Depuis longtemps, l’expression « Big 4 » a fait florès dans les rédactions et les blogs pour désigner les « cannibales » ou autres « cadors » ou « carré d’as » ou « Rofavakdy Fedalkovray », bref le club ultra-fermé trustant 100% des victoires en Grand Chelem et Masters Cup depuis le début 2010 (voire depuis beaucoup plus longtemps pour ses deux membres les plus anciens).
Plus récemment, est apparue l’expression « Little 4 » du fait de la concentration depuis fin 2012 des miettes laissées par le Big 4 dans les mains d’un groupe de 4 joueurs : Ferrer, Del Potro, Berdych et Tsonga. Maintenant que la hiérarchie a été bousculée, il est temps de quitter l’ère de l’empirisme, et de théoriser les notions de Big 4 et de little 4.
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