Sergio Casal : il était une fois Bercy

By  | 29 octobre 2013 | Filed under: Rencontres

Les stars, le public et les invités surprise. Dès la première année, tous les ingrédients qui vont faire le sel du tournoi de Bercy sont déjà présents. Qualifs à Meudon, suspension record de McEnroe et Becker de gala, l’Espagnol Sergio Casal a été le témoin privilégié des coups de raquettes et coups d’éclat du Bercy inaugural. Souvenirs hauts en couleurs d’un finaliste discret.

L’aventure Bercy débute à… Meudon. C’est là, précisément au Forest Hill de Meudon-la-Forêt, qu’à la fin octobre 1986 Sergio Casal vient disputer les qualifications du premier Open de Paris, dont le tableau principal se joue dans le récent complexe du Palais omnisports de Bercy. A 25 ans, le Catalan est alors peu connu, lui qui par la suite gagnera deux Grands chelems en double, avant d’atteindre la notoriété via l’académie créée en compagnie de son compère Emilio Sanchez à Barcelone, où Svetlana Kuznetsova, Andy Murray et Ana Ivanovic furent ses élèves. « Ce Bercy a été le meilleur tournoi de ma carrière, estime l’intéressé, rare représentant de la caste des serveurs-volleyeurs venu de l’autre côté des Pyrénées. J’en garde de bons et nets souvenirs. A l’époque, j’étais 100e mondial et des poussières. Bercy était un gros tournoi pour un joueur de mon niveau, qui oscillait entre circuit principal et Challengers, et j’étais déjà content d’intégrer les qualifs. »

Son long périple vers la finale – seul Radek Stepanek a reproduit depuis pareil cheminement tortueux, en 2004 – débute donc sur les courts couverts à Meudon. Trois rencontres à gagner pour intégrer le tableau final, et déjà des images colorées imprimées dans sa rétine : « Un match en particulier m’a marqué, contre Mansour Bahrami. Il n’y avait pourtant pas beaucoup de spectateurs, une poignée peut-être… mais c’était bien assez pour que Mansour me sorte la totale des coups inattendus qui ont fait sa réputation. Ce qu’il fait aujourd’hui en exhibition sur le Senior Tour, il le faisait alors en match. Il cherchait autant à faire rire les gens qu’à gagner. Trois spectateurs lui suffisaient et c’était parti. Ce pouvait être déstabilisant quand on ne le connaissait pas. »

Ce drôle d’obstacle passé, Casal découvre deux jours plus tard l’enceinte du POPB, où l’aventure se poursuit face à un Français, Tarik Benhabilès. « Un tournoi, c’est aussi une part de chance, reprend t-il. Dans l’année, il y avait toujours une ou deux semaines où toutes les pièces du puzzle – le tableau, le niveau de jeu et le mental – s’imbriquaient. A Bercy, c’était mon tour. D’abord parce que je tire un autre qualifié, Matt Anger, au premier tour. Une entrée en matière accessible. Ensuite parce que Benhabilès ouvre ma partie de tableau en sortant une « perf » contre Miloslav Mecir, que je devais affronter au deuxième tour. C’était ma chance : Mecir me battait à chaque fois facilement. » Casal ne laisse pas passer l’occasion face à l’ancien vainqueur de Roland-Garros junior : Benhabilès, wild-card à Bercy, est écarté en trois sets devant des tribunes clairsemées, déjà repues ce soir-là par les victoires précédentes de Forget et Leconte. « Vous le savez sans doute mieux que moi, Bercy est comme un chaudron, compare l’Espagnol. Les gradins peuvent être très chaud, monter très vite en ébullition. Ils sont très différents des tribunes de Roland-Garros. A Bercy, le public est expressif, bruyant, met beaucoup de pression quand tu joues un des siens. Il t’agrippe dès la sortie du tunnel en hurlant ses « Allez, allez ». C’est presque de la Coupe Davis. A mon époque on voyait même des gens fumer dans les gradins ! Heureusement pour moi, nous étions deux joueurs peu connus et après les matchs des meilleurs Français, ça n’avait jamais dépassé les bornes. »

La tempête, c’est pour les quarts de finale, où Casal affronte un John McEnroe toujours pas qualifié pour la grand-messe du Madison Square Garden. Si l’Américain est retombé au 10e rang mondial, « il avait toujours une aura particulière se remémore l’Ibère. Et à titre personnel c’était mon idole. Je n’avais jamais joué contre lui ; en soi, c’était déjà une récompense. »

« McEnroe me dit : ‘Tu ne gagneras pas ce match’ »

Mais peut-on être préparé à affronter McEnroe quand on n’a encore jamais croisé sa route ? L’Espagnol se fait intarissable, s’animant au fur et à mesure qu’il revit cette partie pas comme les autres : « Cela a été un match compliqué, avec beaucoup de contestations du côté de John. Au début pourtant, je jouais vraiment bien, et c’était presque facile… Je ne ressentais pas de différence de niveau. J’étais dans ma dynamique, je ne perdais pas mon service, j’avais l’impression de voler sur le court. Je jouais d’égal à égal avec lui. Sans même m’en rendre compte, me voilà menant 6/3, break dans le deuxième, 3-2. C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que j’étais en train de battre McEnroe. Logiquement, j’ai fait ce qu’il ne fallait surtout pas faire : j’ai commencé à cogiter. John s’en est aussitôt aperçu et s’est mis à me héler, à me chambrer entre les points. Il savait très bien jouer de son aura pour intimider. Évidemment, il  a débreaké dans la foulée et m’a lancé bien distinctement en me cherchant du regard : « ‘Tu as laissé passer ta chance. Tu ne gagneras pas ce match !‘ »

Pourtant Casal s’accroche à son service, et les deux hommes se retrouvent au tiebreak dans le deuxième set : « Là, c’est devenu le grand bordel ! J’obtiens une balle de match à 6-5. Il sert, je retourne dans le filet. 6-6. Quelques instants plus tard, il prend un de mes points de service et a une balle de set dans sa raquette, à 8-7. Il frappe un ace… et dans l’élan de son service-volée fonce s’asseoir sur sa chaise, sans attendre confirmation du score ! Hors l’arbitre annonce « deuxième service ». McEnroe explose : « Mais non, le set est pour moi ! Elle était bonne ! Je l’ai gagné ! » Tout le public commence à crier. Moi, nerveux dans mon coin, je ne savais pas comment réagir. L’arbitre met un avertissement à McEnroe, qui revient finalement jouer son deuxième service… et fait une double faute ! A 9/8 pour moi, deuxième balle de match : c’est la bonne, je finis sur un passing gagnant. »

Jeu, set et match, tout le monde au vestiaire ? Pas tout à fait : « Avec moi pas de souci, John me serre la main franchement. Mais derrière il va vers l’arbitre et lui déverse sa rage, lui crie qu’il est le pire arbitre qu’il ait vu, qu’il n’arbitrera plus jamais aucun de ses matchs. Suite à ça je crois que John a écopé d’une lourde amende et d’une suspension. » Car l’irascible Américain a épuisé son quota d’amendes de l’année : suspendu 42 jours, c’est la fin de saison pour McEnroe.

Casal, lui, continue sa route à Paris, battant en demies « Tim Mayotte, un joueur très tranquille, sobre. Comme un contrecoup du match précédent, je n’ai pas beaucoup de souvenirs de celui-là, si ce n’est que, petit à petit, au fil de ce que je réussissais face à de grands joueurs, je me mettais à croire au titre… » Jusqu’à ce que se rêve se heurte de plein fouet au mur Becker en finaleL’Allemand est alors sur la voie royale d’un troisième titre indoor en trois semaines… sur un troisième continent différent ! « Sur une moquette comme le « Supreme », extrêmement rapide et au rebond bas, Becker était invincible. Contrairement aux matchs contre McEnroe ou Mayotte, je n’ai jamais eu la sensation de pouvoir gagner, juste de retarder l’échéance. C’était impossible de lui prendre son service. Dès qu’il armait le bras, c’était ace ou service gagnant assuré à la retombée du geste. Une artillerie lourde. Becker en salle, c’était quelque chose. Je me sentais impuissant… sans même livrer un mauvais match. J’ai tenu jusqu’au tiebreak dans le premier set, et après je perds les deux suivants 6/3 6/4. » En trois sets, « Boum-Boum » met fin à l’aventure entamée huit jours plus tôt à Meudon.

Épilogue : l’histoire entre Sergio Casal et Boris Becker n’est pourtant pas tout à fait terminée. Elle prendra même un tour inattendu quelques mois plus tard, dans un autre chaudron, celui de Barcelone, en Coupe Davis, quand l’Espagnol marquera le cinquième point, victorieux, de son équipe aux dépens d’un Becker au four du simple et au moulin du double ce week-end-là. Deux ans plus tôt, en 1985, l’attaquant catalan avait déjà battu le roi de Wimbledon en indoor, lors d’un dead rubber. Anecdotique ? Sauf que Sergio Casal détient du coup la « stat » flatteuse d’avoir infligé à Becker, monstre d’excellence en Coupe Davis, deux de ses trois seules défaites en quarante-et-un simples disputés ! « McEnroe à Bercy et Becker en Coupe Davis à Barcelone, ce sont mes plus belles victoires, confirme t-il. Le match contre Boris, tout le monde l’a vu à l’époque. On m’en parle encore aujourd’hui : « Ah oui c’est toi le premier qui a battu Becker en Coupe Davis ! » La victoire sur McEnroe, c’est plus réservé aux aficionados. Mais pour moi… » Un silence, avant de conclure : « Il y a parfois des choses curieuses dans le tennis, comme avec Boris dont j’ai longtemps été l’unique tombeur en Coupe Davis, ou comme ce quart de Bercy contre McEnroe. C’est le pic de ma carrière, gagner contre une légende. Je le joue une seule fois, et je le bats. Le dernier point du match, la sensation immédiate, je n’oublierai jamais. » 

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252 Responses to Sergio Casal : il était une fois Bercy

  1. William 30 octobre 2013 at 00:53

    Ma première à Bercy. Voilà ce que j’en ai retenu.

    « AllEEEEEEEEEEEZ !!!!!!!!!!! AllEEEEEEEEEEZ !!!!!!!!!! » C’est aussi pénible à entendre qu’à lire. Le public de Bercy est réputé pour être le summum du chauvinisme « à la française ». Je dois dire que, sur place, c’est difficile à nier… Les « ola » ridicules quand Tsonga roule sur son adversaire, les explosions d’applaudissements sur les fautes de Nishikori, tout y est passé. Le Japonais a su garder la tête froide dans les moments chauds. Il ne s’est jamais agacé, ne s’est jamais frustré ; votre serviteur a pourtant repéré quelques gestes très furtifs quand tout n’allait pas pour le mieux côté nippon, c’est-à-dire pendant un peu plus d’un set. J’allais oublier le « djembé-man ». Je l’ai vite identifié, ce djembé-man. Tout simplement insupportable ! Il contribue beaucoup à cette ambiance étrange, une ambiance qu’on sent capable de basculer de la franche camaraderie au vacarme et à la dégueulasserie. Etrange, donc.

    Franche camaraderie, j’exagère peut-être un peu, mais pas tant que ça. J’ai vite échangé quelques mots avec mon voisin qui, Dieu merci, n’avait pas sombré dans la folie ambiante quand Tsonga a enlevé le premier set. Un premier set qui m’avait un peu douché, je dois bien vous le confier. En effet, j’attendais un beau match et ce que j’avais sous les yeux depuis moins d’une demi-heure n’y ressemblait vraiment pas : un Tsonga qui ne perd pas le moindre point sur sa première, un Nishikori qui joue très court et qui n’arrive pas à placer d’accélérations. J’étais déçu. Mais le Japonais se réveille ! Banzaï ! Un couple japonais (appareils photos, sac de course des galeries Lafayette, je vous épargne les clichés) assis à côté de moi y prend goût et lance même au vaillant Kei une phrase – d’encouragement je suppose – dans la langue de Mishima. Mais le debreak arrive et tout est à refaire. Nishikori joue enfin comme j’espérais et les joueurs sont à niveau égal. A Tsonga les passages en force, à Nishikori les contres et les angles. Le revers quasiment inoffensif de Tsonga m’a étonné car c’est un coup sur lequel le Français avait beaucoup progressé cette année. J’ai aimé la façon très personnelle dont Nishikori joue au tennis : une banderille, on se replace, une banderille un poil plus meurtrière, petits pas, Ping!, une accélération long de ligne qui fait mal mais qui ne fait pas de bruit. Le tennis-acupuncture ! Il y a aussi eu quelques belles passes d’armes au filet, en très large majorité remportées par Tsonga.

    Fin de troisième set, les jeux montent souvent à égalité sur le service de Jo, mais il retarde l’échéance à grands renforts de premières qui claquent : tie break. Tsonga ouvre par une double. Deux fautes de Nishikori et des feux d’artifice de « allez Jo ! » plus tard, il mène au score. Je vois qu’il a arrêté les fautes grossières et les retours sans conviction, je le vois donc remporter le match. Mais Nishikori s’accroche, s’accroche. Il doit défendre une balle de match sur son service. La première ne passe pas…et ace sur deuxième balle, au T ! Il me semble que Tsonga s’était décalé par anticipation, ce qui expliquerait l’ace sur deuxième, mais je ne suis pas bien sûr… Toujours est-il que le Japonais enchaîne par un nouvel ace ! C’est son deuxième du tie break et son quatrième du match : du sang-froid, il en a ! Au tour de Tsonga de sauver une balle de match. La première ne passe pas, il a tenté l’ace, le bougre ! Le public l’encourage et…double. Le couple japonais se dresse, ivre de bonheur, Bercy soupire… Nishikori reçoit tout de même de beaux applaudissements, c’est déjà ça.

    « T’envoies du rêve, Herbert ! » Oui, un spectateur du POPB a osé la sortir. D’ailleurs, POPB, JWT, JMDP, PHM… Comment va-t-on l’appeler ce Pierre-Hugues Herbert ? PHH ? Non parce que je pense qu’on sera amené à le revoir. Il a joué son jeu sans complexes, n’a pas hésité à monter au filet et à prendre sa chance. Bon, ok, le Djoker était à 50% en face mais tout de même, les aces, ils ne sont pas tombés par hasard ! Des premières à 215km/h, Herbert sait faire. Des longs revers slicés, il sait faire aussi. Il est en revanche encore trop mou dans le jeu de fond de court. Mon voisin et moi étions assez bluffés puisque non content de tenir tête au numéro 2 mondial, le Français s’est même procuré deux balles de set sur service adverse ! Le tout après un beau point conclu d’un smash ! Malheureusement pour lui, Djokovic a servi le plomb (une deuxième à 182km/h, quand même !). Débuter le tie break par un ace n’a pas suffit et c’est du côté serbe qu’est tombée la première manche. C’est à ce moment-là que je suis parti, les trois sets de Gasquet et de Tsonga ayant considérablement allongé les sessions de jeu. Je n’ai pas été surpris en voyant sur mon téléphone que le Djoker menait déjà 3-0 d’entrée de deuxième set.

    Assez content dans l’ensemble, moins de trente euros pour un billet acheté une heure avant le début des hostilités, deux matchs (enfin, un match et demi) corrects, c’est honnête. Je n’ai eu qu’un aperçu de l’ambiance mais je pense que ça peut être franchement honteux, c’est le bémol…

    • Kaelin 30 octobre 2013 at 13:13

      Merci pour le compte-rendu William ! Le tennis-acupuncture de Nishi je suis tout à fait d’accord, belle expression. Herbert j’ai envie de le voir juste pour son service maintenant ^^. Sinon je crois que son surnom est P2H et non PHH :D. A moins que ce soit « l’herbe » si l’on suit la mode La Gasque, la Monf’ etc ^^.

      J’étais à la finale de Bercy en 2008 pour le Tsonga – Nalbandian et c’est vrai que l’ambiance est particulière, je plaignais Nalby parfois, j’ai beaucoup plus apprécié RG à ce niveau.

      Jsuis pas vraiment mécontent que Nishikori soit passé..

  2. Remy 30 octobre 2013 at 09:31

    Ah le taulier est de retour, c’est très bon ça :)
    Bercy c’est le grand tournoi pour les parisiens et le petit M1000 pour la planète terre. Tous les ans le directeur du tournoi sort sa langue de bois pour nous convaincre que cette année il y aura de l’enjeu et que les plus grands sont motivés.

    Bullshit !!!!!

    Un mot aussi sur Benoit Paire le tocard.
    J’avais raté son « je suis top 30 et pas vous ».
    Quel petit con!

  3. Robin 30 octobre 2013 at 09:57

    Excellent cet article Guillaume, merci. Je regrette comme certains d’être trop jeune pour avoir vu jouer Edberg et surtout Becker, ce devait être quelque chose.

    Merci aussi à William pour nous faire partager un peu de l’ambiance du tournoi. Je ne suis pas allé souvent voir des tournois « en vrai » (une seule fois pour tout dire) et c’est toujours intéressant de faire la comparaison entre ce que l’on voit devant son écran et ce que l’on ressent là-bas. J’ai un ami sur Paris qui va généralement voir quelques matchs chaque année, je lui demanderai ses impressions.

    Hier j’ai pu voir une bonne partie du Djoko-Herbert qui était de globalement bonne facture. Un petit jeune pas du tout impressionné, qui s’est même permis de débreaker Djoko lorsqu’il servait pour le match une première fois. Porté vers l’avant et plutôt adroit au filet, ce qui ne gâche rien. Bon par contre en fond de court la différence était assez flagrante, ses coups ne font pas « mal », surtout face à un monstre de déplacement et de contre comme le Serbe. Un joueur en surveiller en tout cas.

    Aujourd’hui entrée en lice de Nadal (face à Graolla), Ferrer (face à Rosol), Wawrinka (face à Lopez) et Federer (face à Anderson), on va pouvoir jauger des niveaux et des motivations respectives. Et sinon Alizé Cornet joue son deuxième match au Tournament of Champions, contre Halep, mais je ne pense pas que cela soulèvera l’enthousiasme ici ^^.

    • MONTAGNE 30 octobre 2013 at 11:11

      Tu regrettes d’être trop jeune surtout pour n’avoir ps vu jouer Edberg ou Mecir, l’un le cristal (Ah !!! la volée de revers) et l’autre le meilleur géomètre que le tennis ait connu.
      BB ce n’était pas le cristal mais la force de frappe, c’est pour cela que les rencontres Edberg / Becker étaient passionnantes à suivre comme les Borg / Mc Enroe par l’opposition des styles et l’équilbre des forces.

      A part ça, au tournoi challenger de Genève, Grégoire Burquier, l’idole tennistique de la Haute-Savoie, issu des qualifications, s’est fait sortir au premier tour par le slovaque Klizan.

      La tête de série N° 1 prévue, Kukushkin a déclaré forfait à la dernière minute, le joueur le mieux classé du tableau est le russe Donskoy qui a perd au premier tour contre le français Recouderc, lucky loser.

  4. Kaelin 30 octobre 2013 at 10:49

    Merci Guillaume, j’ai trouvé cet article très agréable à lire aussi ! Je ne connaissais pas cette énorme perf. Il faut dire que moi aussi je suis trop jeune pour avoir suivi le tennis à cette époque.

    Sinon attention à Ferrer pour Rosol, pas si sûr qu’il s’en sorte. Lopez contre Wawrinka est évidemment un autre match piège pour le suisse, quand à Roger contre Anderson pas gagné non plus … 3 énormes serveurs pour les gros poissons.
    Bon Granolla vs Nadal j’ai moins peur pour le mallorquin je dois dire

    • Remy 30 octobre 2013 at 11:03

      Attention à David, il ne mène que 5-0 !

      • Kaelin 30 octobre 2013 at 11:47

        Hehe tu parles un peu vite mon vieux Rémy car c’est loin d’être encore gagné pour David qui fait la pire saison de sa vie depuis qu’il doit avoir 8 ans 6-0 2-6 1-1

        • Remy 30 octobre 2013 at 11:54

          Ferrer a vraiment du mal.
          Mais Rosol craque dans le 3ème => 4-1

          Puis, je ne suis pas vieux !

      • Remy 30 octobre 2013 at 11:59

        6-0, 2-6, 6-1.

        C’est beau !

        • Remy 30 octobre 2013 at 12:02

          merde debreak.
          N’importe quoi ce match

          • Kaelin 30 octobre 2013 at 12:05

            haha je te croyais sur parole vu que le livescore d’eurosport sur lequel je suis est à peu près aussi fiable que celui de lequipe c’est à dire tout sauf fiable mais il me semblait bien avoir aperçu 5-2 dans le 3ème ! allez Lukas!

        • Kaelin 30 octobre 2013 at 12:03

          ***** mon RYSK! Bon on avait tous les 2 un peu raison on va dire ? :D. Ceci étant dit je ne suis que sur le livescore, tu as vu le match ? Un Rosol en feu sur le 2ème ou un Ferrer très moyen ?

          • Remy 30 octobre 2013 at 12:09

            6-3 Ferrer.
            Il s’en sort mais il a besoin de vacances David.

          • May 30 octobre 2013 at 13:09

            Il y a eu beaucoup de fautes des 2 côtés et ils n’ont jamais bien joué en même temps. Rosol a breaké le 1er au 3ème set puis s’est effondré. Ensuite Ferrer à déroulé en allongeant ses coups jusqu’au débreak mais c’était déjà trop tard pour Rosol.
            Pour résumer : un match très décousu à oublier. Ferrer risque de prendre cher la semaine prochaine et Rosol ne sert à rien.

            • Kaelin 30 octobre 2013 at 14:19

              Un peu de respect Rosol a au moins servi une fois dans sa vie ! Juste une fois. Mais quelle fois oh oui.

            • Remy 30 octobre 2013 at 14:51

              la dernière que j’ai dit qu’un joueur ne servait à rien, je me suis attiré les foudres de Mac.

              Te voila prévenue :D

  5. Remy 30 octobre 2013 at 11:37

    Paris-Bercy à la pointe qui glisse discrètement en matinée des matches de WTA …

  6. MarieJo 30 octobre 2013 at 11:48

    A bercy pour la journée :D qqu’un y est aujourd’hui ?

    • Remy 30 octobre 2013 at 11:55

      oh ça va hein.
      Je suis jaloux :(

    • Patricia 30 octobre 2013 at 12:51

      Demain !
      (C’est ma première tennis-party-ie, c’est ma première tennis-party !)

      Pour un début, nous faisons dans le luxe !
      Déjà, sûr, Richard, Nadal (eh oui je ne pense pas que Marcel passera), Janowicz le Tatar, Djoko ; puis, selon les fortunes, Fognini ou Dimitrov, Kohli ou Haas, Federer ou Federer (parce que mon cher Anderson tu vas me faire plaisir de dégager), Waw ou Lopez, Cilic ou Del Po (je voudrais voir delMamour!!), Mahut, Almagro…

      Autant vous dire que Verdasco a bien fait de perdre, une émasculation c’est définitif.

  7. La courgette masquée 30 octobre 2013 at 12:02

    Merci Guillaume pour cet article très réussi, qui m’a permis de découvrir l’histoire de ce Sergio Casal que je ne connaissais pas du tout (il faut dire qu’en 1986, je n’étais même pas un pépin de courgette !).

    Merci aussi à William pour son Bercy-live et son tennis-acupuncture de Nishikori qui le caractérise parfaitement. Pour ce qui est de l’ambiance de Bercy, c’est vraiment insupportable dès qu’il y a un Français sur le court. Le « djembé-man »,depuis quelques années que je vais à Bercy, il est TOUJOURS là ! Que ce soit en journée, ou en soirée, dès qu’il y a un Français, ça djembe « Polopopo POUM POUM, polopopo POUM POUM ». La seule fois où j’ai réussi à le fuir, c’est en allant sur le court 1 voir un Dolgopolov-Ferrer, très sympa à regarder, plus proche du court et sans les beuglements (Aaaalleez !!) de nos chers concitoyens. Et bah ça, comprendre un match avec un public normal et j’irais même jusqu’à dire avisé (si si!), c’est mon meilleur souvenir de Bercy !
    Cette année, j’y suis jeudi soir et je remercie donc chaleureusement Mannarino, Tsonga, Chardy, Llodra, ERV, Paire (mais quel sale gosse celui là!) et Herbert d’avoir perdu leurs matchs… et qui de ce fait, contribuent sans le savoir au chômage technique du fameux « Djembé-man » et à l’apaisement de l’arène.
    J’essayerai de vous faire un petit compte-rendu des matchs de la soirée, en attendant, Ferrer est à deux points du match après avoir perdu le deuxième set.

  8. Kaelin 30 octobre 2013 at 12:09

    Un 2ème petit debreak puis une égalisation à 5-5 pour Lukas ? Allez steuplé, pour mon Rysk !

    • Kaelin 30 octobre 2013 at 12:12

      flûte

  9. Kaelin 30 octobre 2013 at 12:39

    Je vois bien Nico Mahut nous sortir notre grand technicien national (hormis au filet) !! Même si j’attendais à ce stade Dolgopolov grmblll, pourvu qu’il fasse une saison 2014 bien meilleure car je l’attends plus haut!

  10. Le concombre masqué 30 octobre 2013 at 12:51

    Salut les kids.

    Le concombre sort de sa tanière pour la troisième fois de l’année parce que je ne peux pas ne pas réagir à « djembé-man ».

    J’étais à bercy hier soir, en loges, places offertes…ça aurait plus à Antoine.

    Je ne parlerais pas tennis, mais le service d’Herbert mérite un article à lui tout seul.

    Je parlerai bercy : djembé-man. putain. Moije l’appelais simplement « le psycho au tamtam ». putain. de mémoire d’enfant, ce type à toujours été là. 20 ans que je vais à Bercy. Toujours été là.

    Dingue. Cette année il a un nouveau rythme,il n’avait pas changé depuis deux décennies. Et là, il a un rythme avec 3 basses à la fin,je ne sais pas ce que ça annonce, mais on peut baliser grave.

    Après être partie en vrille, l’ambiance s’est assagie, le DJ est plus discret qu’il y a quelques années. En revanche je regrette profondément la disparition de tous les portraits taille géante des vainqueurs de toutes les éditions, suspendus au plafond…ils m’ont tellement fait rêver gamin….on a dû juger qu’ils n’étaient pas assez « modernes » et puisqu’on ne peut pas faire de sponsoring/publicité dessus…

    Sinon la mini planche de charcuterie au sous-sol c’est 28 euros. Sont bien sympas ces orgas quand même »

    @ rim-ka et colin : nan mais franchement quand tu sors de ta place de loges, que tu vas dans le players’ lounge et que tu regardes le match sur les écrans plats t’as l’impression que c’set pas le même tournoi, pas les mêmes joueurs, et pas la même gravité. Dingue ce rendu. ca m’interpelle pour les autres tournois…y’a pas à chier faut aller voir un match sur gazon pour voir ce que ça fait vraiment.

    @ colin tout seul : big jojo qui sort du little four c’est quand même pas la première fois que ça lui arrive après y être rentré en 2008, si? Qu’est ce qui t’interpelle? c’est quand même pas franchement comparable à Fed qui sort du big4 pour la première fois depuis 10 ans au moins (classement fin d’année).

    @ Sam : « cherchez pas, y’a pas de contepétrie » . Tu m’as tué.

    @ Guillaume : Fait plaisir de te relire, que ce soit sur l’article des coachs ou celui là.

    @ Antoine : ça va poulet?

    • Patricia 30 octobre 2013 at 13:28

      Djembé-man… le pire Concombre (& William, à qui il filait les chocottes), c’est qu’il ne peut pas saquer Tsonga !
      Il encourage les français par syndicalisme de supporter Coupe Davis, il se ferait renvoyer (ou lyncher) s’il arrêtait sa ritournelle… Des années à s’entendre pourrir Gasquet et vénérer Tsonga à chaque pot du pack, des années de deux poids deux mesures… pour un fervent hardcore de la Crypte, c’est tout simplement insoutenable. Il lui hypnotisait le genou, en fait. Quel cauchemar pour lui si Tsontson était passé et qu’il avait du faire semblant de l’encourager contre Richard !

      En même temps, je peux comprendre l’esprit supporter (le vrai, celui qui verse le fanta dans les gobelets plastiques quand tout le monde est rentré et qui coupe le saucisson, qui va à New York et regarde depuis la télé de l’hôtel parce qu’il n’a pas trouvé de place…) : ils connaissent les joueurs en direct depuis des années, se sentent un devoir de jouer le rôle du 12è homme, les gars leur répètent que ça aide énormément… Il fait la claque pour l’équipe de coupe Davis élargie, voilà tout. Il est bien moins chauvin que le public qui l’entoure, dont il déplore la versatilité et le manque d’engagement(ils n’encouragent que quand ça mène) : il n’aime que les gentils garçons humbles et respecte bien sûr les adversaires.

    • Colin 30 octobre 2013 at 13:30

      « c’est pas le même tournoi, pas les mêmes joueurs, et pas la même gravité » …et pas le même sport non plus, ou presque?

      « Qu’est ce qui t’interpelle? c’est quand même pas franchement comparable à Fed qui sort du big4 pour la première fois depuis 10 ans au moins (classement fin d’année). » Ben disons qu’il y a des gros tremblements de terre, et des petits, et que généralement on parle des gros et pas des petits, mais moi j’aime autant l’anecdotique que le HISTORIQUE donc je parle des deux. D’ailleurs à ce sujet, est-ce que tout le monde a bien noté que 2013 sera aussi l’année où Martin Klizan est ressorti du top100?

      PS : mais où est passé Antoine ?

      • Kaelin 30 octobre 2013 at 14:13

        T’inquiètes pas Colin moi je peux te dire que je suis tous ces mecs dont on ne parle jamais d’ailleurs je pense bientôt faire un article-topo-bilan sur plusieurs gars comme ça pour ne pas qu’on les oublie et qu’on débatte un peu de leurs cas si ça vous intéresse !

    • La courgette masquée 30 octobre 2013 at 13:33

      Merde, le « djembé-man » a un nouveau rythme… ça sent pas bon du tout ça ! Qu’est-ce qui peut arriver de pire que Ferrer qui gagne un Master 1000 en indoor ?

      • Kaelin 30 octobre 2013 at 14:17

        Ferrer qui gagne un GC ? :D

    • MarieJo 30 octobre 2013 at 13:47

      @ concombre Très con car moi aussi j’étais sur la tribune centrale avec une vue top classe :)
      Carrément vrai le lounge bar, les costard-cravates sur pattes et des t’as de gens venus la parce qu invités… Le vrai fan de tennis se prend un décalage revers fulgurant !
      @ patricia : veinarde ! Je pense que le rafa richard sera en prem’s de la session du soir et moi je serai au taff :(

      • Patricia 30 octobre 2013 at 18:34

        heu, les 1/4 c’est pas demain, c’est vendredi! Richard et Rafa, je vais voir séparément, le premier contre petit Kei, le second contre grand JJ !

      • Le concombre masqué 30 octobre 2013 at 18:55

        haha lounge bar : je ne parlais pas du tout de la population, Je parlais de la différence de perception de vitesse de balle et de déplacement des joueurs entre la vraie (vue depuis le bord du court) et ce qu’on voit à la TV (dans le lounge bar).

        Mais ton analyse est juste.

        PS :j’ai beaucoup scruté les loges à la recherche des anciens jouers/entraîneurs…mais ne t’ai pas vue. Dommage!

  11. Patricia 30 octobre 2013 at 13:51

    Morte de rire, les coms anglais sont en train de louer la technique de Simon, y compris son smash, « plutôt bon pour quelqu’un qui ne s’aventure pas bcp au filet » ! Tu vois Gilou, t’es juste pas prophète en ton pays ! (un des deux est Fleming ; meilleur palmarès que Boutter ! ) « he’s got a great eyes » « a lovely, compact shot » , etc…

  12. Sam 30 octobre 2013 at 15:40

    Sorte de calembour d’automne:

    Triste, mal mis qu’est Mahut, c’est vrai.

    • Sam 31 octobre 2013 at 00:37

      Bon, un pauv’ truc avec Mickey Mahuss’ss.

      Dès fois, j’me d’mande.

    • Colin 31 octobre 2013 at 09:20

      …même avec la soluce, j’ai du mal à suivre.

      Un p’tit coup de fatigue, Mr Homard?

  13. MONTAGNE 30 octobre 2013 at 18:04

    Sur l’Equipe d’aujourd’hui, version papier, dans le tableau de Bercy en page 2, ils affichent la victoire de Janowicz sur Nadal en 1/8!!!!!!!!!!!!!!

    Je me demande pourquoi Granollers joue.

  14. Skvorecky 30 octobre 2013 at 19:22

    À voir Nadal jouer ce premier set si déterminé, même sans être excellent, on peut penser qu’il a ses chances de gagner le tournoi. Je me demande si quelqu’un l’a mis au RYSC…

    Il fait en tout cas sa meilleure fin d’année depuis 2009 (qui était un cas à part). Et pour peu qu’il gagne un des deux titres restants, ce sera tout simplement le meilleur automne de sa carrière.

  15. Don J 30 octobre 2013 at 20:42

    interessant fact : Federer n’avait encore jamais joué Anderson K.

    j’aimerai bien voir le nombre d’adversaires différents qu’il a affronté le fed, et aussi qui a le record dans ce domaine, Conors ? Agassi ? Santoro ?

    • Lorio 31 octobre 2013 at 01:42

      Probablement Connors, c’est lui qui a joué le plus de matches, et de loin. De mémoire c’est plus de 200 matches que le deuxième, Lendl.

  16. Kaelin 30 octobre 2013 at 21:08

    Interview complète de Paire dans lequipe papier : http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=851146paire.jpg

  17. Kaelin 30 octobre 2013 at 21:23
  18. Kaelin 30 octobre 2013 at 21:26

    et Kohly qui sort Haas, mon RYSK prend l’eau….. pourtant yavait un coup à jouer en pariant sur Kohly

    • Kaelin 30 octobre 2013 at 21:29

      pour l’instant le seul point que j’ai c’est avec Fognini! mais quasi tout le monde l’a anticipé je pense

      • May 30 octobre 2013 at 22:03

        Itou.

        • MONTAGNE 30 octobre 2013 at 23:16

          Fognini, Haas : two points !!

  19. Elmar 30 octobre 2013 at 21:49

    Voilà, Fed qualifié pour le Masters.

    Petite frayer sur la fin du match: 5-2 double break; 1er débreak; puis jeu blanc de Anderson; et 15-40 à 5-4. Mais il sert bien le jeu à ce moment-là et parvient à clore le match. Plutôt convaincant, au final.

    • Lorio 31 octobre 2013 at 02:09

      Le debreak alors qu’il sert pour le match, faudrait pas que ça devienne une habitude…
      Plutôt convaincant ? Je te trouve assez indulgent, Anderson a tout de même empilé les fautes directes (35)… Mais bon, Fed dit qu’il se sent bien pour la première fois depuis Dubai. J’attends de voir sa revanche face à Del Potro, si les deux y arrivent. En ce moment il a surtout du mal a enchaîner les matches.

  20. Elmar 30 octobre 2013 at 23:31

    Mine de rien, Raonic a une carte à jouer sur ce tournoi. Au prochain tour, il joue Berdych qui a été particulièrement nul cet automne, et ensuite le vainqueur de Ferrer-Simon.
    Bref, une bonne chance d’arriver en demi; Nadal n’y sera pas forcément. Bref, à la place de Stan et Gasquet, je ferais en sorte de passer encore un ou deux tours.

  21. Lorio 31 octobre 2013 at 01:19

    Très intéressant. J’adore ce genre d’article sur une époque du tennis que je ne connais que grâce aux highlights, ou presque.

    Colin se demandait s’il y avait eu une erreur sur le site de l’ATP ou dans la mémoire de Casal, car les deux donnent un score différent pour la finale face à Becker.
    Après avoir lu l’article de Guillaume, je me suis un peu perdu sur internet, et j’ai atterri ici :

    http://news.google.com/newspapers?nid=1755&dat=19861101&id=PnAeAAAAIBAJ&sjid=42kEAAAAIBAJ&pg=6568,627275

    un papier sur le match McEnroe-Casal et la suspension du premier. Bref, on y apprend que Casal gagne 11-9 au tie-break, et pas 10-8 comme il le dit ici. Il y a donc de grandes chances que sa mémoire lui joue des tours…

    Il y a également une anecdote étonnante : à 6-5 dans le deuxième set, Casal sert un ace pour revenir à 6-6. Mais la balle est annoncée faute. Sur le second service, McEnore laisse passer la balle. « The ball was good. It was a foot inside the line » dira-t-il en conférence de presse. Un grand seigneur, le Johnny Mac ? Ce n’est pas la réputation qu’il a gardé en tout cas…

    • Colin 31 octobre 2013 at 09:24

      Fascinant cette numérisation des archives par Google…

      L’attitude de McEnroe ne me surprend pas plus que ça. Abominable et colérique dans certaines situations, grand seigneur dans d’autres… Ça va avec le personnage.

  22. Colin 31 octobre 2013 at 09:26

    Bon, à ce rythme là, Bercy va perdre sa réputation de tournoi à surprises… 13 des 16 TS sont présents en huitièmes. Seuls Dimishikohly sont arrivés à se frayer un chemin.

    Gageons que les huitièmes et les quarts vont apporter un lot un peu plus substantiel de surprises.

  23. La courgette masquée 31 octobre 2013 at 09:59

    Bon, Roger qui se qualifie pour la douzième année consécutive au Masters et égale le record du très cher Ivan Lendl, c’est quand même une bonne nouvelle !

    Ce soir je suis à Bercy et je suis bien contente car le premier match sera Gasquet-Nishikori. Bien contente de retrouver Richard, que j’avais laissé après sa défaite contre Wawrinka La Loutre à RG. Avantage au français puisqu’il mène 3-0 dans leurs face à face. Il risque d’y avoir du festival de « djembé-man »!
    En deuxième match, Nadalito contre Jano et Colin elle sera là ta surprise! Si Jano abrège les échanges en venant au filet, je le vois bien sortir le moonballiteur… Dans tous les cas, ça va bombarder au service!

  24. Evans 31 octobre 2013 at 12:15

    Nadal, il est trop nul en indoor. C’est indigne d’un numéro 1 mondiale. Non mais…

  25. MarieJo 31 octobre 2013 at 12:15

    http://instagram.com/p/gGjaPGvXSt/
    l’homme au djembé !

    • Sam 31 octobre 2013 at 12:46

      Jean Lefèvre…

  26. Lorio 31 octobre 2013 at 12:57

    Troisième double-faute du jeu, quatrième du match, pour donner le break à Ferrer. Simon aurait-il une autre lacune que le jeu au filet ?
    Break confirmé, 5-2 Ferrer.

    • MONTAGNE 31 octobre 2013 at 13:14

      Mais non, il fait exprès de perdre le premier set pour étudier le jeu de son adversaire et gagner les deux sets suivants.
      C’est la tactique de l’homme qui est bon de partout.

      • Lorio 31 octobre 2013 at 13:34

        Manifestement, il doit croire que les huitièmes à Bercy se jouent au meilleur des cinq manches… 6-2 5-2

  27. MONTAGNE 31 octobre 2013 at 13:38

    NOn, là, vu comme il joue, il doit croire, malgré son intelligence fulgurante, qu’il joue en 5 sets et qu’il peut perdre les deux premiers sets pour étudier le jeu de son adversaire.

    De plus, il faut qu’il étudie le jeu de Ferrer qu’il ne connait pas, c’est ça le problème avec les petits nouveaux du circuit et qui est réputé pour ne pas avoir un jeu stéréotypé et est capable de surprendre en jouant service / volée !!

  28. MONTAGNE 31 octobre 2013 at 13:53

    Voila c’est plié Ferrer 6/2 6/3

  29. Lorio 31 octobre 2013 at 13:55

    En tout cas, voilà deux matches qui vont faire plaisir à mon RYSC, après le forfait de Monfils que je voyais en 1/2…

  30. MarieJo 31 octobre 2013 at 14:05

    mon Rysc prend l’eau :(
    fognini et basta !
    je sens que je vais faire un score tout poucrave :(

  31. Guillaume 31 octobre 2013 at 14:59

    En fait ce papier a déjà un an. Il était paru l’an dernier dans un supplément tennis de l’Equipe mais, ‘cos contraintes de la publication papier, il était alors bien plus court que cette version.

    Sergio Casal, c’est Forrest Gump appliqué au monde du tennis. Il était partout, mais l’histoire ne l’a retenu nulle part. Ni comme adversaire de McEnroe ce fameux 1/4 de finale de Bercy – et pourtant qu’est-ce que l’apostrophe de Mc à l’arbitre peut être célèbre ! – ni comme l’homme qui a plombé les stats immaculées de Becker en Coupe Davis… Même en tant que binôme d’une paire de double marquante des 90′s, il reste toujours dans l’ombre d’Emilio Sanchez, plus connu que lui. D’ailleurs quand je l’ai contacté, c’est tout juste s’il ne m’a pas demandé si je ne faisais pas erreur, si ce n’est pas à Emilio que je voulais parler !

    Je suis toujours étonné aussi de voir à quel point personne ne semble aimer ce tournoi de Bercy. Et du coup de lui trouver toutes les tares du monde. Alors la diffusion TV, ok – quoique j’ai déjà vu bien d’autres tournois mal filmés, de caméras trop hautes ou, à l’opposé, trop basses, qui gâchent le rendu à l’écran. Mais pour le reste… Entre multiples vainqueurs en Grand chelem et spécialistes de surfaces rapides, le palmarès a dans l’ensemble fière allure, et à l’exception du Masters et son format bien particulier, Bercy est bien le 2e tournoi indoor au monde. En revanche il est sûr que l’ATP a bien plombé l’évènement en collant le Masters une semaine après, là où il y avait 3 semaines / 1 mois d’écart dans les 90′s.

    Moi j’ai mis du temps à aimer Bercy. Mais cela tient principalement au fait que je n’aime pas le tennis en salle. Pour moi le tennis est un sport d’extérieur, avec les aléas climatiques inhérents, le soleil, le vent, parfois le crachin… mais avec le soleil c’est quand même mieux. Alors l’indoor, passe encore quand c’est la tournée de février, où on sait que le printemps arrive bientôt. Mais Bercy, c’est aussi la période de l’année où l’on s’enfonce dans l’hiver, où il fait noire à 18h… Brr. Mais j’y ai vécu ces dernières années des moments qui m’ont appris à apprécier le tournoi. Les parcours de Llodra en 2012 et surtout 2010, le titre de Soderling pour « craquer » le Big 4, celui de Federer dans une année – déjà – difficile, le réjouissant pâté de têtes réussi par Janowicz l’an dernier… On ne peut pas regretter le manque de surprises dans 90% des tournois du circuit et ne pas aimer Bercy. Et cette année encore j’espère tout sauf une finale entre Genou Bionique et l’Homme caoutchouc.

    Ah oui : mort de rire devant les maniaques qui ont été vérifier si le tiebreak était dans le 1er ou dans le 3e set, ou s’il s’est conclu à 10-8 ou 11-9. Ce site est un repère de dangereux psychopathes :lol:

  32. Remy 31 octobre 2013 at 15:00

    L’homme qui est bon partout a été mauvais partout .
    Mon RYSC a mal :(

    • Colin 31 octobre 2013 at 16:31

      En fait Simon se réservait pour le Double.
      Avec Chardy, il va choquer la planète tennis en remportant son premier M1000.

      • Kaelin 31 octobre 2013 at 16:42

        Ce serait pas étonnant, Chardy est aussi un grand technicien (hormis au filet).

      • Colin 31 octobre 2013 at 17:03

        Il leur suffit de remonter un passif de 3/6 1/5 face à Dodig/Melo, ce qui ne devrait pas être trop difficile maintenant que Maître Gillou a compris le jeu de leurs adversaires.

  33. Remy 31 octobre 2013 at 15:04

    L’ami Isner a été en danger sur tous ses jeux de service, il sauve 6 balles de break.
    Mais il l’emporte la première manche au tie-break face à Djoko !

    Contre Del Potro, Dimitrov a un break d’avance.

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