etais à paris et par hasard pas rasé je suis apssé devant le collins, c est balot)

      Joli! Le coup droit! Mais de tte facon dps wimby (ou meme avant) c est festival

  11. MarieJo 28 juillet 2012 at 17:01

    oh vinokourov qui tape une médaille d’or, les larme du mec !
    il prend sa retraite cette année non ?

    et bennet qualifié ! allez les bleus !

  12. John 28 juillet 2012 at 17:20

    Eh ben, c’est qu’il se débrouille bien, Falla. Debreak et 5-5 au deuxième set…

  13. John 28 juillet 2012 at 17:23

    Mener deux fois 0-40 et se faire remonter: si Fed perd le set après ça, je parierais bien sur le jet de raquette…

    • Jérôme 28 juillet 2012 at 17:25

      C’est la pression : il n’a pas gagné un match aux JO depuis 4 ans. :lol:

  14. Julie 28 juillet 2012 at 17:25

    « Impression de déjà-vouuuu »

    0-40 une 2eme fois de suite et il n’arrive pas à breaker? Je suis désolée, j’ai failli, et je ne suis pas allée « fatiguer » Falla la nuit dernière…

    (Roger n’est drogué qu’à moi!)

  15. Jérôme 28 juillet 2012 at 17:30

    Faut quand même le faire : 5/3 et 0/40. 3 balles de match sur service adverse. Puis 3 autres balles de break.

    Et 4 jeux perdus d’affilée rien que sur des fautes directes.

    • John 28 juillet 2012 at 17:34

      A ce stade d’absurdité, on touche presque la performance artistique: Roger, la biennale de Venise t’attend de pied ferme !

  16. NTifi 28 juillet 2012 at 17:32

    Comme quoi les JO sont pas aussi facile. Quelle pression il a Federer…

  17. Julie 28 juillet 2012 at 17:37

    plus dilettante sur ce point tu meurs, et il met quand meme une volée magnifique, après avoir pris un coup de fond de court un peu chelou sur le point d’avant mais magnifique

    je suis 1/3 figue 2/3 raisin

  18. Julie 28 juillet 2012 at 17:38

    ah j aime bien quand ca frappe, sec, comme sec, du genre, maintenant c est fini les conneries (enfin on espere)

    Beau point de falla by the way just now

  19. John 28 juillet 2012 at 17:45

    Bon, ça commence à ne plus sentir bon du tout pour le Rodge: et une élimination au premier tour des JO, ça ferait tout de même franchement tâche…

  20. John 28 juillet 2012 at 17:52

    3-3, dernier set, et un Fed extrêmement fébrile. Falla, lui, joue parfaitement le coup tactiquement: il donne peu d’angles à Federer, pilonne son revers en mid-tempo – ni trop lent, ni en rythme – et l’oblige à jouer le coup de trop. Une petite leçon tactique en somme.

  21. John 28 juillet 2012 at 17:56

    Coach, je crois que certains avaient finalement bien fait de pointer les risques de ce premier tour. /:

    • NTifi 28 juillet 2012 at 18:07

      Non c’est Federer qui s’est sabordé tout seul, il avait le match en main en ayant 3 balles de matchs sur 3 deuxième balles adverses et après il a servi pour le match.

      Il a eu la pression c’est tout.

  22. Julie 28 juillet 2012 at 17:56

    je suis désolée je ne poste pas (et pourtant je tremble et je crie) mais qu’est ce que je me poile à lire votre dernier article

    « J’ai oublié de préciser qu’objectivement 1 Coupe Davis cela vaut deux Masters et 1 JO cela vaut 4 Masters. »

    cqfd.

    Heureusement que colin precise que le double des JO vaut 3.14 coupe davis (à savoir le nombre pi…) sinon on ferait une grave erreur historique…

  23. Julie 28 juillet 2012 at 18:00

    pfiou…

    un break, conservé, ca faisait longtemps.

    Vous avez vu! Pierre Paganani dans le boxe! On ne le voit jamais. On dirait Voldemort vous ne trouvez pas!!! C’est ca le secret de federer, the dark side of the moon is with him

  24. Julie 28 juillet 2012 at 18:02

    Défebse de malade à 0-15!!

    Et encore trois match points!!!

    Allez doudouuuu

  25. John 28 juillet 2012 at 18:30

    Ce qui est choiuette avec les JO, c’est qu’on a droit au double en prime. Et là, un match coquignolet comme tout entre la Grande-Bretagne et l’Autriche.

  26. Patricia 28 juillet 2012 at 18:43

    Je découvre le fameux tableau ! Avec les sorties du 1er tour, ça pourrait donner Fed/Isner, Dimitrov/Tomic, Almagro/Murray et Djoko/Tsonga.
    Mur

    • Patricia 28 juillet 2012 at 18:46

      Murray va devoir travailler pour démantibuler Almagro avec Stan et Richard ou Baghda avant…Djoko itou, avec Roddick et Cilic en principe.
      En tous cas, que ce soit ici ou à wim, Murray n’avait pas le tableau le plus simple !

  27. Colin 29 juillet 2012 at 01:02

    C’est bien les J.O.; ça nous a permis de retrouver Julie dans un Fed-match-calling all by herself.

    Finale de Kitzbühel aujourd’hui, Haase bat Kohly en 3 sets sur terre battue puis prend dans la foulée un avion pour Londres où il doit jouer son premier tour demain contre Gasquet…
    Quant à Kohly il a préféré renoncer. Pas très motivés par ces J.O. les allemands?

  28. Quentin 29 juillet 2012 at 10:38

    Réflexions de Federer sur la différence entre Wimbledon et ces JO:

    « Ce n’est pas le Wimbledon que je connais, observe-t-il. Le gazon est d’une couleur différente, un rien fluo. Le public est surexcité. Et puis, je suis entré sur le court en musique, ce qui est impensable dans les coutumes du Club. »

    http://www.lematin.ch/sports/tennis/federer-convoque-garde-rapprochee-jeux/story/24244299

  29. Patricia 29 juillet 2012 at 10:55

    J’ai trouvé un super lien pour suivre les JO : http://www.francetv.fr/sport/les-jeux-olympiques-2012/direct

    En ce moment c’est le tir à l’arc féminin qui a lieu au Queen’s !(allez les japonaises !)

  30. Patricia 29 juillet 2012 at 16:17

    Je mate Murray/Wawrinka sur le Central. fed a raison, le gazon est fluo. Sinon, c’est très accroché et ça fait plaisir de voir un autre tournoi avec des top joueurs sur herbe et du monde après Wim !
    Ca manque vraiment un M1000 sur la surface…

    Murray est parti pour en baver !

  31. Jérôme 29 juillet 2012 at 16:54

    En baver ? Face à Wawa sur gazon ? Stan a un mental en carton pâte. Il faudrait vraiment que Murray dévisse pour qu’il soit menacé par le petit suisse.

    • Jérôme 29 juillet 2012 at 16:56

      Et j’ai oublié d’ajouter que si le revers à 1 main de Wavrinka est splendide, son coup droit est vraiment faiblard, en plus d’être bien sûr moins régulier que celui du scot.

  32. Jérôme 29 juillet 2012 at 17:27

    6/3-6/3 Murray, et sans avoir eu besoin de forcer tant Wawrinka a été nul. Sur ce que j’ai vu (de la fin du 1er set à celle du match), Stan n’a pas été capable de faire 2 coups droits d’affilée, sauf à les mettre mi-court et plein centre. Sur sa 2ème frappe de coup droit, c’était soit filet soit dehors.

    Wawrinka à ce niveau et Berdych dehors, le tableau de Murray n’est pas plus relevé que celui de Federer. La réalité c’est que seul Djoko a un tableau de la mort.

  33. Patricia 29 juillet 2012 at 19:48

    Moi j’ai juste vu jusqu’à 3-3 et ça jouait encore !
    Tsonga vient de perdre le premier set au TB contre Bellucci qui bourrine terrible !

    Un détail quand même : Murray a Djoko ou Jo en 1/2, Fedou a Ferrer….

    • Patricia 29 juillet 2012 at 19:52

      …et oserais-je ajouter Richie ou Baghy, un chouia plus costaud sur herbe a priori que Muller/Istomin ?

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