Qui a peur du grand méchant loup ?

By  | 30 janvier 2016 | Filed under: Actualité

Le tennis de la dernière saison ressemble un peu à ça : qui a peur du grand méchant loup ?

Evidement, tout le monde vous dira que « non moi, même pas peur, etc… »

Pourtant les matchs de Djokovic ressemblent furieusement à l’histoire des trois petits cochons et le grand méchant loup :

-tu as un jeu de paille et il t’anéanti d’un souffle de coup droit ou de revers croisé en 3 petits sets

- tu as un jeu en bois et tout pareil

- tu as un jeu en brique et il te démoli quand même contrairement à l’histoire des trois petits cochons !

Et je ne parle même pas de Serena… il n’y a pas d’ogresse aussivorace dans les contes pour enfants !

bref que vont pouvoir faire Murray ou Raonic s’ils passent en finale ?
si c’est le Djokovic des 2 premiers sets : regarder les balles passer… si c’est le Djokovic du troisième set : servir comme un malade et prendre des risques payants à tous les coups, autant dire qu’il leur faudra un petit miracle, à Murray pour avoir un service en béton et à Raonic pour avoir le reste de son jeu en béton !
Pour battre djokovic tu as besoin d’un jeu en bunker de l’Atlantique, Nadal et Federer l’ont eu à leur meilleur… aujourd’hui le bunker c’est Djoko !

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Grande prêtresse de 15-LT : je désigne les prochains rédacteurs quand on manque d'articles, ils sont automatiquement inspirés pour écrire dans les plus brefs délais ! Un miracle ! ps mon avatar moi sur le canal St Martin un jour d'hiver 2009, en pensant à ce que pourrait être 15love :)

669 Responses to Qui a peur du grand méchant loup ?

  1. Mat4 30 janvier 2016 at 12:00

    En tant que fan de Djoko, j’avoue avoir savouré cet article. J’espère qu’on aura un Novak en version « grand méchant loup » en finale, un match qui ressemblerait à leur rencontre de Shanghai, et un Fang qui battrait ses propres records de finales de GS perdues.

    Ce n’est pas si sûr que ça. J’ai bien peur qu’on ait, encore une fois, notre portion de Djoko-Murray de l’AO, de tennis tactique et épuisant — tant pour les joueurs que pour les spectateurs.

    Mais, sait-on jamais ?

    • Patricia 30 janvier 2016 at 12:23

      Ben moi j’ai bien aimé leurs matchs à l’AO et RG.
      Par contre la finale de Wim était une purge.

  2. Patricia 30 janvier 2016 at 12:21

    Eh ben le petit cochon Kerber l’a fait !
    J’avais super envie de voir ce match (une intuition, la dernière fois c’était Vinci^^), helaaas je bosse le samedi matin.

    Saviez vous que Kerber a amorcé son retour au premier plan l’an passé grâce à une semaine genre Castaneda dans le désert avec Steffi Graf ?
    Et c’est qui qui empêche la Serena d’égaliser son record ?
    ah le destin !

    • Patricia 30 janvier 2016 at 13:24

      J’ai retrouvé le passage sur le trip avec Graf, après sa sortie au 1er tour de l’AO l’an dernier et 5 défaites d’entrée en enfilade : « Five days before she left for a five-week trip to the United States, she finally brought herself to make decisions. She split from her coach, Benjamin Ebrahimzadeh, and wrote two emails. The first one went to Darren Cahill, head coach at the Adidas Tennis Base in Nevada. The second one went to Steffi Graf, her big idol. « I felt like it would go wrong in the U.S., too, if I didn’t change anything, » reasons Kerber. Cahill was asked to make courts available for her in his tennis camp before the tournament in Indian Wells. And she asked Graf to chaperon her training in Las Vegas. « She had often told me that I’m always welcome at hers. That she would help me, » Kerber tells. (c’était dans un journal allemand, traduit par des fans)

      • Mat4 30 janvier 2016 at 15:03

        J’ai commencé à lire Castaneda à l’envers, à partir du « Don de l’aigle ». Je pensais même que c’était un roman…

  3. Patricia 30 janvier 2016 at 12:56

    Y a la finale du double avec Radek et Murray !

  4. Patricia 30 janvier 2016 at 13:02

    oh Radek vient de faire un lob divin !

  5. Patricia 30 janvier 2016 at 13:03

    par contre il vendange une suite de 2 super volées de Nestor.

  6. Patricia 30 janvier 2016 at 13:06

    rhoo les deux vioques ils assurent !

  7. Geo 30 janvier 2016 at 14:31

    Il ne messied pas que l’angélique Kerber soit venue à bout de la disgracieuse Serena.

  8. Mat4 30 janvier 2016 at 18:59

    Patricia, d’abord, sur la raquette de Novak (je pense que tu as déjà lu cet article) :

    http://livingtennis.me/2014/09/17/is-novak-djokovics-racket-his-secret-weapon/

    C’est fin 2010 qu’il a trouvé cette raquette, d’après une interview que je n’arrive plus à retrouver. Il semble qu’on y ait ajouté du graphène en 2013, mais je n’en serais pas sûr.

    Ensuite, je te conseille de faire un tour sur le site suivant :

    http://blog.tennisspeed.com/

    http://blog.tennisspeed.com/search/label/Andy%20Murray

    Les articles sont très détaillés et de bonne qualité. On y comprend immédiatement ce qui fait la puissance des coups droits de Roger et de Rafa. Quand on sait que Rafa est naturellement très explosif (j’éviterais d’autres théories), tout devient assez clair.

    Mais ces articles m’ont forcé à revoir les coups droits au ralenti d’Andy et de Novak datant de ces deux dernières années. Malheureusement, les différences sont difficiles à cerner, bien qu’il y en ait plusieurs. À voir ici:

    https://www.youtube.com/watch?v=-9suPEe-D7E

    J’ai l’impression que Djokovic est beaucoup plus détendu pendant l’exécution (ce qui serait en accord avec ma théorie principale — trop de muscles chez Murray), et que c’est ça qui fait principalement la différence. Tu trouveras des chiffres quant à la vitesse, sur le site,

    http://blog.tennisspeed.com/2011/01/forehand-speed-and-spin-rates-of-atp.html

    mais je me suis fondé sur les données Hawk-Eye de Bercy, pour Andy, et de Doha, pour Novak, plus compréhensives.

    Quand à Rafa, son coup droit a beaucoup évolué. En 2003, il joue un coup droit très classique, avec la raquette finissant sur l’épaule :

    https://www.youtube.com/watch?v=KugR8ChiZfs

    Mais on le voit déjà, en bout de course, développer le coup droit qui le rendra célèbre. Remarquons aussi qu’il sert mieux que quelques années plus tard, et qu’il n’a pas encore acquis ses fameux tics. La vidéo est assez floue, mais il y en a d’autres, plus courtes, de matches joués sur TB.

    Ce qui rend l’histoire de Rafa intrigante, ce sont les changements constants dans sa technique. Prenons l’histoire du service: 2003, position armée très correcte ; 2007, l’épaule est trop haute, le bras trop éloigné (la position des jambes a également changée) ; 2010, retour au débuts, bonne technique, lancement de la balle en avant, rotation des anches ; 2015, je ne sais plus quoi penser, mais c’est nul. Notons que l’histoire des douleurs de dos est difficile à digérer.

    Coup droit : 2003, classique, pronation de l’épaule, bras allongé, raquette finissant au dessus de l’épaule ; 2010 (je n’ai pas vérifié pour la suite), Rafa emploie tant les coups droits plus à plat que les coups droits très liftés qui sont sa spécialité ; 2015, il semble incapable de jouer à plat. Voir la finale de Doha, par exemple, ou celle de Bâle.

    Marion Bartoli avait pointé, l’année dernière, que Rafa avait perdu beaucoup de puissance. Il me semble que ce ne serait pas la première fois : je me rappelle très bien qu’à Bercy, en 2009, en demie, Novak lui faisait coup droit décroisé gagnant sur coup droit décroisé gagnant. Un an plus tard, à New York, Rafa remettait tout en jeu. Mais en 2009 il revenait de blessure, et semblait plus fin, moins baraqué que d’habitude.

    Déclin physique ? Mais pourquoi, quand on voit que Ferrer, Berdych, Simon, Tsonga, évoluent à un niveau très similaire à celui de leurs meilleurs années. Est-ce la conséquence de ses blessures à répétition ? Je n’ai pas de vraies réponses.

  9. Mat4 31 janvier 2016 at 02:10

    Comme je travaille quand tout le monde dort, j’en profite pour semer perfidement des commentaires ça et là maintenant qu’il n’y a personne pour me contredire. Oui, je ne doute pas que, demain, Nathan trouve un mot fin en mon honneur, mais peut importe, j’ai promis à Elmar une paix durable, et je subirais avec dignité et noblesse de cœur les réponses malignes à ce billet. Pax nobiscum !

    Ce qui m’incite à écrire ces lignes à une heure tardive est une analyse désuète du gourou de la statistique tennistique, Craig O’Shameonyouaussi, qui annonçait d’une manière infaillible que Nishikori allait battre Djokovic. L’entrée est pompeuse, je n’aurais pu faire mieux, même après plusieurs Joubrovka :

    « There is a massive difference between hoping to win, and being ready to win.
    Novak Djokovic is hoping. Key Nishikori is ready. »

    Et, ensuite, une quantité énorme de statistiques hors de contexte sur la longueur des échanges, Djokovic ayant joué, l’année précédente, contre Verdasco, Mueller et Raonic, et cette année, contre Simon et Seppi.

    Soit dit au passage, ce plat de résistance numérique commençait par une phrase, qui sait ? peut-être destinée à devenir célèbre :

    « I’m ready to beat him again,» Nishikori confidently said about the world No1.

    Remarquons l’adjectif « confidently », d’un joueur qui s’était pris un 6-1 6-1 deux mois auparavant.

    Mais cet article n’en est qu’un parmi des dizaines, des centaines, ce sommet visible d’un iceberg contre lequel se heurte Djokovic dans ses vaines tentatives pour parvenir non pas à la reconnaissance de sa juste valeur, mais juste à l’adoption dans le monde anglophone… et francophone, malheureusement.

    En dépit des efforts pitoyable d’IMG pour faire marche arrière et effacer les effets de sa propre propagande noire, orchestrée contre Novak pendant des années (une floraison récentes d’articles du type « Il est temps d’aimer Novak Djokovic », « Le grand méchant loup mérite le respect », etc.), rien n’y fait plus : dans la distribution des rôles du bon, de la brute, et du truand, il est voué à rester obstinément le truand. Il est vrai qu’il ressemble de plus en plus à Gian Maria Volontè, prévu pour ce rôle, et de moins en moins à Eli Wallach, qui l’avait obtenu : Djokovic ne se contente plus d’être le pitre de l’ATP. Loin de là.

    Mais la guerre sournoise contre lui continue ; on ne lui pardonne pas d’avoir anéanti le business de la décennie — la rivalité nikienne du gentleman et du rebelle. On lui pardonne encore moins, dans sa guerre sans merci contre « le rebelle », destiné par la même Nike à un avenir goatique, et auquel tout était permis sur le circuit professionnel — une guerre d’une intensité presque inégalée dans les anales de notre sport — d’avoir détruit la psyché fragile de son adversaire, profondément « injured in the mental » (il manque le « no ? »).

    On ne lui pardonne pas, non plus, de froisser les ambitions du chouchou chéri de nos alliés les rosbifs, digne représentant d’une nation qui a convaincu le monde qu’elle avait gagné la guerre de Cent Ans, et qui le pense, qui plus est.

    Tout est permis dans la guerre médiatique qui prépare le public à le siffler pendant son service : on qualifie son jeu de robotique, on lui refuse la combativité de Nadal, le talent de Murray, l’intelligence de Simon ; quand il est fatigué, il est accusé de tricher (ah, ce qu’il était minable, le pôvre Fang, après la finale de l’AO, insinuant mais n’osant affirmer ; Haas a dû en rire à gorge déployée, lui qui savait le vrai état des lieux) ; même une défaite vieille de dix ans contre Fabrice Santoro devenait une affaire de paris truqués. Et ainsi de suite. Et ainsi de suite.

    Mais comme le monde, même quand il ne les aime pas, se soumet aux vainqueurs, il ne reste à Novak qu’à vaincre sans répit. Espérons que la tâche ne sera pas au-dessus de ses forces. Au moins pour un temps.

    • Patricia 31 janvier 2016 at 09:33

      Avec quelques extraits des stats de O’Shaughnessy, de citations de ces articles que tu pointes (allez, envoies la « propagande noire »), tu agrémentes ta diatribe et tu as un billet à publier après l’AO…

      Puis tu attends d’avoir tout le monde qui te tombes sur le râble, parce que personne ne sera avec toi, au moins sur certains aspects du fond.

      Il m’arrive de parcourir les coms sur Tennis.com, et je suis soufflée de la parano réflexe, exacerbée dans son expression, de deux types de fanatiques : les fans de Williams, les fans de Djoko.

      Il y a un point commun, une raison commune : les deux ont des accomplissements hors norme en tant que N°1 incontestés, les deux subissent un déni massif de leur « grandeur » auprès du public qui s’exprime sur les medias sportifs.

      Serena au titre des moyens tennistiques qui lui assurent cette suprématie (« que de la puissance » « des failles béantes »), de son apparence, de son attitude sur le court, et au premier chef, du dénigrement de sa cour de récré, le circuit WTA.

      Novak au simple titre de son style de jeu et de son attitude (il y a un fond de grogne sur « la faillite de la relève » mais beaucoup plus discret, pas forcément « causal » – alors qu’il constitue l’article premier du rejet de Serena).

      Il est parfaitement compréhensible que la violence et l’étendue de ce rejet soit blessant pour ceux qui les apprécient et, puisqu’ils ne peuvent souscrire à leurs raisons, qu’ils en cherchent d’autres, souvent identitaires (en gros elle est noire, il est serbe, ils sont « du peuple »), souvent psychologiques (l’éternel bande de jaloux aigris).

      Je dois dire que concernant Serena, j’ai très rarement lu dans la presse récente (ce sont surtout les américains qui écrivent sur elle) quoi que ce soit s’alignant sur ces critiques, à l’exception de la dernière (mais en ce cas, ce sont les autres pensionnaires du circuit qui sont pointées). Je lis bien souvent, au contraire, des plaidoiries à l’encontre de ces critiques de la part de la presse. Néanmoins, une partie des « fans de Serena » passe à l’attaque dès qu’un journaliste reconnaît un quelconque mérite à son adversaire en cas de défaite, sur l’air du martyr….

      Pour Djoko, les attaques du public ont toujours été moins violentes que celles contre Serena (ses torts sont moins étendus : moins longue domination, pas de machisme, pas de rejet du circuit ATP) et même, que celles contre Nadal (on lui a reproché bien pis sur le plan stylistique et « moral » : il a plus fait souffrir Federer, son apparence prête au rejet avec ses TOCs, il a été la première grande icône du tennis physique de filière longue). Elles sont bien là néanmoins, vu que lui-même est partout et toujours là.

      Pour les causes identitaires, c’est bullshit : tout le monde ou presque se fout de sa serbitude (les Espagnols emmerdaient bien plus sur le plan sportif), le côté populo fut présent (quand la famille rôdait), mais assez négligeable ; pour Serena, c’est le contraire (en tous cas en Europe) : le fait qu’elle soit femme et noire inciterait les bonnes consciences à lui chercher des circonstances atténuantes. Pour le machisme, il est présent, mais insuffisant : avec un physique conforme, elle subirait le traitement d’une Sharap archi dominante, elle serait aussi critiquée pour son jeu, son attitude, le circuit….

      Pour l’amour blessé, c’est évidemment une des racines du mal. Mais l’amour n’est pas aveugle, il est seulement myope et astygmate : ce qui déplait aux adeptes du « beau jeu federesque » dans le jeu et l’attitude de Djoko et Serena, ce sont les goûts qui les font apprécier leur objet d’amour….

      En tous cas, je ne te suis pas du tout sur l’orchestration par les médias d’un désamour de Djokovic influençant les pauvres petits agneaux : le jeu « robotique », franchement, tu l’as trouvé sur les forums bien avant de lire le moindre soupçon dans la presse. Pour moi, c’est l’omniprésence des critiques sur les forums et le désaveu des gradins qui a désinhibé les journalistes, pas l’inverse. Et Nadal, dans un premier temps, s’en prenait beaucoup plus dans la gueule pour son jeu par les journalistes que Djoko, qui a toujours été vu comme un joueur complet, polyvalent et relativement offensif.

      Les « attaques » qui jettent le soupçon sur Djoko, toute figure très en vue en est l’objet : Nadal, le dopage… Murray (chez lui), le nationalisme…. ce qui sort de l’ordinaire, c’est l’immunité de Federer !
      Sur l’histoire des paris, les « petits joueurs » ont été bien plus sous le projecteur, bien plus directement que Djoko. Même sur les forums, même ceux qui le haïssent ont eu un peu de mal à lui faire endosser l’habit du mec qui fait exprès de perdre (et pour cause), sur base d’un match…

    • Remy 31 janvier 2016 at 09:49

      pfiouuu tout ça ?
      on est donc tous manipulé par des agences de comm ?
      Tu as l’air de souffrir mon petit Mat, c’est triste.

      • Lucile 31 janvier 2016 at 11:04

        :) J’allais le dire; après le ton condescendant et péremptoire, nous avons maintenant la crise de parano. Et nous aurons tout à l’heure le ton goguenard du fan qui prend la victoire de son poulain pour la sienne et qui lui offre une revanche sur la vie.
        Mon cher Mat4, il existe de très bons professionnels pour t’aider. Je te souhaite bon courage.
        P.S : Félicitation à Patricia pour avoir développé une réponse^^

        • Mat4 31 janvier 2016 at 15:15

          Merci, chère Lucile, pour des vœux si sincères. Quant au ton du fan qui prend la victoire de son poulain pour la sienne, c’est bien mieux que le ton du fan qui ressent la défaite de son poulain comme la sienne. Quitte à choisir…

          L’écriture est bien souvent traître, mais la lecture sait être traîtresse.

      • Mat4 31 janvier 2016 at 15:23

        Que d’attaques ad hominem ! Que c’est vilain !

        Patricia a au moins eu la décence de commenter mes propos, pas ma personne.

        Et quoi, on ne serait pas manipulé par des agences de comm, par la presse, les médias ? Combien d’exemples dois-je citer pour ma défense ?

  10. Patricia 31 janvier 2016 at 09:49

    Intéressant 1er jeu, tactiquement : Novak a bcp slicé, Murray ne s’est pas contenté de jouer au centre, il a tenté les angles, amorcé une montée…

  11. Patricia 31 janvier 2016 at 09:52

    Il stresse sur son service, Andy, 3 fautes évitables…

    • Patricia 31 janvier 2016 at 09:52

      Surtout la double qui donne le jeu, en fait.

  12. Skvorecky 31 janvier 2016 at 09:53

    Djokovic en danger sur son service: des services gagnants ou aces.
    Murray en danger sur son service: une double faute.

  13. Patricia 31 janvier 2016 at 09:54

    Bonne amortie de Novak, joli point !

  14. Patricia 31 janvier 2016 at 09:56

    Andy a bien mis Djoko (qui est parfait) dans le match : un bon jeu de retour, bien sauvé par Djoko, un mauvais jeu de service, et Djoko nickel sur son service suivant. Normalement, c’est le lancement parfait pour faire décoller le concorde.

  15. Patricia 31 janvier 2016 at 10:00

    Et le double break, Murray est un peu déstabilisé, Novak est novakien…

  16. Bapt 31 janvier 2016 at 10:03

    Impeccable le Djoko à ce que je vois.

  17. Patricia 31 janvier 2016 at 10:04

    5-0, tranquille, le match qui avait commencé au 1er jeu n’a pas continué….

  18. Kaelin 31 janvier 2016 at 10:05

    Murray va t il nous faire une Thierry Champion ?

  19. Bapt 31 janvier 2016 at 10:06

    Quelque part, ce que je vois est plutôt encourageant pour Rodg’ !

    • Patricia 31 janvier 2016 at 10:18

      Ca me parait plus immédiatement encourageant pour Djoko, en fait.

      • Kaelin 31 janvier 2016 at 10:21

        oui ^^

  20. Patricia 31 janvier 2016 at 10:07

    Andy se reprend un chouia, il a intérêt parce que ça sent la bulle.

  21. Patricia 31 janvier 2016 at 10:08

    Un beau passing, quelques bons services… Maumau avait pas l’air fier avant ça.

  22. Patricia 31 janvier 2016 at 10:11

    Une 2è très jolie amortie pour une balle de set.

  23. Patricia 31 janvier 2016 at 10:12

    Et un sublime retour laser de Murray pour retarder.

  24. Patricia 31 janvier 2016 at 10:14

    Une nouvelle balle de set effacée. Au moins Andy a clairement recommencé à jouer avant le 2nd.

  25. Skvorecky 31 janvier 2016 at 10:17

    Murray ne lui donne pas de rythme, donc évite de se prendre le festival de l’autre jour. Le problème, c’est que Djokovic ne loupe pas grand chose.

    Mais cette fin de set est encourageante.

  26. Patricia 31 janvier 2016 at 10:19

    Très bon point de Murray.

  27. Patricia 31 janvier 2016 at 10:19

    Bonne idée de monter, mais super passing ds les pieds.

  28. Patricia 31 janvier 2016 at 10:21

    Bonne idée aussi de remporter le premier jeu.

  29. Patricia 31 janvier 2016 at 10:22

    rhaa c’est con y avait de l’idée sur ce point ! et un retour costaud.

  30. Patricia 31 janvier 2016 at 10:30

    Murray fait une super approche, Djoko répond avec un passing dingue.

  31. Patricia 31 janvier 2016 at 10:31

    Murray sauve avec un gros service.

  32. Patricia 31 janvier 2016 at 10:31

    purée il déconne là, Djoko lui ronge la tête : il en fait trop;

  33. Patricia 31 janvier 2016 at 10:32

    Merci la faute inattendue, il avait bien embarqué son rallye Djoko.

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